Le sionisme : dernier foyer colonial purulent de l’impérialisme occidental

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Le sionisme inculqué aux plus jeunes. D. R.

Contribution de Mesloub Khider – «Dans tout le monde colonisé, la véritable souveraineté des peuples indigènes est crainte par ceux qui ne peuvent jamais vraiment complètement masquer le fait et le crime, qu’ils vivent sur des terres volées.»

L’histoire fourmille de récits confectionnés pour les besoins de la cause. Souvent d’une cause perdue d’avance, tant sa justification tout comme sa légitimité est historiquement infondée. Les récits mythiques, souvent élaborés pour imposer une histoire rapiécée et épicée de contrevérités, emplissent les livres d’histoire.

Malencontreusement, souvent, les mythes s’incrustent comme des mites dans les mémoires collectives. Or, tout comme il est difficile de se débarrasser des mites qui colonisent une maison, il est malaisé de se défaire des mythes qui polluent l’histoire. Certains mythes ont la vie dure. Ils s’imposent comme vérité historique malgré la flagrance de leur caractère mensonger.

Il est vrai que, comme le disait le ministre de la Propagande du régime nazi, Goebbels :  «un mensonge, à force d’être répété, finit par devenir vérité.» Et le mensonge, une fois enfoncé dans la mémoire collective, il acquiert force de loi : il n’hésite pas à recourir à la loi de la force pour se perpétuer.

L’histoire est ainsi truffée de ces impostures érigées en vérité. Et de vérités longtemps réduites à des impostures, avant de triompher historiquement. Galilée était fausseté aux yeux des pouvoirs absolutistes royal et ecclésiastique, avant de devenir certitude scientifique aux yeux du savoir universel. «Et pourtant, elle tourne», avait-il lancé à ses détracteurs du tribunal de l’inquisition, adepte fanatique de la théorie géocentrique. Incontestablement, la Terre tourne. Tout comme la roue de l’histoire tourne, son mouvement rivé vers l’avant, poursuivant son inflexible ascension, en dépit des forces obscures rétrogrades qui tentent de freiner sa progression, détourner sa voie, dévoyer son orientation, dérailler sa trajectoire. Ces forces obscures fanatiquement résolus de nous persuader de la justesse et de la véracité de leurs ténébreux dogmes archaïques, destinés à gouverner éternellement l’esprit de l’humanité contre la volonté des sciences qui ont pourtant triomphé de l’obscurantisme.

La falsification de l’histoire est vieille comme le monde. De nos jours, beaucoup de pays se drapent dans le manteau de l’imposture. De la posture historique frauduleuse. La fraude historique est l’œuvre de pays aux mœurs de voyous. Ils refusent de s’acquitter honnêtement de leurs devoirs de vérité au Tésor public de l’Histoire. Ils préfèrent user d’escroquerie historique pour détrousser, avec effraction, le passé afin de tresser, en totale infraction, des couronnes à leur gloire usurpée présente. Les faussaires de l’histoire agissent en toute impunité pour usurper la mémoire collective, enrôler les annales, piller le passé. Plus gravement, annexer un pays au nom d’une histoire frauduleusement fabriquée dans les ateliers des annales fallacieux de la mythologie. Pour légitimer leur dictature. Pour justifier leur projet de création d’un Etat, imposer leur récit national bâti par la force des baïonnettes, griffonné en lettres maculées de sang des peuples lésés et abusés.

Il en est ainsi d’Israël, ce pays voyou qui a commis le pire hold-up de l’Histoire en accaparant la terre de Palestine. Vol (viol) perpétré au nom d’une mythologie talmudique érigée en vérité historique. En effet, cet Etat artificiel (sacrificiel du peuple palestinien), construit de toutes pièces (historiquement rapiécées), à l’aide de lambeaux d’individus hétérogènes ramassés dans les ghettos de multiples pays, s’est offert avec l’argent de ses souteneurs un mythique peuple bigarré qui n’a de commun que la religion judaïque.

Aujourd’hui, tous les historiens honnêtes et consciencieux s’accordent sur cette vérité historique : comme l’a démontré Marc Ferro, il n’y a pas de «race juive», les juifs étant issus de diverses aires géographiques et culturelles. D’une part, les juifs d’Europe descendent des Khazars, tribus établies dans le Caucase, converties tardivement (vers le IXe siècle) au judaïsme. Ces juifs caucasiens, absolument pas sémites, ont fondé un empire prospère, vers lequel plusieurs juifs de Mésopotamie et de Byzance ont massivement afflué. Cet empire s’est effondré au XIIIe siècle, sous l’invasion des Mongols et de l’épidémie de la peste noire. Au lendemain de la disparition de l’empire khazar, les juifs khazars se sont disséminés dans toute l’Europe centrale, notamment en Pologne, en Hongrie, en Allemagne. D’autre part, les juifs sépharades. A cet égard, contrairement à la propagande sioniste pour qui ces juifs descendent directement de la Palestine après la destruction du Second Temple de Jérusalem, les Sépharades sont des Berbères convertis au judaïsme, comme l’a écrit l’historien français Marc Ferro dans son livre Les Tabous de l’histoire. De même, cet historien a démontré que les juifs espagnols étaient d’origine berbère et non issus de la diaspora «de la Judée». Ainsi, il n’existe ni de «peuple juif» ni, à plus forte raison, de «race juive». C’est un mythe forgé par le sionisme.

En revanche, dans l’historiographie d’avant le sionisme (aujourd’hui totalement éradiquée des annales historiques, et pour cause), il était communément admis que les Palestiniens étaient dans leur majorité descendants de ce «peuple juif» melting-pot. L’origine juive des Palestiniens était reconnue par tous les spécialistes de l’époque d’avant l’apparition du sionisme faussaire. A l’appui de cette vérité historique, il est établi que les Romains, contrairement à la mystification sioniste propagatrice de la théorie de la diaspora juive native de la Judée, n’ont jamais procédé à une politique d’expulsion des populations orientales, notamment celles établies en Palestine majoritairement de confession juive (ou chrétienne). A l’exclusion de certains indigènes réduits en esclavage, les habitants de Judée se sont maintenus sur leur territoire, au-delà de la période de la destruction du Second Temple. On n’a relevé ni exode, ni, corrélativement, communauté juive diasporique. Au cours des siècles suivants, une partie de la population de cette région s’est convertie au christianisme, l’autre partie (ou la même), dans sa majorité, s’est postérieurement ralliée à l’islam, à compter du VIIe siècle. Aussi, peut-on avancer, sans contredit, que la majorité des Palestiniens sont les descendants des habitants de l’antique Judée. D’un point de vue «purement ethnique», pour employer une terminologie sioniste très friande de concepts racialistes, en vérité les Palestiniens contemporains sont les authentiques descendants directs des «populations juives» de l’époque antique, christianisées ou islamisées.

Aujourd’hui, l’entité sioniste, pour asseoir sa domination et perpétuer son abomination, s’est dotée d’une pseudo-démocratie pour s’attirer l’admiration.

Cependant, cet Etat théocratique, à l’histoire blindée de mythes, se voit obligé d’être en guerre permanente pour maintenir et pérenniser sa factice union nationale ; faute de quoi, il sombrerait par privation d’alimentation belliqueuse. Israël ne se nourrit que de guerres récurrentes et écœurantes. La paix lui est impossible. D’où cette impérative nécessité belliqueuse de transmuer le pays en caserne à ciel ouvert où chaque Israélien endosse l’uniforme militaire à vie, où la Polémologie a supplanté l’apprentissage de la Thora.

Sans conteste, l’entité sioniste est consciente de son illégitimité historique, de sa frauduleuse existence. Aussi Israël est-il atteint d’un syndrome singulier, caractérisé par la pathologie guerrière, l’affrontement permanent. Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées.

Pour des raisons à la fois exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence (nous parlons des populations arabes et non de leurs respectifs Etats fantoches ralliés au sionisme). Ces pays ne font qu’aiguiser leurs armes pour hâter la destruction d’Israël. Endogènes : car sa population juive hétéroclite maintient sa factice cohésion «nationale» que sous le feu de la guerre permanente. Aussi, dans l’hypothèse d’une résolution d’instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre fragile interne s’effriterait-il aussitôt. Inévitablement, les dissensions intrinsèques entre les différentes communautés juives hétérogènes éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée de «peuple élu» (établit une terre occupée) concentre des habitants-geôliers qui n’ont rien de commun, sinon la religion hébraïque, mais surtout leur doctrine raciste : le sionisme.

Pour autant, cette colonie de peuplement est guettée par le dépeuplement colonial. Incontestablement, en créant leur Etat colonial en Palestine en 1948, les juifs sionistes ont creusé leur tombe. Que symbolise la constitution de cet Etat sioniste, sinon la dernière création du Grand Ghetto juif mondial instauré sur une terre dépourvue durant des siècles de tout «foyer juif». Une terre habitée des siècles durant par des Palestiniens de toutes confessions.

Pour mieux mesurer la dimension coloniale de ce pays artificiellement créé par les puissances impérialistes (y compris l’URSS) au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il est important de rappeler que la fondation du sionisme a pris forme dans le contexte de la phase aiguë de l’impérialisme, du colonialisme. Le sionisme naît au lendemain de la Conférence de Berlin sur le partage de l’Afrique. En pleine période de conquêtes coloniales. En pleine phase de l’émergence des mouvements racistes (le livre d’Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines, venait d’être publié), du développement du darwinisme social puis, plus tard, dans un contexte d’éclosion du fascisme, du nazisme, des irrédentismes.

Et les juifs européens, majoritairement ashkénazes, imprégnés de ces idéologies nauséabondes, ne feront qu’emboîter le pas à leurs compatriotes européens (catholiques et protestants connus pour leur racisme congénital à l’endroit des peuples de couleur, incarné par leurs entreprises esclavagistes et leur domination coloniale sur l’ensemble de la planète) dans leur œuvre de conquête coloniale sioniste. Pour quel motif le projet sioniste n’avait-il pas vu le jour au XVIIIe siècle, ni au XIVe ni au VIIe siècles ? Car il n’avait aucun fondement historique. Ni une légitimité sociologique. Il correspond à cette période du capitalisme colonial. Il s’inscrit donc dans cette phase de l’impérialisme triomphant des XIXe et XXe siècles.

Mais aussi, du problème de l’immigration. Paradoxalement, toujours d’actualité. En effet, l’appui apporté par les pays à forte population juive au programme sioniste de création d’un foyer juif ne s’explique pas autrement que par le projet politique judéophobe de ces pays de régler radicalement la question de la «présence» indésirable juive, concrètement par leur expulsion massive vers un territoire éloigné des frontières européennes.

Paradoxalement, l’idéologie sioniste émerge au lendemain de la création du vocable «antisémitisme», concept élaboré en 1880 par Wilhelm Marr, pour caractériser un discours antijuif. Tout s’est passé comme si le concept d’antisémitisme avait été fabriqué pour servir d’alibi et de «caution morale» à la nouvelle entreprise sioniste, aux fins de convaincre les juifs d’Europe de partir coloniser la Palestine.

En fait, le terme péjoratif antisémitisme s’inscrit dans le prolongement du vocable antonymique, mélioratif, sémite, inventé, lui, en 1781 par l’Orientaliste allemand August Ludwig Schlözer. Dans le contexte de la création des nations et de l’épanouissement du nationalisme, l’invention de ce terme «sémite» renvoyait à la notion de race, très en vogue à l’époque. Cependant, les juifs ne constituent nullement une race. A la vérité, le terme sémite, initialement, avait une connotation purement linguistique. En effet, le terme sémite (construit à partir du nom de Sem, fils de Noé) visait à englober toutes les langues apparentées à l’origine commune : l’hébreu, araméen, l’arabe, etc. Plus tard, le terme sémite, purement linguistique, prendra une connotation «racialiste». Le terme ne désignera plus l’ensemble des langues sémites, mais l’ensemble des peuples sémites de la péninsule arabique, de la Mésopotamie, de la Syrie, de la Palestine.

Ainsi, à l’origine, que ce soit dans sa dimension linguistique ou raciale, le terme «sémite» désignait l’ensemble des populations orientales, autrement dit plusieurs peuples sémites, en majorité arabes, et non pas un seul peuple sémite (juif). L’assignation des juifs européens, pourtant descendants des Khazars, au rameau sémitique avait pour dessein de les exclure du tronc civilisationnel européen. Par cette assimilation au rameau «ethnique» sémitique, les judéophobes européens pouvaient, à bon compte, désormais considérer les juifs européens comme des étrangers, des non-Européens, justifiant leur bannissement de leur «pays d’accueil», leur extermination, leur expulsion vers leur «terre natale», la Palestine (appuyant ainsi le projet embryonnaire sioniste), même au prix de la spoliation des Palestiniens de leur terre. Le soutien apporté par les pays favorables à la création de l’Etat sioniste n’avait pas d’autre motivation que raciste. Cet appui n’était absolument pas mû par des considérations humanitaires. Mais par leur volonté de purifier leurs pays respectifs de leurs concitoyens indésirables de confession juive, de tous temps ostracisés, proscrits, victimes de pogroms.

En vérité, à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, ces pays, partisans du sionisme, n’ont fait que poursuivre la politique nazie de parcage des Juifs dans les camps. Par leur décision de soutenir la création de l’Etat sioniste, ce vaste Ghetto à ciel ouvert administré par les juifs sionistes eux-mêmes, ces pays ont réglé à leur manière la «question juive». Mais aux dépens des Palestiniens, transformés à leur tour en «immigrés» dans leur propre pays devenu Israël, ou acculés à l’exil diasporique, ou contraints de vivre dans de vastes ghettos lilliputiens et faméliques comme en Cisjordanie et à Gaza.

Excepté que cet immense ghetto juif sioniste placé au cœur de l’Orient, donc loin de l’Europe, n’a fait que déplacer le «problème juif». Problème juif véritablement, car il s’agit d’examiner la validité historique de l’existence du «peuple juif». Par conséquent de la légitimité d’Israël, de la «nation juive».

La question a été scientifiquement tranchée par le grand historien contemporain israélien Shlomo Sand : il n’existe pas de peuple juif. C’est une invention de l’Occident (et bien sûr des juifs européens mais manipulés par les machiavéliques dirigeants européens antisémites) pour justifier, comme on l’a souligné plus haut, leur politique d’éloignement (ou plutôt d’expulsion consensuelle) des juifs de leurs pays respectifs. On ne fonde pas un peuple sur la seule base d’une croyance à une même religion, à plus forte raison quand ses adeptes sont originaires de multiples pays disséminés aux quatre coins du monde. Qui plus est porteurs de cultures aussi hétérogènes. Qu’ont-ils de communs un juif d’Algérie et un juif de Pologne ? Rien. Le juif d’Algérie est plus proche par sa culture, ses traits physiques, sa langue, de son frère algérien musulman que du juif ashkénaze polonais. L’impérialisme et le sionisme en ont décidé autrement. Ils auraient pu continuer à vivre en symbiose sur la terre d’Algérie.

C’est comme si demain, les Témoins de Jéhovah, pourtant constitués d’adeptes originaires de nombreux pays répartis sur tout le globe, décidaient de se constituer en peuple et de créer un foyer national, un Etat. Cette entreprise aurait-elle une quelconque légitimité historique et juridique au regard du droit international, de la communauté internationale ? Absolument pas. Pourtant, c’est ce qui s’est produit avec Israël, créé artificiellement par l’ONU en novembre 1947.

Ironie de l’histoire, tout comme le colonialisme occidental dans sa période glorieuse de conquêtes effrénées et insatiables, Israël se livre depuis sa création à la même politique d’annexions et d’occupations territoriales permanentes. Encore aujourd’hui, rien ne l’arrête dans son expansion coloniale. Preuve de la nature colonialiste du sionisme.

Or, historiquement, à la fin du XIXe siècle, à la naissance du mouvement sioniste, la majorité des juifs rejetaient cette idéologie colonialiste, considérée comme une hérésie. A sa naissance, le sionisme était une entité mineure au sein du judaïsme. Encore au début du XXe siècle, la population juive établie en Palestine représentait à peine 4% de la population ; même en 1948, date de la création de la colonie sioniste en Palestine, les juifs constituaient une minorité. Preuve de l’impopularité du projet sioniste parmi les populations de confession juive de la majorité des pays.

Une chose est sûre : sans le surgissement du nazisme et la politique exterminatrice d’Hitler, l’entreprise colonialiste sioniste serait demeurée l’apanage d’une minorité de juifs alliés aux intérêts du capital et de l’impérialisme pétris de l’idéologie raciste. L’Etat d’Israël n’aurait jamais été fondé. On peut considérer les Palestiniens comme les victimes collatérales de la Seconde Guerre mondiale et de l’holocauste.

Quant à la question controversée relative au judaïsme appréhendé comme religion ou nationalité, l’historien israélien Shlomo Sand, dans le sillage d’autres intellectuels, a tranché la problématique : il considère le judaïsme comme une religion aux valeurs universelles et non comme une nationalité. A prendre l’exemple d’un Français de confession juive : il est Français de nationalité et juif de religion. Il n’existe pas de peuple juif, à plus forte raison de «race juive».

Actuellement, de nouveau la Palestine s’embrase. Pour quel motif ? En raison de l’expulsion de plusieurs familles palestiniennes de leur habitation. Cette flambée de violences est la réaction naturelle d’une population colonisée qui se voit dépossédée de ses biens, de son patrimoine, de ses droits, de sa terre. Ainsi, de façon illustrative, nous avons ici réunis les facteurs fondamentaux du conflit israélo-palestinien. Cette expulsion constitue un condensé du conflit. Le conflit israélo-palestinien est un problème colonial. Et l’unique solution : la décolonisation de la Palestine. Il n’y a pas deux narrations possibles de ce conflit. Fondamentalement, nous avons affaire à une occupation territoriale par une entité sioniste dotée de l’armée la plus puissante du monde, coiffée de l’arme nucléaire.

D’aucuns, en bons démocrates bourgeois, s’élèvent pour appeler la «communauté internationale» à réagir. Qu’est cette «communauté» sinon une fiction bourgeoise pour occulter les instances nationales et internationales de la classe dominante. S’agirait-il de ce «machin» dénommé ONU ? N’est-ce pas l’ONU, cette instance diplomatique de l’impérialisme mondial, qui a voté le 29 novembre 1947, de manière illégale et illégitime, le plan de partition de la terre palestinienne ? Où était la communauté internationale au moment de cet hold-hup territorial sioniste perpétré en Palestine ?

En effet, c’est en 1948 que les sionistes ont expatrié de force des centaines de milliers de Palestiniens de leurs propres foyers et de leurs terres. Du jour au lendemain, par décision de l’ONU, le peuple palestinien a perdu son territoire national, désormais propriété de l’entité sioniste appelée «Israël». Lors de cette dramatique spoliation plus de 750 000 Palestiniens ont été expulsés, réduits au statut de réfugiés. Cette expropriation s’est accompagnée de massacres de dizaines de Palestiniens, de destruction de centaines de villages (Deir Yassin), de pillages. C’est la fameuse Nakba, la grande catastrophe. Rappelons que, du point de vue des juifs antisionistes, la création de l’entité sioniste constitue également une catastrophe pour la «communauté juive», du fait de l’hérésie du projet sioniste. Car la Thora interdit aux juifs en exil d’avoir une domination juive en Terre sainte, autrement dit la Palestine. Mais les sionistes n’ont cure des textes sacrés hébraïques. Seule compte leur entreprise coloniale diabolique, qui leur permet de mener une vie paradisiaque, aux dépens de la population palestinienne erratique et famélique.

Mandela l’a dit de façon catégorique : «Nous savons tous parfaitement bien que notre liberté est incomplète sans la liberté des Palestiniens.» La libération de la Palestine de l’Apartheid sioniste est par conséquent l’affaire de tous les anticolonialistes.

Et pourtant, cette terre appartient au peuple palestinien, proclament en chœur tous les anticolonialistes du monde entier, en dépit des dénégations sionistes. Le Tribunal de l’Histoire se chargera de rétablir la vérité. Galilée a triomphé contre l’imposture «scientifique» ecclésiastique. La cause palestinienne aura raison de la mystification sioniste. Tout comme le système erroné géocentrique a fini par disparaître de l’univers scientifique, la disparition d’Israël, dernier vestige colonial occidental, est inscrite dans le mouvement de l’Histoire.

Cependant, le sionisme ne s’effondrera pas pacifiquement seul par miracle. Seule une lutte mondiale de tous les anticolonialistes, particulièrement du prolétariat (car toutes les classes bourgeoises et dirigeantes du globe, particulièrement celles du monde arabe, sont complices et compromises avec le sionisme) pourrait neutraliser l’extension et annihiler la pérennité de l’entreprise coloniale sioniste. En réalité, seule la révolution mondiale pourrait abolir le sionisme par la démolition de l’Etat d’Israël (bien évidemment non des juifs) mais également de tous les Etats artificiels islamistes de cette région (dirigés par des dictatures féodales alliées de l’impérialisme), pour favoriser subséquemment l’établissement d’une confédération sans frontières étendue à tout le Moyen-Orient, au sein de laquelle tous les habitants («Arabes», «juifs», «Kurdes») vivront librement en symbiose, dans le cadre d’une nouvelle communauté humaine universelle sans classe.

«La Palestine est le plus grand problème moral de notre époque.» (Nelson Mandela).

M. K.

Comment (26)

    Surfer d'argent
    15 mai 2021 - 2 h 45 min

    Si nous continuons à les laissez faire, tout les peuples du monde seront les Palestiniens de demain.

    Kim
    14 mai 2021 - 22 h 53 min

    Quelle litanie raciste de la part de quelques Algériens minoritaires frustrés et ignorants envers le premier peuple indigène de la région en question, de retour et libéré dans son foyer ancestral, et ouvert à la co-existence avec d’autres, dont l’ouverture d’esprit n’a pas toujours été de la même sorte. Dégoûtant.

      Abou Stroff
      15 mai 2021 - 7 h 43 min

      « premier peuple de la région »!!!
      j’espère que tu n’es pas sérieux!
      il est prouvé génétiquement que les ashkénazes (soi disant juifs d’europe) qui représentent les couches dominant l’entité sioniste ne sont que des c… qui n’ont rien à voir avec les « juifs » de palestine.
      par conséquent, on peut les considérer comme des colons qui doivent nécessairement être expulser vers leurs pays d’origine.
      quant aux mythes sur lesquels reposent l’idéologie sioniste, ce ne sont que des mythes qui ne sont corroborés par aucune recherche scientifique.
      je rappelle que les massaï du Kenya ont, dans leurs croyances, l’idée que toutes les vaches de la planète leur ont été octroyées par leur Dieu. sommes nous obligés de croire ce qu’ils racontent?

      BILAL
      15 mai 2021 - 9 h 53 min

      Les massacres permanents de Palestiniens vous appelez ça la co-existence ? Il faut d’urgence aller soigner votre myopie intellectuelle. A moins que vous êtes un agent du mossad ou marocain

      karimdz
      15 mai 2021 - 18 h 59 min

      Le premier peuple indigène de la région, c était le peuple cananéen, et nous savons ce qu’il en est advenu de la part des hébreux 1300 ans avant JC, ils furent tous massacrés, le premier génocide de notre humanité.

      Après avoir occupé, de manière discontinue la Palestine, les descendants de ces cananéens ont récupéré leur terre, après la dispersion des juifs sous l empire romain.

      Et à partir de 1948, les sionistes ont imposé par la force, une entité sioniste créé de toutes pièces pour chasser et dominer les palestiniens qui sont chez eux.

      On peut comparer le comportement des deux peuples, les vrais juifs vivaient sous l empire arabo musulman, en parfaite harmonie avec les musulmans, ils ont été accueillis à bras ouverts également quand ils ont fui l inquisition en europe. Les sionistes par contre, après avoir commis des pogroms dans des centaines de villages palestiniens n épargnant ni enfants ni femmes, ont de nouveau conquis de manière barbare et sanguinaire, la Palestine.

      On peut également apprécier cette « ouverture d esprit » qui se traduit par une politique d épuration ethnique visant à créer un état 100% juif, débarrassé des chrétiens et des musulmans.

      Le sionisme a beaucoup à envier au nazisme, c’est cela qui est non seulement dégoutant, mais ignoble.

    karimdz
    14 mai 2021 - 20 h 06 min

    Le sionisme ce n est pas seulement qu’un dernier foyer colonial, c est beaucoup plus étendu que cela. Le sionisme au delà de l idéologie raciste, dominatrice, expanSionniste, c est le pouvoir de l ombre qui contrôle pratiquement tous les pays occidentaux, et qui veut contrôler le monde en créant tous les ingrédients pour y parvenir, y compris le mensonge, le terrorisme, les crimes. Il ne recule devant rien, et représente un vrai danger pour la paix dans le monde.

    La Palestine occupée, qui encore une fois, est d actualité, avec la barbarie israélienne qui n hésite pas à employer des avions, des navires et des chars contre une population civile sans défense. Les médias occidentaux sous contrôle du lobby sioniste, qualifient cela, de manière cynique, et réduisent les crimes israéliens qui sont comparables à ceux des nazis, à de la « violence » !!!!

    Le sionisme plus que le colonialisme, veut carrément rayer de la carte, non seulement la Palestine historique, réduite à ce que l’on pourrait qualifier de bantoustans du temps de l Apartheid, entourés de murs, représentants d immenses camps de concentration qui sont souvent soumis aux exactions et bombardements des Soldats Sionistes (S.S.). Mais il veut aussi créer un état 100% juif, où il n y aurait plus de chrétiens ni de musulmans. Le nazi metenneyahou ne s en cache pas publiquement, sans pour autant choquer les états occidentaux, principalement l amérique, la france et l angleterre, ces pays qui ont fabriqué cet enclave au milieu du monde musulman pour le contrôler et nuire à son développement.

    C’est donc une politique d épuration ethnique auquel est confronté le peuple palestinien, qui en plus d etre enfermé dans des murs, quand ce n est pas dans le ghetto de Gaza, doit faire face à des expulsions manu militari, à la destruction de terres agricoles, des oliviers pluriscentaines sont arrachés et détruits, à la pollution quand ce n est pas carrément, l empoisonnement des nappes phréatiques, les plus importantes étant détournées vers la population israélienne. Bref tout est fait pour pourrir la situtation des palestiniens pour les obliger à faire comme leurs aieux, quitter précipitamment leurs terres ancestrales. Mais la nouvelle génération de palestiniens, n est pas dupe, et passive, elle a décidé de se battre avec les moyens du bord, elle résiste, quitte à sacrifier sa vie.

    Il faut rappeler que ce sont les sionistes qui œuvrent par tous les moyens pour inciter les juifs à s installer en Palestine. Ainsi, ils ont soutenu et financé le parti nazi hier, puis une fois arrivé au pouvoir, ils ont collaboré avec, pour planifier la terreur envers les juifs, pour les inciter à quitter l europe. Ils ont développé des mythes fondateurs du sionisme, qui en réalité est totalement étranger à la religion hebraïque. D ailleurs nombre de juifs, notamment les ultra orthodoxes, ou encore ceux de naturei karta en amérique, ne reconnaissent pas l Etat d Isra heill, dénoncent les crimes envers les palestiniens, et ils vont même jusqu’à maudire chaque jour, l entité sioniste.

    L’idéologie nationaliste fondée sur un sentiment national juif est purement une construction du sionisme pour leur forger en quelque sorte une nouvelle identité, qui s’inscrit dans le projet sioniste. Quel est il ce projet ? Celui de regrouper tous les juifs en Palestine, pour précipiter la venue du Christ. Les juifs sont les premières victimes du sionisme mais aussi les premiers naïfs. Le sionisme leur a donné le pouvoir pour dominer le proche orient, mais en réalité ils participent à leur projet, annexer, coloniser, peupler. C est la politique que mène isra heill, avec une nième guerre contre le ghetto de Gaza.

    Les sionistes sont en réalité, les pires ennemis des juifs, mais ils s en servent à leurs fins. Car les vrais sionistes sont en réalité des chrétiens extrémistes soucieux des évangiles et certainement pas de la Thora ou du talmud. Ils n ont pas hésité à les exterminer hier, ils les utilisent aujourd’hui, et n hésiteront pas de nouveau à rééditer leurs crimes.

    Mais peut être que les sionistes ont aussi mal interprétés les écritures, et que l heure n arrivera non pas quand les pseudos juifs à l instar des khazars venus du Caucase s’installeront en Palestine mais quand ceux qui descendent de juifs authentiques, mais qui se sont convertis à l Islam il y a plusieurs siècles, vont reconquérir cette terre. Les signes de la fin de cet état criminel inventé par les sionistes sont perceptibles, ses adversaires peuvent frapper au coeur d israheill. Même le Hamas a perfectionné ses roquettes, elles peuvent frapper tel aviv.

    Comme on dit, Hasbun Allah ou ni3mel wakil. Allah y kawi la résistance face à cette bête sioniste.

    JE DEMANDE AUX CARICATURISTES ALGERIENS
    14 mai 2021 - 16 h 58 min

    JE DEMANDE AUX CARICATURISTES ALGÉRIENS de faire des caricatures des criminels israéliens en tenant en laisse les USA comme leur chien dressé pour les protéger. les USA ont perdu toute crédibilité et font preuve d’une faiblesse humiliante face aux israéliens qui les mènent par le nez contre même les intérêts du peuple américain. le monde est en train de changer, ce n’est plus les USA et la Russie qui gèrent le monde mais ISRAEL UNE ENTITÉ SIONISTE ET CRIMINEL. DOMMAGE QUE A PART LA SYRIE, LE LIBAN ET L’IRAK ET BIEN SUR L’ALGERIE ET NOS FRÈRES TUNISIENS ET LE PEUPLE LIBYEN, AUCUN AUTRE PAYS ARABE N’A LE COURAGE DE VIVRE DANS LA DIGNITÉ ET L’HONNEUR. ILS SONT LÂCHES ET TRAITRES, LEURS FEMMES SONT ¨PLUS COURAGEUSES QUE LEURS HOMMES, ET JE LE VOIS A TRAVERS LES MÉDIAS ET LES SITES SOCIAUX (INSTAGRAM ET FACEBOOK). LA MOBILISATION DES FEMMES ARABES POUR LA PALESTINE N’A JAMAIS ATTEINT UN TEL DEGRÉ ET CERTAINES MÊME DEMANDENT A LEUR GOUVERNANTS D’ETRE COMME LES ALGERIENS ET LES TURCS, DE VRAIS HOMMES!

      Zenaty
      15 mai 2021 - 3 h 48 min

      Nous sommes solidaires du peuple palestinien. Quand on se tait, on est complice. Quand nous sommes absents, nous sommes complices. Nous ne sommes pas prêts à être complices. LES PALESTINIENS..LA Solutions une Révolution sur le Teritoire de leurs Ancêtres est un Combat Permanent mais Aussi une Organisation Commune de toutes les Organisations Palestiniennes UNIS du Nord au Sud et de l Est à l’Ouest Unis Pour le Meilleurs et le Pire Pour Obtenir La LIBERTE de Vivre sur leurs Terres… Deux États pour la PAIX…. VIVE L LA PALESTINE AVANT TOUT….

    Sprinkler
    14 mai 2021 - 10 h 58 min

     » L’Israël », ou comment un État a surgi du néant sur le fondement d’une aberration historique – le sionisme – avec tous les attributs d’un régime « démocratique »…Les médias occidentaux, français en particulier, qui traitent ce sujet sous le prisme du « néocolonialisme » nostalgique, présente cette « création » monstrueuse, cynique, raciste et criminelle vivant hors toute loi sous le sceau de l’impunité, comme le seul « État  » démocratique de la région où il a été « transplanté » par le terrorisme et irrigué par la guerre et la spoliation…Cette aberration dont est issu l’Israël (ainsi nommé volontairement pour lui ôter l’aura « divine » que lui confère « Israël » des trois Livres saints) aboutit à une « contradiction » historique insurmontable…Le recours systématique à la force armée et aux crimes expriment l’hideuse idéologie dont il est l’incarnation…D’essence raciste, le sionisme porte en lui tous les germes du nazisme ! Encore un autre paradoxe de l’Histoire que les médias occidentaux « taisent » pour solder leurs « conscience » après l’échec de leur entreprise d’extermination des Juifs d’Europe…Quant aux pétro-monarchies et leurs vassaux arabes, il est de notoriété universelle qu’elles ne doivent leur survie qu’à la soumission rampante à l’Impérialisme qui a engendré le sionisme et offert un « foyer national » au « peuple élu »…

    IL FAUT QU EL MONDE VOIT CA LE VRAI VISAGE DES ISRAELIENS ET DES USA
    14 mai 2021 - 10 h 20 min

    regardez le lynchage d’un palestinien https://twitter.com/i/status/1392557672373919744 IL FAUT AGIR VITE CONTRE CES CRIMINELS

    CHOQUE PAR LE LYNCHAGE JUSQU'A LA MORT D'UN PALESTINIEN
    14 mai 2021 - 10 h 10 min

    est ce que vous avez vu les images du lynchage jusqu’à la mort d’un palestinien par les israéliens?où est la communauté internationale pour condamner ces criminels? vous avez vu comment les israéliens chassent les palestiniens de leur terre et maison par leur justice injuste et coloniale, une nouvelle stratégie pour éloigner tout musulman du qods el charif? vous avez vu tous ces crimes que les USA applaudissent? sincèrement, il faut que les arabes s’unissent pour combattre et les israéliens et les américains car ils sont avec eux dhalimine aouw medloumine. les isaréliens qui use d’un langage hypocrite et fourbe de soi disant paix, sur le terrain fait exactement l’inverse. ils agressent les palestiniens puis ils viennent pleurnicher devant la communauté internationale pour recevoir du soutien à leurs crimes. et on l’a vu à travers les déclarations totalement INHUMAINES des USA. pourquoi les USA ne demandent l’arrestation et le jugement de tous ces israliens qui ont lynché ce pauvre innocent palestinien dont le seul tort d’être au mauvais endroit. franchement si on reste comme ça les bras croisés, les israéliens vont se sentir impunis et vont dominer le monde par leurs crimes, insolence, et injustice. le monde leur appartient dorénavant, les marocains l’ont compris et c’est pour ça qu’ils demandent aux israéliens de leur offrir le sahara occidental et les USA qui vont apporter leur soutien. et tout ça à cause de l’attitude FAIBLE ET STUPIDE des USA.

      BILAL
      14 mai 2021 - 16 h 08 min

      Pour moi, Biden ou Trump, c’est Coca cola et pepsi cola il n’y a que la couleur qui change, même politique, même mépris de droit international et même mépris des Palestiniens, avec plus d’hypocrisie envers les supplétifs Bédouins arabes soumis, auxquels s’est joint l’idiot de service HABIB EL DJALALA MOMO6

    BILAL
    13 mai 2021 - 20 h 07 min

    Macron s’y met lui aussi, condamne à l’image de Biden, les tirs du Hamas, une centaine de morts palestiniens pour 7 ou 8 israéliens et on accuse les palestiniens, ils fallait s’y attendre avec les lobbies sionistes en France et dans le monde arabe et musulman, même au Maroc. Avec interdiction en FRANCE de manifester pour la cause palestinienne. Il serait temps de choisir son camp, Mélanchon et la France Insoumise ont condamné sans ambiguité l’agression sioniste. Dieu préserve la Palestine, honte aux traitres arabo musulmans et surtout marocains

    La fuite en avant des faux arabes
    12 mai 2021 - 19 h 11 min

    L’arabisme est le sionisme des va nu pieds. Ceci dit je suis solidaire des familles endeuillées, qu’elles soient juives ou palestiniennes. La solution est politique et choisir son camp ne sert qu’à envenimer plus le climat déjà délétère

      Belveder
      12 mai 2021 - 19 h 34 min

      Ca C est le Discours de FERHAT au MUR DES LAMENTATIONS tu le recites bien

    Casbi
    12 mai 2021 - 18 h 41 min

    L’entite sioniste , VIRUS plante par les imperialistes , est condamnee a vivre par l’epee et sera eradiquee par l’epee. Ce VIRUS ,creation artificielle est rejete par la terre elle meme de la region, rejete par l’environnement, rejete par l’air qu’il pollue. Vive la Palestine libre et independante.

      Elephant Man
      13 mai 2021 - 13 h 48 min

      @Casbi
      Exactement, et il s’agit encore une fois d’une question de DÉCOLONISATION, le reste n’est que balivernes et billevesées, la Palestine appartient dans son INTÉGRALITÉ aux Palestiniens.
      Pour reprendre @Lhadi :
      Quant aux morts de confession israélite, il serait très intéressant que le mystère soit soulevé sur la réunion de juillet 1937 au Caire entre Eichmann, le père de la solution finale – et les responsables de l’organisation terroriste la Haganah fondatrice de l’entité sioniste fasciste.

    Anonyme
    12 mai 2021 - 18 h 34 min

    Arthur Augstein,le celebre jurnaliste Allemand ,fondateur du tres celebre hebdomadaire « Der Spiegel » avait expliquer magistralement dans un editorial en 1986 avant sa mort..le conflit israelo-Arabe et la position de l Allemagne et de l Europe vis a vis d Israel et des Palestiniens et s est pose en fin de son editorial la question suivante: Pourquoi voulez vous faire payer les Palestiniens ,la facture des crimes Nazis et de l Europe…??
    J ai lu cet article et je ne l ai jamais oublie,il est dans mes archives.
    D une autre part,les Israeliens parlent et fetent toujours le jour de l « independance d Israel »,un mensonge flagrand et une falsification de l histoire…car il n a jamais ete d independance mais plutot de la creation par decision de l ONU d Israel par le partage de la Palestine…
    Oui le projet des sionistes c est la destruction de la mosquee el AQSA et d eriger a sa place le temple de la legende qu ils ne cessent de raconter a qui veut les croire.
    https://www.mondialisation.ca/en-israel-la-pression-pour-detruire-la-mythique-mosquee-al-aqsa-a-jerusalem-se-generalise/5638932

    Anonyme3
    12 mai 2021 - 17 h 55 min

    Imaginons un instant un gouvernement musulman a envoyé ses soldats dans une synagogues ou une église armés jusqu’au dents et commencent a jeté dès bombes lacrymogènes sur lès fidèles ,brulent et saccagent tout ce qui se trouve devant eux ,prennent les clés et s’en vont .que sera la réaction dès pays de l’occident ?par contre pour le propre intérêt jouent avec lès sentiments dès musulmans comme quoi la chine est un pays anti islam .deux poids deux mesures.

      Elephant Man
      13 mai 2021 - 13 h 53 min

      @Anonyme3
      Exactement.

    Anonyme
    12 mai 2021 - 17 h 16 min

    Solymes…qui veille sur l’Orient des loukoums.

    Lghoul
    12 mai 2021 - 15 h 25 min

    Je suis convaincu que les dictateurs arabes qui ont signé la normalisation avec israel sont pris par une panique générale. Car plus les palestinines meurrent aux yeux du monde, plus ils seront remis en cause par leurs peuples. Plus israel commet des atrocités, plus les vrais responsables qui ont implicitement autorisé ces massacres vont se dévoiler sous forme de roitelets bédouins et de dictateurs a deux sous. A commencer par la jordanie et l’egypte qui vont faire des visites éclaires incessement en israel pour dire a leurs masters que leur koursi est en jeu s’ils font trop de dégats. En réalité c’est tout ce qui compte pour eux. La probleme est que maintenant les palestinines risquent de continuer leur resistance sans s’arreter pour attirer l’attention de toute la planete sur leur cause. Alors que feront ces kharabes ? Annuller la normalisation ou jouer a l’autruche en enfouissant leurs tetes dans leur sable ? De toute facon, ils vont comme d’habitude se retrouver dans une situation de perdants/perdants comme toujours.

    Anonyme
    12 mai 2021 - 15 h 23 min

    Bonjour à l’auteur. Bien envoyé, mais pour parfaire votre article il aurait fallu remonter le cours de l’histoire, jusqu’à la génèse des juifs, on aurait ainsi abouti aux Solymes-Solymi du sud de la Turquie et à la Lycie. C’est la raison pour laquelle les juifs y sont nombreux et depuis des lustres intégrés aux Turcs. Le peuple Solymes-Solymi qui rappelle Salomon, qui est historiquement éteint, colle parfaitement à la guerre de Troie (actuellement ville turque). Quand on aborde l’histoire des Solymes-Solymi on est tenté d’y reconnaître celle des juifs, leurs coutumes, traditions, ils sont belliqueux comme Israël, en outre on est Solymes par la mère, comme en Israël etc… Bellérophon dont l’histoire rappelle celle de Joseph en Egypte. Les emprunts à tous les peuples anciens, au point où le Coran traite les juifs de singes : « restez singes »….Un peuple d’imitateurs, sans civilisation propre, dont les occidentaux se sont débarrassés, pour en faire un chien de garde qui veuille sur l’Orient sur loukoums. Les juifs intégrés aux peuples c’est autre chose, l’Andalousie, la France, l’Urss, les Usa. Personne ici ne les confond avec les sionistes. J’ai faillé oublier l’assassinat des prophètes, Moïse jamais retrouvé, et la Thora qui ne sert plus à grand-chose, on lui préfère le Talmud des Rabbins. Un point de vue. Nostradamus a bien résumé cette histoire. « La force des armes est trompeuse », « celui qui vit par l’épée périra par l’épée », c’est de Jésus le christ qui l’a affirmé, je crois. Avec mes salutations anonymes. Voilà mon point de vue. Bonne fête à tous, Aïd Moubarak et à la prochaine… l’an prochain à Jérusalem-Al Qods In Chaa Allah.

    BILAL
    12 mai 2021 - 14 h 48 min

    Le sionisme a été inventé par l’Occident pour se faire pardonner des massacres de juifs pendant la 2ème guerre mondiale, au lieu d’installer les juifs rescapés en Europe, ils ont refilé la patate chaude aux Palestiniens et les ont installé sur les terres palestiniennes. Aujourd’hui ils sont les victimes d’une machination Occidentale avec le complicité de pays arabo musulmans, notamment le Maroc qui viennent de pactiser avec le diable sioniste, croyant que NATANYAOU allait résoudre le problème palestinien . peine perdu, A l’heure où j’écris ce commentaire des femmes, des enfants, des vieux et adultes meurent sous les bombardement aveugles des sionistes. Avec l’indifférence totale et silence complice des Occidentaux, voire Russe et Chinois et surtout des pays arabo musulmans , il ne suffit pas de condamner, il faut agir. ….

    Abou Stroff
    12 mai 2021 - 13 h 26 min

    « Le sionisme : dernier foyer colonial purulent de l’impérialisme occidental » titre M. K..
    primo, je pense que l’adjectif « occidental » est superflu. l’impérialisme comme produit du capitalisme en tant que système, n’est ni occidental, ni oriental.
    secundo, je pense qu’en effet, l’entité sioniste est un vestige colonial doublé d’une entité raciste basée sur la religion et qu’à ce titre, le dépassement du problème colonial que matérialise l’existence de l’entité sioniste exige un processus de décolonisation qui fera disparaitre, EN TANT QUE TEL, ce vestige colonial doublé d’une entité raciste.
    tertio, il me semble tout à fait « improductif » de placer ce problème colonial dans un cadre religieux (comme l’appréhendent les islamistes, en particulier et les musulmans, dans leur grande majorité, en général) .
    en effet, l’existence de l’entité sioniste repose, en grande partie sur des mythes religieux auxquels même les textes sacrées musulmans adhèrent . par conséquent, appréhender ce problème sous un angle religieux octroie tous les atouts à l’entité sioniste.
    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune à part le constat indéniable que les palestiniens ne doivent compter que sur eux mêmes pour libérer la palestine. et cette libération ne sera jamais le produit d’incantations ou de demandes expresses au Bon Dieu des musulmans mais bel et bien l’aboutissement d’une guerre prolongée qui durera le temps qu’il faut jusqu’à la disparition de l’entité sioniste.
    PS: l’idéologie sioniste insinue que la palestine est une terre juive et c’est aux palestiniens de partir vivre ailleurs. je pense que les palestiniens doivent insister sur un fait scientifiquement prouvé que les juifs ashkénazes sont des juifs convertis, qui n’ont rien à voir avec les « juifs » de palestine et qu’à ce titre ce sont eux qui doivent retourner d’où ils sont venus.

    Ib
    12 mai 2021 - 13 h 12 min

    Que les faux juifs retournent chez eux en Pologne et en Azerbaïdjan et la paix règnera au Moyen-orient..

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