Amira Bouraoui, Ihsane El Kadi, MAK, Rachad : la valse des traîtres à l’Algérie
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – L’Algérie est au centre d’une affaire de barbouzerie à la française avec l’exfiltration d’Amira Bouraoui par l’ambassade de France à Tunis. Dernière recrue en date à rejoindre la cohorte des cloportes traîtres à l’Algérie, la «grande résistante», la passionaria du Hirak, la militante de la «démocrassie» (!), de la «liberté d’expression» et des «droits de l’Homme» – surtout s’ils sont LGBTQ ! –et qui n’est même pas une Mata Hari de troisième ou de quatrième zone, a quitté clandestinement l’Algérie avec l’aide de la France, cette France qui n’a pas changé depuis l’affaire du Rainbow Warrior et des frégates de Taïwan.
Décidément, la fabrique des félons et des traîtres est une usine qui travaille à plein temps, et ceux qui œuvrent pour leurs maîtres au-delà des mers ne connaissent pas le chômage. On se demande d’ailleurs dans quel laboratoire infect on a bien pu fabriquer de tels spécimens, car ils n’ont pas leur pareil ailleurs dans le monde. Alors que l’Algérie est la cible permanente de l’empire et de ses vassaux, notre pays se voit confronté à une éruption de pustules qui déversent leur sanie sur tous les réseaux sociaux, espérant accéder au statut d’opposants alors qu’ils ne sont que des furoncles.
Il faut dire que la cinquième colonne algérienne n’est jamais à court d’idée pour nuire au pays, c’est une sorte de malformation ou de mildiou. Ces énergumènes ne sont même pas des opposants politiques, ce sont juste des traîtres qui se vendent au plus offrant, sans préférence, que ce soit au Makhzen, à Fafa, à l’entité sioniste d’Israël, à la Perfide Albion, peu importe, du moment que ça paie bien. On peut s’opposer, c’est même salutaire, car cela stimule la vie politique, mais trahir et vendre ses services pour détruire son pays ! Ces gens doivent avoir la cervelle pourrie car ils sont incapables de proposer autre chose que de taper sur l’Algérie, sur son armée et sur ses services de renseignement, leitmotiv préféré de nos ennemis qui rémunèrent leurs laquais en conséquence. Ils polluent les réseaux sociaux et leurs trognes sont une insulte à notre algérianité. A-t-on vu un Français, un Britannique, un Américain, insulter son armée et ses services de renseignement sur YouTube et autres réseaux sociaux ? Non. Jamais. Mais pour ces larbins, c’est une seconde nature.
Comment peut-on être un traître à sa nation et à son peuple ? Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment ces monstres ont-ils pu naître sur la terre des Braves, la terre des Ben M’hidi et Ben Boulaïd, des rois numides, de l’émir Abdelkader, et tant d’autres ? Ces gens n’ont rien à voir avec l’Algérie. Ils sont l’antithèse des novembristes et n’espèrent qu’une chose, c’est que l’Algérie redevienne un département français. Ces félons se sont vendus à l’ancien colonisateur en militant pour l’Algérie française, et ils veulent nous ramener au code de l’indigénat. Ces soi-disant opposants sont les alliés objectifs de Saïd Bouteflika et des résidus du gang de la chaise roulante, et ils ne sont là que pour détruire. Les traîtres de Rachad, du MAK et autres groupes sont issus de la même matrice, la plupart étant installés confortablement en France et utilisés comme moyen de pression contre notre pays en servant un agenda de démantèlement de l’Etat national par l’Occident et ses maîtres sionistes.
Vous n’avez rien à voir avec l’Algérie et chiche ! ouvrez donc vos clapets à partir de Paris, Londres, Bruxelles ou Washington pour critiquer la gestion des élites politiques occidentales corrompues et pourries jusqu’à l’os ! Heureusement qu’il y a nos amis, ces justes Occidentaux qui combattent et qui luttent, à l’image de Julian Assange et d’autres, alors que vous soutenez sans faille cet Occident arrogant dont vous êtes les outils pour détruire nos pays et piller nos richesses.
Et donc, l’agent de la DGSE Bouraoui a provoqué une crise entre Alger et Paris, et on apprend qu’elle a la nationalité française. On se demande bien comment cette Amira Bouraoui a obtenu la nationalité française alors qu’elle vit en Algérie. A-t-elle reçu son passeport français par DHL ou par Fedex ? Quoi qu’il en soit, la France l’a jugée assez intéressante pour monter toute une opération d’exfiltration. Elle a regagné sa mère patrie la France, laquelle a préféré sauver son «soldat Rayan» au détriment des accords entre les deux Etats. Ainsi, Amira a rejoint Amir. N’est-ce pas beau de voir réunis le Romeo et la Juliette de «l’opposition» algérienne décomposée et pourrie, gavée avec l’argent des services français, marocains, britanniques, américains, etc. ? C’est si beau, Paris… Non, ce n’est pas beau du tout, Madame Amira Bouraoui ! Vous vous réfugiez dans un pays où la majorité des gens sont dégoûtés de la politique liberticide d’un régime défaillant, lequel fait passer des lois sans l’aval du Parlement à coups de règles du 49/3, où la classe dominante écrase la population de toute sa morgue et son arrogance, où les médias sont à la botte du pouvoir. Maintenant que vous voilà à Paris, les soirées de débauche bien arrosées à Alger avec le cercle des francophiles de la cité, les adeptes des LGBT et autres marginaux qui continuent à vouloir détruire notre pays ne vont-elles pas vous manquer ?
Vous avez rejoint ces «démocrates» parisiens déguisés qui vouent un amour sans limites à Fafa, leur mère patrie. Grand bien vous fasse ! Bon débarras ! Vous êtes de ces faux militants qui sont justes des vassaux doublés d’agents qui veulent faire plier l’Algérie et qui sont utilisés comme des Kleenex par cet Occident oxydé qui a construit son mythe de démocratie, de droits de l’Homme et de liberté d’expression pour envahir d’autres pays, les raser et piller leurs richesses, tout en asservissant leurs propres peuples qui vivent la misère noire. Dégagez et ôtez-vous de notre soleil, laissez notre patrie tranquille et prenez la nationalité française ou israélienne, si cela vous chante. Cela ne nous concerne plus. Au moment où l’Occident s’effiloche de toutes parts, où des Occidentaux s’enfuient loin de l’Europe, l’intelligente Amira Bouraoui rejoint le quart-monde à Paris.
Nous demandons à nos autorités de déchoir ces traîtres de la nationalité algérienne pour laquelle se sont sacrifiés des millions de martyrs. La nationalité des martyrs se mérite, n’est-ce pas Amira la Parisienne, Amir le Parisien, Zitout le Londonien, Dhina le Suisse, Aboud le Français, Semmar le Parisien ? Continuez à errer comme des chiens bâtards dans toutes les capitales occidentales. Une nationalité, ça se mérite. Nous, les enfants du peuple, nous avons connu maintes misères et maintes luttes pour régulariser notre situation à l’étranger, alors que ces traîtres, ces agents, reçoivent des papiers en un claquement de doigts. Amira Bouraoui et ses amis de Rachad et du MAK ne connaissent pas la lutte des sans-papiers et les grèves de la faim, ils aiment bien vivre sans risques. Les «opposants» algériens de pacotille courant après les droits de l’Homme et la démocratie qui n’existent que dans leur cervelle de moineaux sont à contre-courant de l’histoire en roulant pour un Occident qui s’effondre dans un abîme sans fond.
La réponse algérienne devant ce qui est une affaire d’espionnage menée par la DGSE est sans faiblesse et ne s’est pas fait attendre. Le président Tebboune a rappelé l’ambassadeur d’Algérie en France pour consultation. Et les manœuvres provocatrices de la France contre l’Algérie auront des répercussions sur les relations futures entre les deux pays. On ne se moque pas impunément de l’Algérie.
L’Algérie ne tombera pas, n’en déplaise à vos maîtres gaulois comme Driencourt, Macron et consorts. Elle a existé avant vous et elle résistera au temps et à toutes les trahisons. Vos petits rêves de vassaux soumis tomberont, vos chimères s’étioleront. L’Algérie, cette terre millénaire bénie, est plus grande que nous tous. Vous ne la méritez pas comme vous ne méritez pas le sacrifice de ces braves martyrs. Nous vous laissons à votre lutte qui consiste à vouloir récupérer votre ancien titre de ratons, de bougnoules, et d’indigènes. Vivez avec ça, mais loin du soleil de notre patrie.
M. A.
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