. Le président de la République sortant a mis fin au mandat de tous les membres et, de fait, à tous les conseils et autres formes administratives qui composaient la HIISE. Il n’y a que l’organe administratif ou exécutif qui a été maintenu et que je dirige en tant que secrétaire général de la HIISE et ordonnateur principal, pour les gestions courantes. Pour recomposer, il faut le faire suivant les lois qui existent déjà. L’article 193 de la Constitution parle de pouvoir public qui prend en charge les élections, et là, je pense que la HIISE est justement ce pouvoir public qui peut organiser les élections, toujours suivant l’article 193, auquel on rajoutera le 194 qui le complète, car le premier ne définit pas les pouvoirs publics dont nous parlons. Maintenant les choses ont changé, puisque la nouvelle Haute instance aura le loisir non seulement d’organiser et de superviser les élections, mais aussi de proclamer les résultats. On n’est plus dans une logique de comité mais dans une logique institutionnelle.
SI JE COMPRENDS BIEN MAKHLOUF FOUAD DIT QUE LA HIISE A ÉTÉ DISSOUTE ET QU’IL RESTE LE SEUL MEMBRE ( en tant que SG) EN PLACE.
NOUS SOMMES EN SEPTEMBRE ET CONSTITUTIONNELLEMENT PLUS RIEN DE CE QUI A EXISTÉ DU TEMPS DE BOUTEF NE PEUT PRÉTENDRE À UNE LÉGALITÉ.
Tout ce qu’il a dit est nul et non avenu.
« Dissolution de la Haute instance de surveillance des élections »…
normal qu’elle soit dissoute, elle ne sera plus utile puisqu’il n’y aura plus d’élections. A partir du 28 avril, date de fin du 4ème mandat, nous rentreront officiellement en dictature déclarée et assumée
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