Une affiche montrant Mohammed VI et Sanchez s’embrassant fait scandale
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Pas un seul jour ne passe sans que nous ne soyons témoins d’un scandale relatif au royaume de Bousbir, champion dans le trafic de drogue et le tourisme sexuel, dont la pédophilie. Cette fois, c’est le roi des noceurs, le commandeur des faux-croyants, à savoir Mohammed VI, qui tient le haut de l’affiche (!) en Espagne puisque le Front des travailleurs espagnol, Frente Obrero, a placardé dans toutes les villes espagnoles une grande affiche électorale montrant un dessin représentant le roi de la tomate et du haschich en train d’embrasser langoureusement le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, dans un baiser, disons… mouillé, accompagné du slogan «Que Mohammed VI vote pour toi !» Quelle honte pour les Marocains et leur roi vénéré ! Et devinez qui fait les frais de cette campagne électorale auprès des relais habituels du Makhzen sur les réseaux sociaux à propos de cette affiche peu ragoutante ? L’Algérie, pardi ! Oui, selon eux, c’est l’Algérie qui a fait le coup en finançant le Parti des travailleurs espagnol. Par contre, pas un mot des scribouillards psychotiques bousbiriens dans les feuilles de chou du Makhzen. Cela semble nous dire : «Cachez-moi cette affiche que je ne saurais voir !»
Comme nous l’avons écrit à maintes reprises, le Makhzen hystérique et hargneux, parasité par sa scotomisation, maladie mentale dont nous avons parlé dans notre dernier article, n’arrêtera jamais d’attaquer l’Algérie et son armée. Incapable de s’en prendre aux Espagnols parce qu’ils sont ses maîtres historiques, ainsi que les Français et les Portugais, bousbiristan, dans une rage irrépressible, accuse à nouveau à l’Algérie. Il faut bien déverser son trop-plein d’agressivité, n’est-ce pas ? C’est donc une preuve de plus qui vient confirmer l’exactitude de l’expérience des rats de laboratoire du célèbre professeur Laborit.
Par ailleurs, dans leur acharnement maladif contre l’Algérie et obsédés par l’adhésion de notre pays aux BRICS, les agents du Makhzen répandent la fausse information selon laquelle la candidature de l’Algérie aurait été rejetée, rumeur véhiculée par les relais bousbiriens qui circule dans les réseaux sociaux et qui a été reprise par de nombreuses personnes de bonne foi et même averties. J’ai été contacté par des gens très sérieux qui m’ont demandé de vérifier cette information. C’est ici que l’on voit apparaître la main du Team Jorge spécialisé dans les fake news. Messieurs du Makhzen, souffrez donc en silence, votre roi de la débauche a défrayé la chronique, ne cherchez pas à faire le buzz sur le dos de l’Algérie pour donner le change. Votre monarque dégénéré s’affiche en grand dans toute l’Espagne, il faudra vous y habituer et vous devriez plutôt faire profil bas. Le buzz, vous l’avez eu, sans doute pas celui que vous espériez, et vous êtes devenus la risée de la planète. Mais c’est ça, le Maroc de Mohammed VI et de ses sultans d’opérette qui ont marqué la «grande histoire de l’empire marocain» qui n’existe que dans les cerveaux ramollis des fumeurs de shit bousbiriens.
Nous informons en outre le Makhzen faisandé que le fait de s’en prendre à l’Algérie n’enterrera pas le scandale lui-même, et qui a déjà fait le tour du monde. Plus rien ne peut effacer l’image de leur roi bavant sur Sanchez. C’est quand même une première dans l’histoire espagnole où un parti politique construit sa campagne électorale sur le vice du roi débauché de Bousbir. On n’a jamais vu ça nulle part dans le monde. L’auteur de l’affiche n’y est pas allé de main morte et a réussi à montrer une image salace du monarque féodal et de son partenaire de la léchouille en les représentant d’une manière obscène mais qui représente néanmoins la stricte vérité. C’est vraiment très «trash», comme on dit en anglais. La presse hollandaise et certains journaux belges avaient d’ailleurs publié maints articles sur l’orientation sexuelle du roi du Maroc il y a déjà pas mal d’années. Mais l’obscénité de ce dessin traduit surtout un véritable dégoût des Espagnols à l’égard des Marocains qui a atteint son paroxysme. En effet, ils ont établi un constat qui n’est jamais qu’un secret de Polichinelle. Cette affiche éminemment politique envoie des messages multiples à l’adresse du roitelet de la tomate, du poulpe et du haschich ainsi qu’à celle de son compère espagnol, lequel a opéré un revirement total sur la question du Sahara Occidental, très probablement à cause des fichiers compromettants trouvés sur son téléphone portable piraté par le Maroc avec le logiciel israélien Pegasus. Le socialiste Pedro Sanchez paiera très cher sa trahison et perdra très certainement l’élection législative prochaine, car sa politique anti-algérienne et son larbinisme à l’égard du Maroc ont nui grandement à l’économie espagnole. On sait que les socialistes européens ont toujours été des social-traîtres, et on le voit encore aujourd’hui avec leur suivisme des diktats atlantistes impérialistes vis-à-vis de la Russie, quitte à saborder l’économie de leurs pays respectifs et à plonger leurs populations dans la précarité totale.
Cette affiche est très importante à plus d’un titre car, outre sa dénonciation de la politique de soumission de Pedro Sanchez à l’égard du Maroc, c’est la première fois qu’un parti de gauche européen a le courage de critiquer les thèses de genre dans lesquelles le grand capital a noyé la gauche occidentale qui s’est totalement disqualifiée en soutenant des «causes» sociétales minoritaires. Il s’agit d’une rupture totale que vient d’opérer le Front des Travailleurs espagnol. Espérons que cette prise de position va encourager les camarades de l’hémisphère nord à faire leur autocritique concernant les thèses des transgenres et à se libérer de l’influence du lobby LGTBQ+ pour se focaliser enfin sur les vrais enjeux, à savoir combattre le capitalisme et son stade suprême l’impérialisme.
Quant au Makhzen marocain qui cumule les scandales allant du Pegasus jusqu’au Marocgate, sa réaction à cette énième affaire de l’affiche électorale révèle encore une fois son visage hideux défiguré par sa haine viscérale de l’Algérie, de son armée et de son peuple. Mais notre pays connaît ses amis et ses ennemis, et la bave du roi crapaud n’atteindra jamais la grande Algérie. En attendant la suite du soap opera bousbirien interminable, du type Les Feux de l’amour, ce qui est tout à fait indiqué en l’occurrence, ne boudons pas notre plaisir en voyant le roitelet du Maroc placardé sur les façades espagnoles. C’est un vrai régal et, qui sait, peut-être le début d’une prise de conscience des peuples européens contre ce royaume perfide et criminel du Maroc, et la fin probable du clientélisme électoral auquel se livrent de nombreux partis politiques en Europe avec la communauté marocaine. C’est l’un des effets du Marocgate. J’en veux pour preuve la récente déconvenue d’un journaliste marocain au service du Makhzen qui a sollicité des élus belgo-marocains pour continuer à faire du lobbying et qui s’est vu répondre que les temps étaient durs et que ces élus craignaient de défendre à nouveau les intérêts du Maroc en Europe, de peur d’être mis sous enquête.
Pendant ce temps, l’Algérie marque des points au niveau diplomatique à l’échelle mondiale, en parlant aux grands de ce monde comme la Russie et la Chine, et le voyage du président Tebboune en République populaire de Chine, après celui qu’il a effectué en Fédération de Russie, s’annonce déjà une réussite totale dans le cadre d’un partenariat stratégique entre pays frères. Mais même le voyage en Chine du président Tebboune fait l’objet d’attaques en règle des agents du Makhzen et de sa presse poubelle qui parlent plus du président algérien et du chef d’état-major de l’ANP que de leur roi invisible. Et au moment où les Algériens sont fiers de leur armée et de l’histoire de leur pays, tous les Marocains continuent de pratiquer le déni d’avoir pour roi un dégénéré qui s’affiche de manière libidineuse dans toute l’Espagne. A chacun son karma.
M. A.
Comment (51)