Les appels à une grève générale de cinq jours largement désapprouvés

Manif grève
Les opposants à la grève craignent une démobilisation des citoyens. PPAgency

Par R. Mahmoudi – A quelques heures de l’entame de la grève générale qui avait été lancée anonymement dès le deuxième vendredi de la protestation citoyenne, la Toile a été inondée d’une avalanche de commentaires franchement hostiles à cette action, très souvent postés par les partisans les plus fervents et les plus actifs des manifestations contre le cinquième mandat. Ce qui laisse entendre, a priori, que le mot d’ordre de la grève risque de ne pas être massivement suivi. Or, l’appel s’était tellement propagé qu’il sera difficile de l’annuler à la dernière minute.

«Attention ! Les marches mobilisent, les grèves démobilisent !», «La grève générale n’est qu’une manœuvre machiavélique de ceux qui veulent briser l’élan de la mobilisation», «Cet appel à une grève générale de 5 jours va semer des tensions au sein de la population». Des dizaines de commentaires, publiés presque en même temps et allant dans le même sens, demandent aux citoyens de ne pas suivre l’appel à la grève, alors que d’autres expliquent qu’à l’origine cet appel concernait seulement le secteur public, en appelant les épiciers et autres établissements privés à rester ouverts durant ces cinq jours, au motif qu’une telle grève ne pénalise que les citoyens.

Plus maladroits, certains cyberactivistes rejettent le mot d’ordre de la grève et toute idée de désobéissance civile, sous prétexte qu’ils sont d’origine anonyme, oubliant que tous les appels à manifester contre le cinquième mandat sont eux-mêmes anonymes !

Les plus radicaux ne s’expliquent pas ce soudain revirement d’un large secteur de l’opinion, en appelant à assumer la lutte contre le système en place par «tous les moyens pacifiques», y compris donc par la désobéissance civile.

A noter que les autorités n’ont pas encore réagi officiellement à ces appels. Seule l’Organisation algérienne de la protection du consommateur a tenté, à travers des déclarations à la presse, de rassurer les citoyens paniqués à l’idée de ne pas pouvoir se ravitailler en produits de première nécessité.

R. M.

Comment (30)

    ANONYME 1
    10 mars 2019 - 21 h 38 min

    Qui a donné ordre à faire cette grève.
    Les commerçants comme des moutons suivent sans savoir qui est derrière cette idée de faire grève générale.
    Elle n‘a ni queue ni tête.
    Cette grève va à l’encontre des intérêts des commerçants eux mêmes. Il y a un manque à gagner.
    Et surtout va à l’encontre du pays que nous sommes censés défendre contre ceux qui volent et pillent.
    Sans le savoir ces commerçants sont en train de faire pire que ceux à qui ils sont censés demandé de partir.
    Et les citoyens sont pénalisés illégalement de ne pas trouver des produits disponibles devant chez eux. Ce qui laisse comprendre que ces citoyens sont sanctionnés d’avoir marchés contre le système.

    khalilsadek
    10 mars 2019 - 19 h 29 min

    ATTENTION! Simples inquiétudes.
    En general, toutes révolutions ou révoltes sont pensées par des gens responsables et censés quand a l’issue de leurs actions, et comme ce qui se passe ces jours dans notre pays vient de sources anonymes et douteuses voir de délinquants de reseaux sociaux, il ya de quoi s’inquieter de la sortie de cette confusion générale, les algeriens qui ont acceptés cette aventure non réflechie et non encadrée, doivent étre sportifs et accepter aussi les consequences doulereuses, d’abord politiques, a savoir conflits identitaire, religieux, du régionalismes, idéologique voir interconfessionnels qui apparaiteront lors des assises politiques futures. Et surtout économiques qui auront une incidence direct sur leurs niveaux de vie, par exemple en se comparant aux pays qui ont optés pour ce jeux a savoir la tunisie et l’égypte pour ne citer qu’eux, ont a vus leurs niveaux de vie divisé par quatre, par exemple :
    La livre egyptienne qui cotait 5,75 dollars en 2012 vaut aujourd’hi 17,8$.
    Le dinar tunisien qui valait 1,8 Euro en 2012 vaut aujourd’hui 3,4 Euros .
    Sans compter le niveau d’inflation qui s’est multiplié par quatre ou cinq fois, autrement dit, s’il y aura transision anarchique et comme ça a l’air d’aller se produire, il faut que les Algeriens accepteront une demie décennie voir une décennie NOIRE et DOULEUREUSE sur leur niveaux de vie, auquel il faut s’attendre a des suppressions de toute sortes de subventions, augmentation des prix de l’électricité, gaz, essence et toute sortes de consommation.
    Ces couts seront inévitables vu l’anarchie et l’amateurisme des nouveaux arrivants comme c’est le cas en égypte et en tunisie, qui eux ont des économie et non une rente comme c’est notre cas qui sera pire.
    Il faut Peut étre noter pour rappel les indicateurs macoéconomique de la lois de finance 2019 au prix actuel du marché, parce qu’ont a mis 20 ans pour les atteindres, une fois cet acquis évaporé on doit patienter encore au moins une dizaine d’années voir plus pour retrouver notre niveau de vie actuel, le recours aux FMI et au tourisme S…… alors s’imposeront comme solutions économiques de tous les futurs gouvernants qui seront égarés dans des divers problémes, et en avant la musique.

    Quelqu'un
    10 mars 2019 - 16 h 45 min

    AL HAMDOU LILLAH, KAYEN EL KHIR de toutes sorte

    Felfel Har
    10 mars 2019 - 15 h 40 min

    Il ne faut surtout pas relâcher la pression, maintenir notre détermination, notre volonté de changement de tout le système politique archaïque qui nous opprime depuis 1962. Une nouvelle maison Algérie doit être érigée en faisant appel à d’autres architectes, plus qualifiés que les précédents.
    Dans le même temps, nous devons protéger notre patrimoine économique contre ceux qui seraient tentés par la politique de la terre brûlée. Nos polices des frontières devraient renforcer leur surveillance pour prévenir l’exportation frauduleuse de fortunes mal acquises, car les rats vont bientôt quitter le navire. Les banques devraient signaler tout retrait massif d’argent.
    Il est temps de reconquérir notre pays!

    firmus
    10 mars 2019 - 15 h 21 min

    La grève pourrait être inefficace si elle n’ est pas suivie de mobilisation massive, de manifestations revandicatrice et joyeuse car libératrice. On parle d’ immobilisme, de grève pour qu’ il y est justement le maximum de personne dans les rues. Ceux qui sont contre ne pensent qu’ à leur ventre et à leur commerce mais ne pensent pas au besoin extrême de changer de régime bouteflikien par la mobilisation et le nombre ! Quel égoïsme ! Pendant ces jours de grève, mobilisation par cette greve pour immobiliser les bouteflikistes, au menu de cette greve: revendications, joie, chants, slogan anti boutef et 5eme mandat, des liesses comme au lendemain de notre indépendance.

    Kahina-DZ
    10 mars 2019 - 14 h 53 min

    Je suis contre cette grève générale.
    La source de cette grève: Zitout l’homme des Wahhabo-Qatari et du voyou Amirdz.
    Sans oublier le Qatari Hafidh Derradji.

    Non à ceux qui vivent de la trahison à leur pays. NON aux sanguinaires de la décennie noire ( LE FIS).

    Socrate
    10 mars 2019 - 12 h 54 min

    Un grève serait efficace au niveau de la Sonatrach et durer plus de 5 jours ! Pour le régime Algérie veut dire Revenus pétroliers.

      Anti khafafich
      10 mars 2019 - 16 h 10 min

      Tu oublies que ce sera votre total qui en recevrait le coup fatal

    Lghoul
    10 mars 2019 - 12 h 50 min

    Avons nous besoin d’un schema pour voir ou comprendre qu-ils ont transforme l’Algerie en propriete privee ? Quand un grand pays riche comme l’Algerie est pris en otage et privatise comme la propriete d’une poignee de brigands, la faim ne veut plus rien dire pour un peuple deja affame. Sonatrach est la prochaine pour leur taper a leurs poches.

    Grèves désavouées !
    10 mars 2019 - 12 h 48 min

    Très, très bonne nouvelle que cette décision de ne pas recourir à la grève car cette méthode peut se retourner contre le peuple lui-même ! Par exemple, les fonctionnaires postiers ont proposé une grève sous forme de brassard blanc sur le bras , mais ils vont quand même au travail, car le service public se doit de continuer à fonctionner, en tout qu’à pour l’instant car on n’est qu’au début de l’insurrection.

    PS : il faut inventer des formes de ripostes graduelles mais qui ne portent pas préjudice à la vie en société, à l’activité en général ! L’exemple et le courage des avocats qui se sont présentés devant le Conseil Constitutionnel, geste hautement symbolique, est efficace et productif ! Les méthodes extrêmes ne peuvent être utilisées que si le pouvoir rejettent toutes les revendications de la rue et reste dans une sorte d’entêtement aveugle, sourd et irresponsable ! çà c’est une autre paire de manche !

    Lghoul
    10 mars 2019 - 12 h 32 min

    Dans toute guerre de liberation pacifique comme la notre, unique au monde, le peuple n’est PLUS un tube digestif haddad a pourtant dit « Ramenez leur a manger » … pour qu’on se taise. Alors pourquoi persistent ils dans leur aveuglement s’ils « aimaient » l’Algerie ? Le peuple n’en veut plus d’eux. C’est plus clair que k’eat de Roche. Mais ils aiment tout simplement le pouvoir a en mourir mais jamais l’Algerie et ses interets.

    TARZAN
    10 mars 2019 - 12 h 04 min

    les seuls magasins fermés sont ceux situés sur le passage des manifestants, mais certains ont déjà ouvert, déjà que la vie est très dure et si maintenant on doit fermer boutique, c’est l’asphexie financière garantie

    lhadi
    10 mars 2019 - 11 h 27 min

    L’opportunisme qui se refuse à la transformation de la société ou du moins l’envisage en dehors de toute réalité est une infirmité grave qu’il faut combattre avec vigueur.

    L’instabilité de ce révolutionnarisme de circonstance, la propriété qu’il a de se changer rapidement en soumission, en apathie, en vaine fantaisie, et même en engouement « enragé » pour telle ou telle tendance « à la mode ». Tout cela est de notoriété publique. Mais la reconnaissance théorique, abstraite de ces vérités ne préserve aucunement des vieilles erreurs qui reparaissent toujours à l’improviste sous une forme un peu nouvelle, sous u n aspect ou dans un décor qu’on ne leur connaissait pas encore, dans dune ambiance singulière, plus ou moins originale.

    L’analyse de la situation politique exige que l’on parte de la réalité telle qu’elle est, non pas pour s’en accommoder, mais pour la comprendre et mieux oeuvrer à la modifier dans la pratique. La politique ne saurait être une science sans cela. Toute théorie et toute action politique, qui au lieu de se fonder sur les réalités de la vie sociale, sur le rapport réel des forces politiques à un moment donné dans un pays donné, part des propres désirs de l’observateur, individuel ou collectif, n’est que fantaisie vaine ou utopie mortelle.

    Or, les génies algériens, ceux qui prétendent savoir la réponse avant la question, ignorent ou sous-estiment les réalités du moment. Ils font passer les désirs, les volontés d’un groupe d’hommes avant les données d’une situation concrète. Avec des mots, ils pensent pouvoir modifier les faits. Avec des actes i individuels, ou en petits groupes, ils ont l’illusion de créer une situation révolutionnaire même s’il n’en existe pas les prémisses objectives. C’est en cela l’utopisme d’un autre âge.

    Prendre ses désirs pour la réalité, cela mène à substituer l’aventure à la révolution.

    Cela conduit à nier la nécessité des étapes dans le combat pour le changement, à ignorer l’interdépendance de la lutte à caractère économique et de la lutte politique, à méconnaitre la liaison existant entre la lutte pour une justice sociale et le combat pour la démocratie, à affecter le mépris pour la politique d’alliance de la classe ouvrière avec d’autres couches sociales victimes elles aussi de la politique actuelle.

    La démagogie est la négation de l’esprit révolutionnaire dont l’unité de pensée et d’action est basée sur les principes du centralisme démocratique, ce qui implique le débat avant toute décision, mais exclu la fraction.

    Le pouvoir ne redoute pas un mouvement émietté en dizaine de sectes et de fractions. Il y voit au contraire un moyen d’affaiblir la véritable organisation Son pire ennemi est le mouvement organisé.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Farida
      10 mars 2019 - 12 h 20 min

      Personne ne comprend le language
      voile du pouvoir.

    Khorrotov
    10 mars 2019 - 10 h 57 min

    Quand bien même la grève demeure une arme redoutable autant que la désobéïssance civile, il faut que toute cette énergie que dégage la rue, soit canalisée et qu’il est impératif et urgent que les partis, les associations, les syndicats, bref, toutes les composantes de la société se concertent pour dégager des représants crédibles. C’est à ces derniers et à eux seuls de gérer ces grands mouvements de masse, de décider de toute action allant dans le sens de l’intérêt du peuple, notamment le choix du timing de déclencher une grève ou toute autre actionLe déclenchement d’une grève ne se fait pas à l’emporte-pièce , tout comme aller à une manifestation; cela risque de fragiliser tout cet espoir et fera le jeu du pouvoir qui n’attend que cela. Le clan ne dort pas, il fait bon dos pour le moment tout en préparant la riposte. Il faut une attention particulière pour l’entretien et la régénéraration de toute cette énergie, sous peine d’essoufflement.

    Abou Langi
    10 mars 2019 - 10 h 34 min

    Cinq jours ? Ça va pas non ? Les tubes digestifs que nous sommes ne résisteront jamais ! Déjà qu’on marche le vendredi après la prière sans résultat, et vous voudriez en plus qu’on fasse grève?

    Une grève général! Comme si depuis 62 on n’avait pas de pétrole et qu’on s’est tués au travail .

    Pendant que vous y êtes pourquoi pas une grève générale de la faim. Ça attendrira peut être le Pouvwar et il va enfin céder.

    Anonyme
    10 mars 2019 - 10 h 11 min

    C’EST PAS LE MOMENT. IL FAUDRA LA FAIRE S’ILS MAINTIENNENT LE VOTE. UN JOUR AVANT ET LE JOUR J.
    Même durant la révolution, ça a été fait pour attirer l’attention de l’opinion publique internationale et ça nous a coûté très cher. Aujourd’hui avec les moyens de communication, l’opinion publique internationale sait ce qui se passe et soutien le peuple algérien. Donc, pourquoi faire, quel serai l’objectif ?
    L’urgence, c’est de dégager des représentants du peuple pour négocier la suite des événements, à savoir la période de transition et préparation d’élections libres.

    Quelqu'un
    10 mars 2019 - 9 h 47 min

    la démocratie ne sème pas la terreur, ni la famine.
    si la démocratie est un processus systématique qui ne trouve pas de solution, l’intérêt de la nation est dessus de toutes considération.

    Droits Humains
    10 mars 2019 - 9 h 32 min

    Sur ces mêmes colonnes, j’avertissais de la nécessité d’être attentif à la guerre lancée contre l’Algérie. certains, certainement des agents, me riaient au nez. Eh bien, aujourd’hui, je le dis, l’Algérie est au bord du précipice. Les appels anonymes n’émanent de nul part, mais bien d’organisations formées par l’OTAN, dans le cadre du printemps arabe. Ils ont submergés la toile avec des appels anonymes pour faire tomber le pays.
    Ceux qui croient qu’on peut mettre des millions de gens dans la rue, juste par des appels anonymes, se trompent. Il y a bien un complot contre l’Algérie. Aucune république dite « arabe » ne doit rester debout: l’Irak, la Libye, la Syrie, l’Afghanistan, le Soudan, la Tunisie, … Avez-vous vus un printemps dans les monarchies « arabes » ???
    Ceux qui croient au hasard, sont soit ignorants, soit complices. Il n y a pas de hasard dans de tels événements.

    Anonyme
    10 mars 2019 - 9 h 04 min

    Jamais tomber dans le cercle destructeur des greves ,qui n ont rien a voir avec nos revendications legitimes du refus du 5 eme mandat de la honte et l exigence d un changement radical d un systeme politique mafieux pour la realisation d une democratie participative avec l exigence d entreprendre les reformes indispensables de la constitution pour la mettre a niveau des des valeurs republicaines et du droit universel…..Rejeter avec force l engrenage destructeur des greves,c est ce que cherchent toutes ces forces internes et externes contre revolutionnaire et ennemi des projets de notre peuple pour la liberte,l independance et la dignite…..Non pas de greve..point barre

    Reda
    10 mars 2019 - 9 h 01 min

    Les étudiants dérivent. Ils veulent affamer le peuple après avoir ruiner l’Université. Des nullards inconscients veulent offrir le pays aux islamistes. Y’a t il plus pleutre que les étudiants algériens? répondez-moi

      Farida
      10 mars 2019 - 12 h 16 min

      Le peuple est deja affame.
      Alors seuls les tubes digestifs ont beaucoup a perdre.

    Anonyme
    10 mars 2019 - 8 h 57 min

    La grève doit se faire au niveau des institutions de la fonction publique ,là ou l’État est représenté.et surtout pour répondre a sidi Saïd affin de lui dire de. E pas parler au nom des tra aiejrs Algérie s qu’il ne représente en RIEN.

    Anonyme
    10 mars 2019 - 8 h 07 min

    la gréve c est peut être tes enfants qui serons privé de lait et manquer les cours ,,les (dirigeants) et compagnie on toujours leurs stock de viande fraîche et la boite de secoure bien garni ,,,,,,et qui c est le perdant??

    icialG
    10 mars 2019 - 7 h 55 min

    une gréve ce n est pas les clans qui on souffrirons mais ce qui la font et leurs enfants,,, paralyser le pays serait plutôt favorable a ceux qui se prétendent dirigeants ,,, méfiez vous des provocateurs a la soldes du régime ils ferait n importe quoi pour conserver le pouvoir,,, d ailleurs ghoul a juger que ceux qui sont contre le 5ême sont des ennemies, c est une déclaration de guerre au algériens il a fait de lui même u ennemies du peuple mais nous ne céderons pas aux menaces ni aux provocations, on a atteint un niveau élever de sagesse

    Antisioniste
    10 mars 2019 - 7 h 54 min

    La seule grève qui pourra avoir un vrai et réel impact sur les tenants du pouvoir et un écho mondial c’est celle des travailleurs de la SONATRACH s’ils veulent apporter leur grain de sable dans la lutte national entamé par l’ensemble du peuple.

      Sacro-Saint
      10 mars 2019 - 8 h 45 min

      Je suis de votre avis mon frère, il faut mettre le doigt là ou ça fait mal au pouvoir non au peuple. Sonatrach, Cies Aériennes, travailleurs des ministères, juges, avocats, sport … sont largement suffisants.
      On peut consolider à l’extrême limite avec des gréves générales d’une demi journées ou tout au plus 1 journée
      à chaque fois que c’est nécessaire.

      Bien entendu, avec un service minimum pour les secteurs vitaux.

      Amitiés —

      Elephant Man
      10 mars 2019 - 12 h 28 min

      @Antisioniste
      Du grand n’importe quoi.

    NORD DEAN
    10 mars 2019 - 7 h 31 min

    Prière, partagez sur tous les réseaux sociaux :

    Le prochain « PRIX NOBEL DE LA PAIX » doit être discerné au « PEUPLE ALGÉRIEN »

    Merci

      Anonyme
      10 mars 2019 - 14 h 34 min

      C’est quoi cette obsession du Prix Nobel ? Déjà qu’on a essayé en vain de proposer Bouteflika, et maintenant « le peuple ». Un prix se mérite, il ne se demande pas ! Retroussez-vous les manches et mettez vous au boulot au lieu de demander des prix et des récompenses avant même d’avoir fini le boulot.

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