Quand les Algériens normaux répondent à l’islamiste «constipé» Bengrina
Par Mohamed K. – Le candidat malheureux à la présidentielle de décembre 2019 a eu droit à tous les noms d’oiseaux. Réagissant à sa dernière sortie dans laquelle il a appelé à «fermer les écoles privées francophones», l’islamiste en costume-cravate Abdelkader Bengrina a été invité à «défendre [plutôt] les enseignantes qui ont été violées à Bordj Badji Mokhtar au lieu de débiter ses inepties nées du complexe du monolingue inculte». «Puisque nous sommes en démocratie, les cons aussi ont droit de gouverner», a commenté un internaute.
Pour un autre, «la France coloniale devient un fonds de commerce», tandis qu’un citoyen en colère lui suggère de «lire ce que dit la loi concernant les écoles privées avant de dire n’importe quoi». «Quand on s’engage dans la course à la députation, on prend la peine de se documenter, ne serait-ce que par respect pour les éventuels électeurs, plus particulièrement ceux qui auraient, par défaut ou dépit, l’intention de voter pour votre liste», assène un intervenant. L’ancien ministre du Tourisme (?) est prié de «trouver un autre discours» et de laisser de côté son hypocrisie car «quand il prendra sa retraite, il va certainement s’installer en France». «Là, il sera dans l’obligation d’apprendre la langue de Molière», ironise-t-on.
Pour d’autres, l’islamiste Bengrina «veut abrutir le reste de la population». «Donc, si je comprends bien, le programme du parti de Bengrina, c’est de former des générations d’ignorants ?» s’interroge-t-on. D’autres estiment que «cet énergumène qui ne connaît aucune langue a peur que des Algériens compétents maîtrisant plusieurs langues occupent les postes clés et mettent les ignares, les cancres et les incompétents hors circuit».
«OK c…, mais est-ce cela qui va régler les problèmes des Algériens ? Ta seule devise, c’est le populisme, mais tu as de la chance, apparemment il y a des gens qui te croient», s’insurge un citoyen, alors qu’un autre se désole de ce qu’«on laisse les incultes parler», d’autant que, pense un autre, «il véhicule les idées de la décennie noire», lorsque «les islamistes allaient dans les écoles pour dire aux étudiants de ne pas étudier le français». «Personne ne vous oblige à apprendre la langue française, ni l’enseigner à vos enfants, mais alors, vous êtes qui pour demander la fermeture de ces écoles et priver ceux qui veulent enseigner cette langue à leurs enfants ?» le tance un autre.
«Assez de boulitique (politique au sens péjoratif, ndlr) creuse !» s’indigne un commentateur qui lui apprend un célèbre proverbe chinois qui dit que «quelle que soit la couleur du chat, pourvu qu’il attrape la souris». «Essayez de vous départir de ce complexe !» lui conseille-t-il. «C’est à peine croyable, des individus pareils et d’une bassesse incommensurable existent encore sur notre territoire !» s’emporte un internaute, suivi par un autre qui regrette que «les cons se mêlent de la politique». «Si vous aviez amélioré l’école publique, personne n’irait au privé. Tu t’attaques au gros problème de l’éducation par le côté le moins prioritaire, franchement quel niveau d’un chef de parti !» est-il encore écrit.
«Qu’en est-il de la situation de l’enseignant ? De la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ? Du classement de nos écoles ? De la valeur de nos diplômes ?» lui demande-t-on. «L’école à elle seule doit avoir un programme électoral prioritaire en s’inspirant des meilleurs systèmes qui ont réussi du monde entier. Le français est un acquis, passons à autre chose maintenant, le monde va tellement vite qu’on est les derniers partout ! Le digital n’a pas de langue, tu dois le maîtriser même en chinois pour espérer exister un jour dans notre ère et toi tu proposes de fermer des écoles», martèle une citoyenne, alors qu’une autre y voit «une ruse électorale pour avoir plus de voix, sinon il ne pense pas ce qu’il dit, mais quand ça vient d’un hypocrite qui utilise la religion et le régionalisme à des fins bien évidentes, cela n’étonne personne».
Des internautes sont convaincus qu’une «personne pareille est dangereuse et ne doit avoir aucun droit de parole, ce sont eux les vrais terroristes». Un Français estime, lui, que Bengrina tient «le même discours que Marine Le Pen, mais inversé». «Il y en a marre de toutes ces visions populistes, laissez la liberté au peuple de choisir ce qu’il veut ; au contraire, il faut créer d’autres écoles dans lesquelles les études se feront en espagnol, en anglais, etc.», répond-on à cet «énergumène au cerveau sclérosé» qui «ne croit pas aux libertés individuelles» et qui fait preuve d’«obscurantisme», tant il est «au même niveau que ceux qui ont commis le crime de Bordj Badji Mokhtar».
«C’est sa bouche qu’on devrait fermer !» réagit un citoyen en colère, selon lequel, «au lieu de chercher à apprendre plus de langues étrangères et de s’ouvrir plus sur le monde qui nous entoure, on assiste à ce genre de bassesse». L’«hyène en costume cravate», le «rigolo», le «primitif» recule pendant que «même les chameliers de l’Orient avancent», conclut-on.
M. K.
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