15e édition du festival DimaJazz à Constantine

DimaJazz
Le festival DimaJazz est devenu une tradition à Constantine. D. R.

Le festival DimaJazz revient dans la ville de Constantine pour une 15e édition en cette fin de mois de décembre.

L’événement, qui a su se faire un nom depuis son premier opus, est l’occasion de voir de près des grands noms du blues et du jazz actuels, mais aussi de découvrir des petits groupes locaux dans le cadre des «off» du festival.

Tarifs : de 800 à 2 000 DA, abonnement pour les cinq concerts 4 000 DA.

DimaJazz, théâtre Mohamed-Tahar-Fergani, du 18 au 22 décembre.

Programme

  •  18 décembre, en ouverture : Karim Ziad
  • 19 décembre : Ithran – Anis Benhallak
  • 20 décembre : Fawzi BB Blues – Samira Brahmia
  • 21 décembre : Garage Band – Lehmans Brothers
  • 22 décembre, clôture : Boney Fields & The Bone’s Project

R. C.

 

Comment (3)

    Anonyme
    14 décembre 2018 - 16 h 59 min

    Incroyable! une ville qui se dit Capital de l’EST pas de feux Tricolor comme c’est la cas partout même dans les villages a proximité « el khroub » marre de cette vermine alors la, le tranport comme des serdines, ils avaient m^me depuis la nouvelle qui contient 1million d’habitants de faire 7km de rail jusqu’à el khroube et faire une gare depuis la nouvelle ville ali menjel avev un arrêt a el khroub SMK et Constantine Gare s’apprend rn tous 15mn avec 100000 voyageurs jours, en conclusion je dis tfouh sur tous les responsbales de cette viile tous sans exception tfouh

    Hibeche
    14 décembre 2018 - 8 h 54 min

    Il y’a un courant islamoconservateur qui s’élève contre les activités culturelles en Algérie, en disant que ce n’est pas une priorité. Bien sûr qu’il faut construire des routes, des logements, des hôpitaux, des bibliothèques, refaire les trottoirs, aménager les espaces verts, les aires de jeux et tutti quanti. Mais, l’être humain a un besoin vital pour la culture et le divertissement. Qu’on parle de rationalisation des dépenses, oui. Ne pas dilapider l’argent public, oui. Mais dire que la culture n’est pas notre priorité, je dirai plutôt que c’est notre inculture qui nous laisse dans cet état de décomposition avancée. Quelque soit notre opinion sur Khalida Toumi, mais elle a dit quelque chose de sensé : »si la culture coûte cher, alors essayez l’ignorance « 

    elhadj
    11 décembre 2018 - 18 h 23 min

    une ville qui ne lui manque que le festival de …JAZZ alors que les priorités sont la réalisation de bibliothèques de proximité, d aires de jeu et jardins publics régulièrement entretenus,a des activités artistiques soutenues au sein des maisons de culture et maisons des jeunes,a la réfection des chaussées et éclairage public. c est dans ces secteurs que l argent public devra utilise a bon escient .

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