Benghebrit ne se laisse pas intimider et répond aux islamistes

Benghebrit
Benghebrit affirme que l’école a été fondée pour le savoir. PPAgency

Par Hani Abdi- La ministre de l’Education, Nouria Benghebrit, ne semble nullement intimidée par les nouvelles attaques et menaces des islamistes. En réponse ce jeudi aux questions des députés sur la non-consécration d’un temps de prière dans l’emploi du temps scolaire, la ministre affirme que l’école a été fondée pour le savoir et que la mosquée est faite pour prier. Appelant ainsi à ne pas mélanger les genres, Mme Benghebrit, traitée de tous les noms par le courant obscurantiste qui infeste les réseaux sociaux, souligne que « le devoir de prier est accompli à la maison ou à la mosquée. Les élèves doivent partir à l’école pour seulement étudier et apprendre ».

Poursuivant sa réponse, la ministre explique que la mosquée garantit toutes les conditions d’un accomplissement correct de la prière, conformément aux préceptes de l’islam ». Mme Benghebrit rejette ainsi en bloc les accusations selon lesquelles elle porte atteinte aux constantes nationales.

La réponse de la ministre à la vive polémique suscitée par sa décision de mettre fin à la prière anarchique dans les écoles, a été précédée par les propos de son conseiller Chaïb Draâ, lors de son passage sur les ondes de la chaîne III. M.Chaïb Draâ a bien souligné que l’école algérienne est totalement en phase avec la loi Fondamentale qui dit que l’islam est la religion de l’Etat. Il a ainsi rappelé que les sciences islamiques sont enseignées de la première année primaire à la troisième année secondaire.

Mais, a-t-il affirmé, l’école n’est pas un lieu de prière mais plutôt un lieu d’apprentissage du savoir. M.Chaib Draâ a d’ailleurs relevé que la seule prière qui intervient au moment où les élèves sont à l’école est « salat Al Asr ». Le conseiller de Benghebrit a invité les élèves à l’accomplir normalement à la maison. M.Chaïb Draâ a rappelé les attaques régulières contre la ministre de l’Education et son staff. Des attaques qui viennent des milieux obscurantistes qui rêvent d’un Etat théocratique à l’afghane en Algérie.

Parmi les plus virulents contre Mme Benghebrit, il y a l’obligé des Frères musulmans Hassan Aribi, qui menace ouvertement et impunément une ministre de la République. Mme Benghebrit dérange ainsi les milieux islamistes par sa réforme du secteur avec une vision moderne de l’école afin de la rapprocher des standards internationaux.

H. A.

Comment (29)

    Anonyme
    8 février 2019 - 20 h 08 min

    Une seule preuve que cette nouvelle attaque islamiste contre la Ministre de l’Education, désignée précisément pour réformer l’Ecole afin d’immuniser les élèves contre le virus intégriste, n’est qu’une énième bouffonnerie sans effet:
    – Entre 8h et midi …il n’y a pas d’heure de prière
    – Entre 14 h et 16 h …il n’y a que la prière du« Al Asr » qui s’annonce à 1/4 d’heure de la sortie des élèves de l’école et qui donne tout le temps pour la faire à la maison!
    Soyons honnête et réaliste :
    – C’est des élèves de 6 à 16 ans (primaire +collège)…95% à ces âges ne font pas la prière!
    – Il s’agit donc de bavardage de quelques islamo-hypocrites, sans liens avec le secteur l’Education qu’appuient quelques députés opportunistes …(en ce moment …l’approche des Présidentielles)

    Confidentiel
    8 février 2019 - 17 h 28 min

    Elle aussi elle a sa feuille de route qui est aussi dangereuse sur le plan éducatif et politique que celle des islamistes pour l’Algérie.

    lhadi
    8 février 2019 - 15 h 51 min

    je suis particulièrement satisfait d’apprendre que la ministre de l’éducation nationale sort du cercle des « tristes pensées » dans lequel l’a entrainé sa fonction ministérielle. Position qui lui permet de développer une théorie du « réalisme dynamique » qui s’oppose aussi bien au « formalisme » qu’au « réalisme statique »

    L’éducation nationale a besoin, avant et par-dessus tout, d’un visionnaire et d’un réformateur qui essaye de promouvoir une reforme radicale, globale, structurée, étudiée dans toutes ses composantes ; tâche extrêmement difficile mais qui peut être surmonter si on déploie une activité à dimensions multiples.

    Il importe, d’abord, d’analyser le système d’enseignement en vigueur, dont il faut ressortir les aspects négatifs dans des études d’une grande rigueur d’où émergera des propositions de réforme très détaillées qui aboutiraient concrètement à des projets de loi.

    L’analyse détaillée et incisive de l’état de l’enseignement est d’un grand intérêt pour ne pas laisser les aptitudes créatives s’apostropher, l’aversion envers le travail s’installer, l’esprit mercantile et le parasitisme favorisés. Ce sont ces défauts qui doivent, entre autres, inspirer les postulat de la reforme.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      lhadi
      8 février 2019 - 16 h 41 min

      Bien lire …les aptitudes créatives s’atrophier…

      merci

      fraternellement lhadi
      ([email protected])

    timour
    8 février 2019 - 13 h 03 min

    Cela s’appelle « la gouvernance à l’algérienne ». On pond une « note » sensé résoudre un problème et en définitive rien n’est résolu. Au contraire il est devenu encore plus compliqué.
    Allez, on continue comme ça pendant quelques années et tous ceux qui auront envie de vivre, de créer, d’inventer, d’imaginer et de travailler partiront sur l’autre rive et enrichiront, de par leur intelligence, par leur savoir, par leur volonté d’inventer et par leur sens de la liberté ceux qui les accueilleront.
    Oui, Lighoul le lavage de cerveau est institué depuis longtemps mais pas pour tout le monde, seulement pour les enfants des pauvres. Ces messieurs n’envoient pas leurs précieuses progénitures dans nos écoles publiques d’un autre âge. L’avenir de ces enfants de parvenus est préservé, ici ou ailleurs, c’est selon les circonstances.
    A-t-on vraiment conscience, nous le peuple, de la situation complètement aberrante dans laquelle nous nous débattons en ce début d’année 2019?
    — une élection probable d’un vieillard malade et handicapé, dans l’incapacité de gouverner
    — une économie vacillante qui demande des réformes urgentes et courageuse
    — une école publique algérienne (qui aurait dû être le fondement de cette république) complètement sinistrée intellectuellement et abandonnée à l’obscurantisme le plus rétrograde.
    — une absence de perspective à long terme
    — une démocratie bafouée où la corruption règne en maître
    Dans toute nation digne de ce nom (sous entendu Etat souverain) l’enseignant est rétribué pour faire fonctionner une structure éducative sensée émanciper le peuple et non insérer la religion dans ce processus.
    Notre système d’enseignement de la première année jusqu’au Bac doit adopter une pédagogie active favorisant les développements intellectuel, culturel, scientifique, artistique (expression orale/corporelle, théâtre, danse) et sportif. Et d’insuffler l’enthousiasme !
    La citoyenneté doit être une des données principales que l’enseignant doit faire découvrir à ses élèves par des activités leur permettant d’assurer des responsabilités et des prises de décision. En n’hésitant pas à ouvrir des débats critique sur des sujets de société.
    L’Ecole algérienne doit s’ouvrir sur le Monde. Notre pays est à la croisée de l’Europe, de l’Afrique et du monde Arabe. Elle a le devoir d’adapter le futur citoyen à ce fait géographique. Elle ne doit pas s’enfermer sur elle-même ni retourner vers le passé
    L’évaluation des élèves doit se faire non seulement sur la connaissance mais, aussi et surtout, sur des items de compétences. Abandon des notes qui ne correspondent à aucune aptitude. Pratiquer une pédagogie de l’effort, basée sur les encouragements, sur le travail en équipe, sur l’auto-évaluation, sur l’auto discipline, sur le dialogue inter élèves…
    La formation pédagogique du personnel enseignant doit être revue en fonction des objectifs préalablement définis mais adaptables selon la nécessité. Cette formation doit être de très haut niveau et doit porter particulièrement sur la psychologie de l’enfant et de l’adolescent mais aussi sur une culture générale sans idéologie, ouverte sur le monde, la science, l’histoire mondiale, la philosophie, la sociologie, la littérature algérienne et mondiale, l’informatique pédagogique.….
    Etre enseignant est une vocation avant d’être un métier. Son aptitude est autant dans ses connaissances théoriques que dans ses qualités intuitives, son esprit imaginatif, sa capacité à s’adapter, dans la confiance que ses élèves peuvent avoir en lui. Il importe surtout qu’il enseigne avec passion.
    Rendre à l’enseignant, dans le cadre de son métier, une liberté pédagogique lui permettant de s’adapter au niveau de la cohorte d’élèves qu’il a sous sa responsabilité. Lui permettre d’avoir la possibilité d’innover dans sa pratique pédagogique et de l’améliorer. L’amener à s’auto-évaluer afin qu’il progresse dans la pratique de la classe.
    Réduire le nombre d’élèves à 25 par classe maximum. Adapter les classes aux élèves handicapés. Equiper les classes de matériels pédagogiques appropriés : bibliothèque, matériel de science, de sport, de jardinage, informatique, magnétophones, caméras…
    Rétribuer l’enseignant à sa juste valeur quant à son rôle primordial dans la société de telle sorte qu’il consacre essentiellement son temps aux élèves. Le reconnaître en tant qu’acteur fondamental de construction de la société
    J’arrête mon délire… j’étais partie sur des considérations complètement débiles. Nous en sommes tout simplement à savoir si oui ou non la prière à l’école est de mise.
    Bah! Au point où en est l’Ecole publique algérienne tant du niveau des connaissances en math. en langues, en sciences, et de la piètre qualité de la pédagogie dispensée par les enseignants qui, il faut le souligner, ne défendent pas leur ministre, cette histoire de prière prouve le désintérêt évident de la grande majorité des citoyens de ce pays pour l’éducation de leurs enfants.
    Après tout prions.
    Il est un fait que notre Ecole publique est à l’image de notre société et de nos gouvernants.
    En d’autres lieux, une telle polémique aurait mobilisé tout le gouvernement et tous les partis politiques soucieux de progrès et surtout de l’avenir du pays. Car, il va bien falloir qu’un jour nous admettions que le système éducatif tel qu’il fonctionne depuis 30 à 40 ans ne peut en aucun cas être le vecteur qui va permettre à notre jeunesse de s’adapter aux difficultés qui les attendent et encore moins mener ce pays vers le niveau technique et culturel pour faire partie des nations avant-gardistes.
    L’Histoire moderne nous enseigne que pour casser les chaînes qui les emprisonnaient dans la soumission et le malheur, les peuples révolutionnaires ont tous compris qu’il leur était nécessaire de dissocier croyance religieuse et éducation/instruction. Et miser sur l’Ecole, seule outil capable d’apporter la liberté et la dignité était leur première préoccupation.
    « Education et instruction » ces deux préceptes qui ont engendré la démocratie et libéré les peuples de la gangrène de l’obscurantisme mais qui n’ont jamais empêché la pratique religieuse de par le monde. Par contre il n’en est pas de même pour l’obscurantisme et le fanatisme.
    Si j’étais Mme Benghebrit, je rendrais mon tablier de Ministre de l’Education Nationale au P.M. en le priant de l’offrir ce monsieur qui ne cesse de l’insulter.

    Anonyme
    8 février 2019 - 7 h 51 min

    l’Ecole n’est pas une Mosquée, le croyance relève de la sphère du privée, il faut un état laïc, l’Algérie first et le reste en second.

    Abou Stroff
    8 février 2019 - 7 h 34 min

    je pense que cette histoire de prière au sein de l’école n’est qu’un aspect du « mélange des genres » au sein duquel se débattent les algériens, dans leur grande majorité.
    en effet, n’avez vous pas remarqué que les piétons marchent sur l’asphalte tandis que les voitures se garent sur les trottoirs, que les deux roues ne semblent pas concernées par le code de la route, que les pilons résonnent souvent dans le mortier dans les bâtiments, à minuit, que les vaches confondent les prairies avec le centre d’une ville, que les seuls individus qui semblent travailler sont nos augustes dirigeants tandis que les algériens lambda tendent leurs mains pour recevoir quelque chose, que nos universités, qui sont classées parmi les dernières au monde, arrivent à produire une quantité astronomique de douktours (le nombre de nos douktours va bientôt dépasser le nombre d’habitants de l’entité sioniste, etc…… ?
    moralité de l’histoire: une société désaxée comme l’est la société algérienne, une société qui a perdu tous ses repères et toutes ses valeurs ne peut vivre que dans l’irrationnel puisque seul l’irrationnel qui donne l’impression d’expliquer les choses et les phénomènes permet aux individus lambda de ne pas sombrer dans une folie profonde et une profonde névrose.

      Anonyme
      8 février 2019 - 11 h 01 min

      Oui, les problèmes d’existentialisme, s’accrocher à la religion pour donner un sens à un non sens.

    Anonyme
    7 février 2019 - 22 h 53 min

    Et les drogues et la délinquance dans nos écoles et universités pourquoi vous n’en pipez mot sans compter le niveau qui ne cesse de se dégrader

    benchikh
    7 février 2019 - 21 h 19 min

    çà me rappelle quand Gold Meir était inquiète le jour ou un colon juif a essayé de brûler la mosquée d’El Aqssa ,cette nuit là ,Gold Meir avait peur que les Arabes attaquent Israel .Le matin venue y avais rien qui s’est produit alors Golda Meir avait dit sa fameuse phrase sur les Arabes « Maintenant on peut faire ce qu’on veut  » et après tous ces années sa parole donne encore ses effets quelle intelligence de sa part et quelle stupidité de notre part .Et elle dit « La paix s’installera ici le jour où les Arabes aimeront leurs enfants plus fort qu’ils ne nous haïssent. » »Nous pouvons pardonner aux arabes de tuer nos enfants mais nous ne pouvons pas leur pardonner de nous forcer à tuer leurs enfants ». »On ne peut pas et on ne doit pas tenter d’effacer le passé simplement parce qu’il ne répond pas aux exigences du présent. »L’homme doit être maître du temps, pas son esclave. » Une société qui ne pense pas et ne raisonne pas à une forte logique ,c’est une société artificielle ne tarde pas à être colonisé .

      benchikh
      8 février 2019 - 9 h 23 min

      si on rassemble toutes les prières (l’aube,après midi,el assar,le coucher du soleil ,tard la nuit (el ichaa) ça veut dire les cinq prières ne dépassent pas les 10 minutes voyez -vous 10 minutes sur 24 heures c’est rien pour un petit remerciement » logique humaine » mais le vrai contenu de la prière fonctionne comme une soupape de redressement « logique divine » pour des offres illimités d’un créateur généreux (cette éclaircie pour les gens qui ignorent la prière )

    jean faislaune
    7 février 2019 - 21 h 12 min

    En Suède et dans d’autres pays d’Europe, il existe dans les établissements des salles de prière destinées aux personnes de culte musulman. Ça n’a jamais dérangé qui que ce soit. La prière (1seule , celle du Asr) dure moins de 5mn . Pourquoi en faire une affaire d’État ? « L’islamisme » est devenu le cheval de bataille de tous ceux qui dénigrent la religion du peuple algérien. Les problèmes de l’Algérie sont ailleurs… Il y a une véritable crise de civisme. Les valeurs sensées être enseignées par l’école ne le sont plus, hélas!

      Anonyme
      8 février 2019 - 2 h 45 min

      Un piège pour que les enfants d’immigrés musulmans en Suède, restent enfermés dans la religion, et ne réussissent pas à l’école

    La Cacophonie
    7 février 2019 - 19 h 51 min

    Aberrant ! Au lieu de réclamer des bibliothèques, des ateliers pour l’éveil du génie créatif des enfants, ou des espaces informatiques, certains réclament des massala,qui n’ont pas lieu d’exister dans l’école républicaine. Les gens responsables et sérieux s’acquittent de salat Al-Asr,une fois à la maison, ou à la mosquée, et ,ça n’a jamais, au grand jamais généré de problèmes, même auprès des étudiants, ni même auprès de ceux qui sont inscrits dans des instituts islamiques, parce que lors de salat Al -Asr, le prof fait son cours!
    Beaucoup semblent ignorer que les les établissements scolaires sont tenus de respecter les règles de discipline qui régissent les écoles, du primaire, au lycée, et que tout manquement au respect de ces règles est sanctionné par un conseil de discipline. Par ailleurs, les instituteurs/trices,et professeurs sont tenus de veiller,et gérer leurs élèves, selon ces même règles, et gérer leur salle de cours,en professionnels exemplaires,avec le respect et l’écoute dûs envers ces jeunes enfants, et adolescents.
    Je vous rappelle que cette jeune fille en France,a quitté sa salle de cours en présence de son prof, pour aller faire sa prière dans la cour de l’établissement, alors qu’elle assistait à un cours accompagnée de ses camarades,et malgré le refus affiché de son prof.
    Mme Benghebrit est envoyée seule au front au devant des hordes islamistes,alors qu’il revient au premier ministre de lui prêter main forte ,pour mettre fin à cette anarchie. C’est bien monsieur Ouyahia qui a interdit le port du nikab aux professionnelles des établissements publique, non? Alors où est-il pour remettre de l’ordre dans cette cacophonie qui secoue les établissements scolaires, qui sont,je le rappelle,des institutions républicaines, à caractère publique.

      Mourad
      8 février 2019 - 10 h 24 min

      C’est pour encourager nos petits élèves à émigrer en Suède !

    UMERI
    7 février 2019 - 19 h 27 min

    Mme Benghebrit, on doit l’ appeler femme courage, qui se bat contre l’obscurantisme néfaste, pour l’avenir de nos enfants. Ces islamistes, se comportent comme des gardes fous, ils sont là, pour entraver toute action de modernisme, ils sont contre tout progrès enregistré, pour sortir l’école de la République, de l’ignorance.Ce sont eux, avec la complicité des corrompus, qui causent un retard considérable, dans le développement du pays.Ils F…..la pagaille partout, s’incrustent dans les institutions et font un travail de sape, pour créer un chaos dans le pays et nous ne les laisseront pas faire, tous les démocrates, tous ceux qui aiment l’Algérie, doivent leur barrer la route.Soutien TOTAL à Mme Benghebrit, dans son combat, pour la réussite de son programme scolaire.

    LE NUMIDE
    7 février 2019 - 19 h 21 min

    CETTE DAME BERBERE ALGERIENNE RESPECTABLE ENGAGÉE PATRIOTE ET COURAGEUSE VAUT MILLE HOMMES SOUMIS ET MAWALIS QUI SE LAISSENT INTIMIDER PAR LES VOYOUS FANATIQUES DU WAHABISME ET LEURS GOUROUS PEDOPHILES

      Hors sujet
      8 février 2019 - 19 h 03 min

      Le sujet n’a rien a voir avec les Berbères et les Arabes d’ailleurs il y a des islamistes des deux côtés.

    Un gars
    7 février 2019 - 18 h 39 min

    Foncez Madame La Ministre. Le peuple raisonnable est avec vous!

    Anonyme
    7 février 2019 - 18 h 23 min

    Un vrai musulman ne croit pas à la liberté et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mohamed. Tout ce que fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. L’abdication totale de leur liberté n’est pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté innée.
    Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une énorme tromperie.

      Chaima'h
      8 février 2019 - 2 h 25 min

      Ne généralisons pas le peuple n’est avec cette personne appelée benghebrit sans foi ni loi… parceque selon elle les pratiquants sont des ignares qu’il faut corriger, rien d’étonnant de la part d’une athée qui ignore que Dieu notre Créateur est le plus Savant…Sa totale ignorance de l’islam lui fait dire et faire n’importe quoi en toute impunité, elle nous a habitué à ses fataws, le pire c’est qu’elle s’en sort curieusement tjrs indemne!?¡

        Anonyme
        8 février 2019 - 5 h 45 min

        À chaima ‘h

        Votre, idéologie n’en tient qu’à vous, la prière pourquoi routes les religions à ses lieux et pas l’école qui est un établissement du savoir, la ministre a raison et nous soutenons sa démarche et tous vers l’épanouissement.

        Rachid
        8 février 2019 - 19 h 08 min

        J’aime pas cette parachutée protégée pour d’autres raisons mais les islamistes aussi parce qu’ils ont détruits la personnalité algérienne comment par exemple même les prénoms les ont importés du Moyen Orient comme le tient.

    abdel
    7 février 2019 - 18 h 07 min

    « ils revent d’un etat théocratique a l’afghane en ALGERIE » » autrement dit,ils veulent une école exclusivement réservée aux garçons,avec un enseignement ou les maths,l’histoire,la science,la philosophie etc, etc ! seront bannis ! joli programme!!et tout ça, se passera dans le meilleur des mondes,comme disait l’autre!!

    Où va l'école de la République ?
    7 février 2019 - 17 h 51 min

    Au rythme où va l’école de la République, j’ai comme l’impression qu’elle basculera plus (c’est une question de temps) vers des sortes de confréries religieuses, des zitounas, des zaouïas où différents rites vont s’y implanter progressivement et pour se combattre entre elles sournoisement, bien sûr ! Les « thèses philosophico-religieuses » des courants les plus en vue dans le monde comme le hanafite, chafaïte, malékite, hanbalite, soufie, djihadiste, sunnite, chiite etc… etc… etc.. vont probablement supplanter dans nos écoles algériennes les mathématiques, la physique, la chimie, l’économie, les sciences naturelles, l’informatique et même le sport, oui même le sport ya el khaoua ! Donc, ne nous énervons pas trop, ce n’est pas bon pour le cœur ! La matière principale avec le plus fort cœfficient, sera (inchaa allah ouah maacha allah grâce au dynamisme de la mouvance militante FLNo-islamiste et avec la complicité du pouvoir), l’«éducation islamique», promis ! Donc le plus grave dans tout çà ce n’est l’islam en tant que tel, mais l’islam livré en pâture à toutes ses déviations, qui pourtant doit être une religion qui est une affaire privée, personnelle. Mais on a à faire à un islam entre les mains de partis politique religieux voulu par le pouvoir politique, alors qu’il a lui-même interdit la religion à des fins politique dans sa propre Constitution de 2016 , article 52 aliéna 16 !

    Mais moi ce que je voulais vous donner comme nouvelle c’est (et ce sont des informations vérifiées par des recoupements … donc c’est officiel), l’état d’abattement qui a gagné Dieu, le Tout Puissant, l’Immanent ! J’ai appris qu’il a réuni en session plénière les anges, les diables, les vierges et les diablotins chargés de surveiller les chaudières bouillantes de l’enfer, pour leur confier ceci : « waouh, chères créatures de l’au-delà, je suis dépassé ! Je ne m’attendais pas à ce que ce livre vert sacré que j’ai révélé par le prophète Mohamed (lssl) interposé, et qui au départ a été envoyé juste pour susciter l’amour de Dieu, l’amour entre les hommes, la solidarité humaine, le don, la bienfaisance, etc… etc.. ait été habillé, enrobé, noirci par autant de significations, d’interprétations et de pratiques abracadabrantes et différentes les unes des autres ! C’est inimaginable ! Ils m’ont surpassé ! Ma parole est devenue surannée, démodée ». Il a fini son discours en ajoutant : «chères créatures, je suis dépassé, en se tenant la tête entre les mains ! … Je vais démissionner, j’en peux plus !». Je n’ai jamais eu une compassion et commisération aussi grandes que celles que j’ai ressenties envers lui !

      anonyme
      7 février 2019 - 18 h 21 min

      Ce livre vert a été précédé par plusieurs autres, comme Mouhammad fut précédé par de nombreux autres messagers. Nos chers islamistes devraient se demander ce qu’il est advenu de ces divers messages et de ces divers messagers, chaque fois que Dieu et sa foi ont été « institutionnalisés » par des outre-Dieu : défaite sur défaite, au point qu’ailleurs, d’anciens croyants permettent à leurs enfants de se marier avec des personnes de même sexe. A force de vouloir remplacer Dieu et sa parole, les islamistes finiront par les tuer. Nous sommes tous Ses créatures et nous avons tous notre mot à dire. Ne suivons pas ces zélateurs mortifères ! Il y a Allah et moi et je me contrefiche de quiconque se met entre Lui pour me donner sa version du message divin !

        Complice ?
        7 février 2019 - 20 h 15 min

        @Anonyme – 18 h 21 min si tu t’en fiches de ces dérives de l’islam radical et rétrograde, si tu t’en fiches de l’existence de plusieurs interprétations et mouvances de l’islam et du Coran, si tu t’en fiche de l’islam politique, si tu t’en fous de ceux qui instrumentalisent l’islam à des fins politiques pour prendre le pouvoir cela veut dire que tu es complice dans la dégradation de l’islam, de cette grande religion qu’elle fut lors de sa phase des lumières !

    Anonyme
    7 février 2019 - 17 h 25 min

    Mme Ben Ghebrit accomplissez votre devoir de ministre en respectant les valeurs de la republique,comme celle de reserver l ecole exclusivement pour acquerir le savoir et nourrir l esprit par la culture de la science et de la tolerance.Merci Mme La Ministre.

    ripper
    7 février 2019 - 16 h 46 min

    C’est à se demander qui intimide qui !

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