Accidents de la route : 22 morts en 48 heures

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La Protection civile est toujours sur le qui-vive à travers les routes du pays. D. R.

Vingt-deux personnes ont perdu la vie et 45 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus ces dernières 48 heures à travers le pays, selon un bilan établi par les services de la Protection civile.

La wilaya de Djelfa déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 4 personnes, alors qu’une autre a été blessée, suite à une collision entre un camion et un véhicule léger survenue sur la RN 40, dans la commune de M’licha.

Durant  la même période, les plongeurs de la Protection civile sont intervenus pour repêcher les corps sans vie de deux baigneurs. La première victime est morte par noyade sur une plage interdite à la baignade, dans la wilaya de Boumerdès, alors que la deuxième s’est noyée sur une plage surveillée, dans la wilaya de Annaba.

R. N.

Comment (2)

    Gendarmes et sécurité routière
    7 juillet 2019 - 10 h 58 min

    Il faut que les citoyens algériens sachent que la Gendarmerie Nationale compte près de 200 000 hommes , c’est énorme ! Nous citoyens algériens , nous avons constaté que sur nos routes et nos autoroutes on voit rarement (en tout cas pas suffisamment au regard de cet effectif ) des gendarmes mobiles en moto ou des voitures de gendarmeries affectée spécialement à la surveillance de la circulation routière et du respect du code de la route ! Quand on voit des convois ou des voitures de gendarmes c’est quand ils se déplacent pour rejoindre des barrages fixes dont le rôle est plus d’encombré la circulation, de surveiller les citoyens et de les faire chier par des bouchons routiers. Le comble ces gendarmes savent qu’ils ne sont pas là pour les terroristes car ils savent très bien qu’un terroriste ne prend pas la route pour se déplacer. Ils nous laissent juste une voix sur les trois qui existe sur nos autoroutes pour nous faire chier ! Quel est leur rôle , quel est leur l’objectif ???

    Je fais souvent des déplacements entre Alger et Chlef, entre Alger, Sétif et Constantine, je vois très, très rarement des gendarmes motocyclistes ou des voitures de gendarmerie avec des radars de surveillance embarqués sur véhicules pour dénicher les excès de vitesse ! Ils préfèrent s’immobiliser dans des barrages pour gonfler leur poitrine avec un « regard suffisant » lors des passages de nos véhicules devant eux ! Pourtant, ils savent qu’il existe toujours des dépassements faits par des camions sur la troisième voix, qu’il existe toujours des slaloms sur nos routes, qu’il existe toujours des dépassements à droite et à très grande vitesse sur la droite et même sur la bande d’arrêt d’urgence, qu’il y a toujours des dépassements de vitesse réglementé. Comment voulez-vous baisser le nombre de morts sur nos routes quand il existe plus de gendarmes stationnés en campement plutôt qu’en activité sur les routes et autoroute ! C’est mouhaal oua abadène. A quand l’affectation d’une bonne partie de ses 200 000 hommes pour la sécurité routière au sens professionnel du terme , mais pas en tant qu’appui à l’armée pour régler des questions de sécurité autres que la fonction première d’un gendarme ???

    Mektoub
    6 juillet 2019 - 17 h 26 min

    Je compatis vraiment à la douleur des familles qui ont perdu leur proche dans ces accidents de la route que je déplore, c’est horrible ! Vous vous rendez compte un peu, 22 personnes ont perdu la vie en 48 heures, catastrophique ! Je reste sans voix. Qui incriminer franchement pour arrêter cet hécatombe : l’excès de vitesse des conducteurs, le mauvais état du réseau routier inquiétant, la vétusté du parc automobile ou bien encore l’Etat qui ne joue pas assez son rôle, en matière de sécurité routière ou les 4 à la fois. C’est comme une épidémie qui se propage à une allure folle, j’ose la métaphore. La prévention et l’éducation sont les seules à même d’arrêter ce fléau. Je lance un appel, d’ici, à partir de cette tribune, au bon sens de chacun d’en faire une Urgence Nationale : médias (télévisions, radios, presse écrite), réseaux sociaux, parents, écoles, mosquées, acteurs sociaux, Etat. Nous sommes tous concernés, petits et grands. ça n’arrive pas qu’aux autres, mettez-le bien dans le crâne. Et n’allez surtout pas accuser le mektoub, Allah dans Son Immensité nous a toujours recommandé la prudence. …

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