L’ONG sioniste Trial persiste dans son complot contre l’Algérie et son armée
Par Karim B. – Le décès du général Khaled Nezzar – paix à son âme – a faussé les calculs diaboliques des conspirateurs de l’organisation sioniste Trial International qui a vu son plan contre l’Algérie et son armée contrarié. Après un long silence, motivé par la recherche d’une nouvelle stratégie pour relancer la machine médiatique et judiciaire qui a duré douze longues années, cette ONG, dédiée au soutien des terroristes islamistes du FIS et de Rachad, est revenue à la charge avec l’enregistrement vidéo d’un membre de cette nébuleuse, l’inconstant et inconsistant Abdelouahab Boukezouha, invité à répéter tel un perroquet la même rengaine que lui et ses semblables récitent depuis 1992 pour obtenir leur asile doré en Europe.
Pourquoi ce retour à l’action anti-algérienne à travers ce traitre maintenant précisément ? Cette sortie semble participer de la même opération lancée par la présidente de la Commission européenne et ses collègues des Affaires étrangères et du Commerce, sous l’impulsion d’Israël, attaquant l’Algérie pour sa politique souveraine qui refuse de se plier au diktat de l’Europe dans le cadre d’un accord d’association dont les clauses ne profitent qu’à la partie européenne et dérange par son activisme pro-palestinien efficace au Conseil de sécurité de l’ONU.
Auparavant, Trial International indiquait qu’«une quinzaine d’affaires supplémentaires seraient en cours d’instruction, au titre de la compétence universelle». «Des dossiers gérés dans le plus grand secret, pour préserver l’effet de surprise lorsqu’ils seront rendus publics», ajoutait-on. C’est le journal français pro-islamiste Le Monde qui nous apprenait que la justice suisse persistait dans son acharnement contre l’armée algérienne, malgré la sévère mise en garde de l’Algérie qui, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, avait menacé clairement de rompre les relations diplomatiques avec la Fédération helvétique si elle ne cessait pas de servir de tribune pour les terroristes et de s’ingérer dans les affaires internes du pays.
Cette confidence faite par l’ONG pro-sioniste, financée, entre autres, par le gouvernement suisse, confirme les accusations de la défense du défunt général Khaled Nezzar qui ont dénoncé les violations commises par le procureur suisse. Lequel procureur a tout fait pour empêcher le prévenu de faire valoir son droit à la présomption d’innocence et de présenter les preuves qui corroborent la thèse de l’implication avérée de la nébuleuse islamiste dans les crimes commis durant la décennie noire en Algérie. Nébuleuse, par ailleurs, soutenue par Trial et la justice suisse qui absolvent ainsi le FIS et ses bras armés, l’AIS, le GIA et le FIDA du terroriste Mourad Dhina – installé à Genève –, des massacres perpétrés contre des Algériens innocents, égorgeant des femmes qui refusaient de porter leur accoutrement religieux aliénant ou d’arrêter d’enseigner, et tuant de jeunes scouts en plaçant une bombe dans un cimetière, applaudis par les médias socialistes restés fidèles au criminel de guerre François Mitterrand.
Cette affirmation de Trial, confessée au journal Le Monde, confirmait également les appréhensions justifiées du général Khaled Nezzar qui, depuis le début du procès, pointait le caractère éminemment politique de l’instruction menée par des militants de l’Internationale socialiste, proche de la mouvance islamiste. L’ancien membre du Haut Comité d’Etat (HCE, présidence collégiale) avait, en effet, refusé, en toute logique, de fournir au procureur suisse des informations relevant du secret-défense, ce dernier se fourvoyant naïvement dans une tentative flagrante d’obtenir des renseignements à des fins d’espionnage.
K. B.
Comment (26)