Médecins algériens exerçant en France : ces déserteurs du corps médical national

médecins algériens France
Le système de santé français profite des médecins formés en Algérie. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Le 13 juillet, le gouvernement, par la voix du ministre de l’Enseignement supérieur, Kamel Baddari, a réaffirmé sa détermination à freiner l’exode des médecins algériens par le gel de la certification de leurs diplômes. «Dans le cadre de l’examen des moyens visant à freiner le phénomène de l’exode vers l’étranger des compétences nationales des diplômés des sciences médicales, l’opération d’authentification directe des diplômes des sciences médicales a été gelée provisoirement», a justifié Kamel Baddari.

C’est la mesure que je préconisais l’année dernière dans une contribution. Le ministre l’avait-il lue ? L’occasion de la republier.

Les médecins déserteurs : ces harragas de luxe

Ces dernières années, nombre de médecins algériens défrayent régulièrement la chronique. Toutefois davantage dans la rubrique de désertion vers l’étranger que dans celle de réalisation de prouesses médicales en Algérie.

En tout cas, ces harragas de luxe n’encourent aucun risque de naufrage, puisqu’ils voyagent librement, munis d’un visa délivré complaisamment par les services consulaires français, à bord d’un avion en partance de la France. Leur principale destination. Comment pourrait-on caractériser ces départs massifs de médecins algériens vers la France, sinon comme de la désertion ?

Cela étant, les médecins algériens exerçant en France ou en Europe peuvent être qualifiés, au mieux de déserteurs pour avoir fui leur corps de métier hospitalier national, au pire de «présumés coupables» en vertu du chef d’accusation de non-assistance à malades en danger constitué sur la base de refus de soins de citoyens algériens affectés par une maladie.

Pour rappel, selon la définition fournie par Wikipédia, «la désertion est l’acte d’abandonner ou de retirer l’appui à une entité à laquelle quelqu’un avait prêté serment ou avait prétendu devoir allégeance, responsabilité ou loyauté ou à laquelle il avait été contraint d’appartenir. On peut donc considérer que dans tout ordre cela existe». En particulier dans l’ordre médical.

Sur le fondement de cette notion de désertion, au même titre qu’un soldat, à plus forte raison un haut gradé, formé par l’armée nationale, est passible de condamnation pour désertion, s’il passe à l’ennemi avec armes et bagages en vue de lui offrir son expertise militaire dispensée par son pays d’origine, le médecin algérien qui fuit son pays pour exercer son activité au service d’un pays étranger doit être condamné sous le même chef d’inculpation de désertion.

Quelle est la principale motivation de ces médecins algériens déserteurs, sinon la cupidité, l’appât du gain ? Par leur esprit mercantile, ils trahissent le premier devoir du serment d’Hippocrate. Pour rappel, le serment d’Hippocrate est considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale. Une des principales règles déontologiques du serment d’Hippocrate est la suivante : «Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.»

Or, en refusant de soigner les Algériens résidant dans un pays en développement, préférant soigner, par appât du gain, les Occidentaux établis dans les pays riches, le médecin algérien faillit à son devoir. Il trahit le serment d’Hippocrate. Pis. Il vend son âme au diable.

Le second principe énoncé est l’aide apportée aux confrères. Le médecin est tenu également de former ses nouveaux collègues, les nouvelles recrues fraîchement diplômées. «J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité. Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses.» En cas de soustraction à ce devoir élémentaire d’aide et de patronage, le serment énonce : «Que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.»

Véritable «hémorragie» médicale pour le système de santé algérien

Or, par sa fuite à l’étranger, tout médecin déserteur se soustrait à son devoir de soins dus aux malades algériens, et il prive également ses confrères nationaux de son expertise, de sa précieuse collaboration due aux nouvelles recrues. Aussi, en vertu du serment d’Hippocrate, ce médecin déserteur algérien dont l’argent est la seule source de motivation et de vocation se déshonore-t-il. Pis. Il devient méprisable.

Pour information : en 2021, en pleine crise sanitaire, quelque 1 200 médecins algériens de différentes spécialités avaient fui le pays pour aller exercer en France, ancienne puissance coloniale. Cet exode massif représente une véritable «hémorragie» médicale pour le système de santé algérien. Selon le président de l’Ordre national des médecins, le Dr Mohamed Bekkat Berkani, 15 000 médecins algériens exerceraient en France. Et il n’y a que les médecins algériens qui fuient ainsi leur pays pour se vendre à vil prix à la France. Il n’y a que les médecins algériens dont la mission est devenue démission. Ces médecins transfuges confondent délibérément affectation (dans un hôpital algérien) et défection (vers la France). Confondent élaboration d’un plan de soins efficace pour l’Algérie et collaboration sur tous les plans médicaux avec la France. La preuve, en 2021, dans le cadre du concours d’équivalence mis en place par la France, sur les 2 000 candidats reçus à l’issue de l’épreuve, 1 200 étaient de nationalité algérienne.

Cette désertion des cerveaux «médicaux» suscite l’inquiétude des professionnels de la santé d’Algérie. Et scandalise l’opinion publique algérienne, alarmée par l’ampleur de cette évasion des compétences hospitalières, sources d’expansion de pathologies chroniques générées par l’absence de prise en charge médicale efficiente.  Mais également le gouvernement algérien, qui a pris conscience de l’ampleur de cette «hémorragie».

Des mesures sont à l’étude pour endiguer ces désertions de médecins. A cet égard, le Dr Bekkat avait fait savoir que les médecins algériens «reçoivent une formation solide de qualité, selon les standards et les normes internationaux», précisant qu’il «faut uniquement améliorer leurs conditions socioprofessionnelles». Car, selon lui, «c’est dommage de former des cadres pour les autres». C’est-à-dire les pays occidentaux, en particulier la France.

Toujours selon Dr Bekkat, les principales destinations des médecins algériens sont la France, les Etats-Unis, l’Allemagne et le Qatar, et récemment la Grande-Bretagne et le Canada, ajoutant que le nombre de demandes déposées par les médecins spécialistes désirant quitter le pays augmente chaque année, dont 80% des praticiens se dirigent vers la France.

Curieusement, et cela dévoile la cupidité de ces médecins algériens déserteurs, selon de sources médicales algériennes, ceux qui prennent la décision de fuir le pays pensent avant tout à l’avenir de leurs enfants. Ainsi, ils pensent à l’avenir de leur progéniture avant celui de leur pays, amputé de cette «force de frappe médicale» mise dorénavant au service d’une puissance étrangère. Pas étonnant qu’ils désertent l’Algérie sans état d’âme. Quitte à laisser mourir des centaines de milliers de malades algériens faute de soins, c’est-à-dire faute de médecins, enfuis à l’étranger, après avoir été formés gratuitement par les universités algériennes.

Ces porteurs de blouse qui se font blouser par la France

Cet exode des médecins algériens vient s’ajouter à celui des ingénieurs et autres corps de métier prestigieux névralgiques. Ces déserteurs appliquent à leur compte cette devise énoncée par Paul Morand : «Par une désertion volontaire, entraînons-nous à ce jour où il nous faudra tout quitter.» Y compris l’honneur et la dignité. D’aucuns ajouteraient : patriotisme.

Aujourd’hui, pour quelques euros, ces transfuges troquent le bistouri et le stéthoscope algériens contre ceux des hôpitaux français. Demain, pour la carte d’identité française, ils renieront jusqu’à leurs racines algériennes. Après demain, ils endosseront fièrement l’uniforme militaire français pour défendre leur nouvelle patrie ou participer à des opérations de conquêtes impérialistes.

A titre personnel, pour certaines professions névralgiques, je conseille à l’Etat algérien, dans l’intérêt supérieur du pays, pour protéger la population des pénuries de certains corps de métier indispensables à son bien-être (voire à sa survie dans le cas de la médecine), de confisquer leur passeport de ces professionnels hautement qualifiés, notamment les médecins et les ingénieurs. Pour mettre un terme à ces honteuses désertions professionnelles des métiers névralgiques, hautement sensibles, indispensables au développement du pays et à la préservation de la santé publique de la population algérienne.

Il est anormal, pour ne pas dire scandaleux, que l’Algérie forme pendant 20 à 25 (depuis le cycle primaire) des étudiants pour en faire des ingénieurs ou des médecins, puis c’est la France (ou un autre pays occidental) qui profite de ces compétences. Elle doit empêcher cette honteuse fuite des cerveaux. Cette désertion de médecins, responsables de la désertification médicale, des maladies chroniques causées par l’absence de soins, induite par la pénurie de médecins.

Il y a des métiers stratégiques et vitaux qui demeurent exclusivement nationaux. Qui ne peuvent être exercés qu’au profit exclusif de son pays. Un officier de police ou de l’armée, tout comme un agent de renseignement ou un juge, un ministre ou un député, ne peuvent être recrutés par un autre pays. Dans l’hypothèse hypothétique où un agent de renseignement ou un officier militaire s’expatrie pour offrir ses services à un autre pays, il tombe sous le coup de la loi pénale : il est passible d’une condamnation à une peine d’emprisonnement, voire de la peine de mort.

Cela devrait s’appliquer également aux métiers hautement qualifiés et stratégiques, notamment les médecins, les ingénieurs qui doivent faire l’objet d’une réglementation draconienne. Le summum de l’indécence (d’aucuns diraient de l’indignité) de ces déserteurs médecins algériens partis se faire suer le burnous dans les hôpitaux français de plus en plus délabrés faute d’investissement, c’est qu’ils sont rémunérés moins qu’une aide-soignante ou infirmière. Certains, quoique nantis d’un diplôme de chirurgien obtenu avec succès en Algérie, perçoivent 1 400 euros nets par mois, soit un salaire à peine plus élevé que le SMIG en France, fixé actuellement à 1 353 euros.

Ces porteurs de blouse qui triment sans rechigner se font honteusement blouser par la France. En subissant en plus le coup de blues. Cette maladie chronique française contagieuse qui, plus est, incurable, même par un médecin chevronné algérien car cette pathologie spécifiquement française résiste à toutes les médications et thérapeutiques.

Ironie du sort, ces médecins algériens transfuges se sont expatriés vers la France pour soigner leur santé financière ; au final, ils perdent et leur santé mentale, et leur pays, et le respect dû à leur honorable profession médicale, étant donné qu’ils seront considérés toujours comme des médecins étrangers aux compétences douteuses par les Français.

Ces médecins déserteurs auront lâché la proie honorable algérienne pour l’ombre dégradante française.

K. M.

Comment (42)

    NI FOI, NI ÂME, ET NI HONNEUR.
    6 août 2024 - 0 h 23 min

    EXCELLENTE ANALYSE D’UNE RÉELLE SITUATION.
    NOS MÉDECINS ET INGÉNIEURS SONT LA RISÉE DE L’ALGÉRIE.
    LA HONTE DE LA PATRIE.
    REMBOURSER L’INTÉGRALITÉ DES FRAIS QUE ÇA A COÛTER À L’ÉTAT ALGÉRIEN POUR VOUS AVOIR PAYER GRATUITEMENT TOUTES VOS ÉTUDES.
    À VOUS LES MÉDECINS ET INGÉNIEURS.

    Lahouaria
    5 août 2024 - 10 h 30 min

    Les médecins algériens sont marginalisés dans les hopitaux de France et ce malgré qu’ils bossent plus de garde que leurs confrères et collègues du même service, qu’ils opèrent plus que les autres, ils sont toujours sur le qui-vive, certains de leurs collègues d’origine chinoise, iranienne ou arabe ou africain ont été remercié pour compression des travailleurs par leurs Patrons. Pendant la période du Covid19, ils ont été sous-payés, 900€ , parfois 1500€, car Macron avait bloqué les salaires comme il a vidé les hopitaux de ses personnels soignants.
    Mon beau frère un Kabyle de Tizi Ouzou bosse à Paris depuis 97 où il a soigné Johnny Hallyday et les gens de Canal+ il est devenu renommé pour ses opérations chirurgicale lourde. Mi-juillet, j’ai téléphoné à ma soeur pour lui souhaiter bonne anniversaire, elle m’a dit qu’elle ne l’avait pas fait parce que son mari a failli perdre une patiente au bloc opératoire, qu’il lui a sauvé la vie après, elle avait fait une hémorragie et qu’il était obligé de tout refaire pour la soigner jusqu’à 4heures du matin, de 17heures à 4heures du matin, il a réussi à la sauver sans rentrer chez lui, à 80km d’un hôpital de banlieue bourgeoise parisienne, c’est ma sœur qui a laissé les enfants dormir et allé le chercher avec sa voiture pour qu’il rentre à la maison, ses parents étaient venu d’Algérie ce soir-là, mon beau frère a pleuré pour la jeune opérée de 25 ans, mais bon, Rabi Hafdha et lui aussi, ne perdra pas sa belle notoriété.
    J’espère que les médecins algériens restent en Algérie avant le président Chadli Bendjedid, bloquait la certification des doctorats en Médecine jusqu’à qu’il exerce en milieu hospitalier pendant 7 ans, sinon, c’est l’armée qui se charger de leur exiger le SN.
    Sauf pour les enfants de Chouhada, quand ils sont l’unique enfant qui a fait médecine, il pouvait travailler en privé et ouvrir un Cabinet.
    Ma cousine médecin généraliste, fille de Chahid a eu le droit d’ouvrir un cabinet privé, mais elle a refusé, elle a préféré travailler au dispensaire de chaque quartier du village ou les fermes à 10km à la ronde.
    Ma cousine très gentille avec les malade, je l’ai appelé Dr K première lettre du prénom de sa grand-mère qui la sœur de mon grand-père paternel.
    Ma cousine a refusé de venir en France qui a tué son papa et les deux frères de son papa dans une embuscade. Maintenant, elle est mariée et a refusé que ses enfants fassent médecine pour qu’ils s’envolent dans d’autres pays, ses 3 fils commerçant, ingénieur enseignant. sa fille biomédicale analyse les aliments au laboratoire de la répression des fraude à la douane et restaurants.
    Après Chadli Bendjedid, y’a eu un arrangement entre la France et l’Algérie,  » Si tu me donnes tes médecins, je te donnes des médicaments pour certaines maladies graves » Cancer, Handicap, Rein etc.
    Un jeune médecin après la mort de son père au village, fraichement diplômé, il est partie à Marseille où sa mère malade grave vivait chez son fils ainé, mais ce jeune médecin a refusé de rester chez famille frère marginal ou farfelue, il est venu chez mon frère et sa femme et ses enfant qui habitait chez maman dans une grande maison, il a demandé à ma mère s’il elle pouvait le dépanner en lui louant un petit studio pour qu’il puisse réviser pour passer un concours de spécialité gynécologie obstétricale (grossesse et accouchement), il a fait ses études à l’ISM d’ORAN,
    Mon frère a vendu une voiture qui était garé et lui loué un F2 et lui a donné 1500€ pour s’équiper, il a eu son examen mais 6 mois après, il a été muté vers Orléans. C’était un bon médecin, il m’a dit, tu sais le Bac et doctorat diplômes pour certains riches milliardaires sont achetés et en France, les jeunes médecins ne savent pas diagnostiquer une personnes, ils préfèrent écouter le Patron soit le Professeur du service ou les médecins arabes qui donne cache le diagnostic.
    Bonne journée

    Brahms
    5 août 2024 - 8 h 00 min

    Ces médecins algériens ou algériennes changent de cadre de vie,

    Ils pensent faire fortune en FRANCE avec leur profession en distribuant des anti-douleurs ou des anti-inflammatoires à leurs malades européens.

    En réalité, ces vendeurs de médicaments ne font qu’enrichir les firmes pharmaceutiques SANOFI, PFIZER et autres via les pharmacies faisant croire aux malades qu’il va guérir alors que ces médicaments empoisonnent le corps sur la longueur et ne font qu’arrêter les douleurs durant un certain temps.

    Exemple : Prenez des (efferalgan) cela bousille le foie mais cela arrête la douleur durant quelques heures et très souvent les malades vont en prendre pendant 10 ans comme ceux qui ont des douleurs articulaires et sans faire attention, ils vont fusiller leur système immunitaire.

    Vous avez aussi les médicaments TRAMADOL, IXPRIM qui déglinguent le cerveau. Le malade devient comme un drogué, votre dealer devient le médecin et vous le drogué.

    A la longue, ces médicaments fusillent votre foie, votre système lymphatique, le cerveau et le ou les médecins étrangers ou français jouent en vérité avec les cellules de votre corps en trichant via ces poisons et préparent votre entrée directe dans les EHPAD (maison de retraite) en affaiblissant votre corps.

    Sachez qu’une maison de retraite coute 3 200 € par mois donc vos biens immobiliers, financiers ou même votre retraite partiront en fumée très vite, les carnets bancaires seront très vite épuisés.

    Petit rappel, quand vous prenez des médicaments, vous détruisez vos fibres musculaires et quand vous aurez 70 ans et +, vous sentirez une perte musculaire (catabolisme), un affaiblissement généralisé ce qui fait que les médicaments pris, vous donneront d’autres problèmes de santé (cercle vicieux).

    Pour finir, vous êtes responsable de votre propre santé, le médecin ne fait qu’enrichir la firme pharmaceutique et son patient, il le transforme comme une petite souris de laboratoire pour le profit de SANOFI, PFIZER et autres.

    Seule solution, mangez sain, dégagez les sucreries, sucre, faites du sport (marche rapide) – course à pied, vélo d’appartement, prenez des fruits, arrêtez la cigarette, l’alcool qui sont des accélérateurs de vieillesse et tuent les cellules de votre corps, buvez au moins un litre d’eau minérale par jour, mangez du poisson.

    Anonyme
    4 août 2024 - 13 h 48 min

    C´est bien simple, le médecin algérien, s´il désire travailler ailleurs qu´en Algérie, doit d´abord payer sa formation en Algérie avec l´argent du peuple ou après un service civil de 5 ans par exemple.
    Ne sont exemptés de ces conditions que ceux qui s´engagent à travailler dans leur pays.
    Chiche, c est aussi une question d´honneur pour les universitaires partis travailler à l´étranger: PAYEZ vos DETTES envers Le PEUPLE ALGÈRIEN!

      Mimoun el watani
      5 août 2024 - 4 h 24 min

      Anonyme
      4 août 2024 – 13 h 48 min
      Les 2 ans de service national gratuit en tant que diplômé, cela te dit rien? À ce que je sache, notre cher pays a offert des études GRATUITEMENT à tout le monde, mais y en a des ALGÉRIENS qui réussissent, et d’autres qui passent leur temps ou toute leurs vies à critiquer les autres ( ceux qui ont réussi), et parmi ceux qui ont réussi, y a pas uniquement les enfants à papa ou à maman qui sont bien lotis, car y en a des centaines de milliers d’algériens, depuis l’indépendance, qui ont réussi avec des moyens dérisoires , l’exemple du bachelier de Saida, Bouhafs Fadhlaoui (qu’il m’excuse si je transcrit son nom d’une manère fausse), est édifiant en réussissant son examen avec plus de 17 de moyenne alors qu’il vivait sous une TENTE. Voir la vidéo diffusée par une chaine algérienne : https://www.youtube.com/watch?v=eGcy2q1g2KM
      Voilà l’exemple d’un algérien battant, lui et des centaines de milliers d’autres, afin de profiter de la gratuité de l’enseignement arrachée par 1 million et demi de martyrs. Quant à ceux qui critiquent ceux qui sont partis à cause des injustices et de la précarité de leurs vies, je leur diraient vous êtes SIMPLEMENT JALOUX, CAR VOUS N’AVEZ PAS LEURS NIVEAUX. Aussi, une autre chose, dites-vous qu’il n’ ya personne qui sollicite cette catégorie ( médecins et ingénieurs) partie ailleurs pour venir aider, par conférences, par coopération, aider le pays.

    PARLONS-Y
    4 août 2024 - 5 h 39 min

    Arrêtons d’incriminer les médecins ou ingénieurs partis monnayer leurs talents ailleurs svp. Et parlons des causes, des vrais causes qui les fait fuir. Le salaire moyen d’un médecin algérien est de 90.000 dinars alors qu’en France le salaire moyen est de 5800 euros ( 1 160 000 dinars) 12 fois plus que celui de l’Algérie. Les médecins et les ingénieurs partent car ils ne trouvent pas que c’est JUSTIFIÉ de donner un salaire minimum le plus bas à un joueur de football débutant jouant dans la catégorie espoirs ( -23 ans) de 40 à 60 millions de centimes ( aveux de dirigeants du MCA) , c’est-à-dire un salaire 6 fois plus qu’un médecin alors que le ou les joueurs en question ont quitté l’école très tôt. Ne parlons pas des joueurs séniors et non instruits qui perçoivent pour la majorité plus de 120 millions de centimes et allant jusqu’à 600 millions voir plus, c’est-à-dire plus de 60 fois le salaire d’un médecin. Maintenant si on regarde du point de vue apport au pays: Le médecin soigne des gens et évite des épidémies au pays et des prises en charges très coûteuses, alors que le joueur provoque de la violence allant des blessures, à la mort et aux Émeutes menaçant la sécurité publique avec tous les dégâts matériels que cela engendre ( exemple le plus récent : dégâts à coûts de milliards au stade hamlaoui de Constantine récemment rénové pour abriter les matchs de la CHAN). Maintenant, revenons à la vie sociale des médecins. Avec ce salaire de 9 millions de centimes par mois ( pour les expérimentés) et avec la vie de plus en plus chère, ce médecin s’il est marié et père de famille, pourra-t-il se concentrer sur son travail qui nécessite concentration et courage d’affronter des effrontés chaque jour, s’il n’est pas heureux chez lui car son salaire est dérisoire? Alors que le joueur de foot se la coule douce depuis l’inter-saison avec des stages à l’étranger jusqu’à la fin de la saison avec son équipement ( pas besoin d’acheter des vêtements), restauration adéquate, transport assuré, prise en charge médicale et nourri-logé SANS PAYER D’IMPÔTS alors que le pauvre médecin n’a pas tous ces privilèges. Alors au lieu de les enchaîner encore plus avec cette histoire de certification, faudra se pencher sur leurs salaires. Une vraie conscience ne conçoit pas qu’un joueur de football Gagne 13 millions de centimes par jour ( pour un salaire de 400 millions de centimes par mois) et un médecin 300 000 centimes, un ingénieur en pétrole qui extrait du gaz ou pétrole sous une chaleur de 50 degrés 26 fois moins ( 500 000 centimes par jour). Maintenant, dites-nous qui est utile pour le pays et son économie? Pourquoi ne pas parler aussi des joueurs de football formés en ALGÉRIE par des entreprises algériennes partent gagner des salaires faramineuses surtout dans les pays du golf et sans que personne ne se soucie des jeunes vendus pour 100 000 dollars sans que le pays n’en bénéficie et que des pays comme le Qatar naturalisent sans que personne ne crie gare!! Azeddine Medjoubi Paix à son âme, assassiné par les hordes islamistes à la solde des étrangers et parfois des pays supposés amis avait dit dans Mimoun Ezzawali: yaw ddimoqratiyya daradjat wella?? Alors pour le paraphraser, je dirai yaw Nationalisme ( el wataniyya) daradjat wella?? Il faut un audit et une refonte complète du mode d’octroi des salaires surtout pour les entreprises nationales. Bellaili gagnait près de 800 millions par moi avec tout le grabuge qu’il provoquait alors que Mimoun ezzawali gagnait 10 millions par mois en étant médecin au sud du pays pour veiller sur notre personnel de Sonatrach qui fait vivre tout le pays. Il y a des gens au pays qui font tout pour alimenter la France en personnel médical dont elle manque et ce en n’investissant aucun centime sur leurs formations et la même choses pour les joueurs de football. Si j’ai pas raison INSULTEZ-MOI SI VOUS VOULEZ.

      Anonyme
      4 août 2024 - 9 h 39 min

      J’ai arrêté de lire quand vous avez comparer en euros un salaire versé en Algérie pour un médecin en le comparant au salaire en euros versé en France pour un médecin…

        PARLONS-Y
        5 août 2024 - 3 h 44 min

        @Anonyme
        4 août 2024 – 9 h 39 min
        Vous pouvez arrêter de lire et même de ne plus me le dire si cela vous enchante autant. Mais dites-moi juste combien coûte une baguette de pain en Algérie et en france, combien coûte 1 litre de lait en Algérie et en France, combien coûte un loyer moyen en Algérie et en France, l’électricité, l’eau, le Gaz, l’essence et combien ça paie les impôts, les assurances en France et en Algérie. Moi j’ai les chiffres, c’est à toi de me donner les résultats ya akhi.

      Anonyme
      4 août 2024 - 10 h 12 min

      Raisonnement en vase clos.
      Le médecin, c est l état qui lui a payé ses études donc le peuple,
      le coût de la vie est la moitié ou même le tiers de celui en Europe, là, l état ne lui offre pas un logement, il doit payer au moins 1000€ de loyer.
      La comparaison avec les joueurs de football, c est pareil en Europe et dans les pays capitaliste, le football perçoit là-bas aussi un multiple de ce que perçoit un universitaire.
      Ne parlons pas de des autres inconvénients de vivre dans un pays étranger où on est vomis, même si personnellement on n est pas concerné.

        PARLONS-Y
        5 août 2024 - 4 h 00 min

        Anonyme
        4 août 2024 – 10 h 12 min
        À ce que je sache, l’état ne paye pas les études à tout le monde, il le fait à ceux qui le méritent, qui travaillaient, révisaient jours nuit, ayant passé des années à ne pas manger à leurs faims, avec un manque de transport, d’hébergement, de vêtements, etc…Mais hélas, et c’est juste, l’état ne pouvait pas payer des études à ceux qui ne le méritent pas. Donc ces médecins ont mérité que l’état leur paient les études, car et ne l’oublie pas, ils passent 2 années à servir gratuitement leur pays sous les drapeaux, alors que d’autres ( les recalés, les bourricots de la classe) passent leur service national à manger , se vêtir, sans rien donner au retour à la nation. Quant à être vomis à l’étranger, ce sont les gens qui transportent ( harragas et bénéficiaires des lois françaises) leurs ZBEL ( DÉCHÊTS) ET TARES d’éducation ( du point de vue langue, religion, comportements, attitude, non respect des loins du pays d’accueil) qui sont VOMIS et je suis entièrement d’accord. Quand je vois des chariots des super marchés remplis de bébés qui y font cacas dessus, quand je vois que pour un simple papier administratif tes semblables emmènent toute leur famille à l’ambassade, au consulat, aux bureaux administratifs du pays d’accueil, là je donne raison à ceux qui en ont marre de voir cela comme un invasion de criquets. Quand je vois des gens prier dans des parcs publics en élevant la voix avec des amplis avant 8h du matin pour déranger la population, là je leur donne entièrement RAISON. Et pense ce que tu veux ya ssi.

          PARLONS-Y
          5 août 2024 - 18 h 31 min

          Errata: fallait lire: À ce que je sache, l’état algérien avait payé ( et continue à le faire) les études pour tout le monde,..

    Ali
    3 août 2024 - 17 h 29 min

    On ne peut empêcher un médecin, un ingénieur de partir une fois ses études terminées. On n’a pas le droit, non plus, de ne pas leur délivrer un authentique diplôme. Par contre, on pourrait par exemple leur demander, une fois devenus riches, de penser à rembourser la totalité des frais engagés par le contribuable pour le former, en y ajoutant un petit bonus. On peut aussi leur demander d’investir dans le domaine de la santé dans le pays (formation, équipement, structures, services…etc. L’Etat aurait du le faire depuis très longtemps. Pourquoi cela n’a pas été fait? Là est la question. Toutefois, agir équitablement et ne pas prendre des mesures irréfléchies et arbitraires, est primordial si l’on se soucie un tant soit peut de l’avenir de l’Algérie et de ses enfants.

    Abou Stroff
    3 août 2024 - 13 h 32 min

    « Médecins algériens exerçant en France : ces déserteurs du corps médical national » titre K. Mesloub.

    Pour éviter de lasser le lecteur avec ma prose, je soulève deux points essentiels.

    Primo, Mesloub ne vit pas en Algérie mais en France où il profite des bienfaits que procure une société moderne dont la reproduction repose sur le travail comme toute société humaine qui se respecte.

    Secundo, comme d’habitude, nos augustes dirigeants (et Beddari, qui veut remplacer le français par l’anglais pour, paraît il, booster le niveau exécrable de l’université, en est un) s’attaquent souvent, pour ne pas dire toujours, aux conséquences et oublient ou feignent d’oublier les causes profondes des problèmes qu’ils sont censés résoudre.
    Moralité de l’histoire : il n’y en a aucune, à part que chaque individu à le droit de vivre sa vie comme il l’entend et ce ne sont pas les leçons de morale données par des « plus patriotes que moi , tu meurs »* qui pousseront des individus sensés à renoncer à leur bonheur tel qu’ils le …………..conçoivent.

    Wa el fahem yefham.

    * je rappelle que la plupart de nos augustes dirigeants (dont un ancien ministre des moudjahidines qui fustigeait fafa lorsqu’il était ministre) finissent leur vie chez fafa, leur mère nourricière, mais personne ne semble s’en offusquer.
    Bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas ?

    PS: lorsqu’un médecin ou un quelconque scientifique remarquent que nos augustes dirigeants et la société, dans sa grande majorité, placent la science et la derwacha au même niveau, n’est il pas logique que le médecin ou le scientifique prennent la poudre d’escampette pour éviter leur déchéance programmée?

    L'Algérie à l'envers
    3 août 2024 - 13 h 05 min

    Les compétences de la diaspora algérienne établie en France cherchent désespérément un accès leur permettant de rentrer définitivement en Algérie pour d’une part pour fuir la France et d’autre part contribuer au développement économique et social de leur pays, mais en vain la seule structure représentant le gouvernant algerien qui s’occupe de cette élite de la diaspora est la Mosquée de Paris. cette dernière qui représente les musulmans de France et principalement les algériens ne porte aucun secours à nos jeunes harragas désespérés qui sont pris charge par les églises françaises.

      Mouloud FEKNOUS
      5 août 2024 - 10 h 43 min

      Merci pour votre clairvoyance. Il est facile de condamner, mais il est difficile d’expliquer les causes de cette désertion !!!! Rappelez vous le discours de feu Chadli un certain 18 ou 19 septembre ou il disait textuellement que celui qui n’est pas content n’a qu’a partir. Alors le reste, et les commentaires acerbes ne sont que superflus.
      En Algérie, mon beau pays, aucun « dirigeant » ne se souci des problèmes de ces diplomés, leur souci ceux les « applaudisseurs  » et les gens qui pour des miettes sont prets à toutes les ignominies.

    Mohamed El Maadi
    3 août 2024 - 12 h 38 min

    Malheureusement, l’histoire se répète ! Car on n’oublie trop souvent que les étudiants ou les intellectuels, notamment pendant la guerre d’Algérie, n’ont pas fait la fine bouche pour collaborer avec le système colonial.

    À part quelqu’un unique dans leur personnalité, la majorité fut une bande de mouchards et de traîtres en puissance.

    C’est pour cette raison qu’Amirouche Allahyarhamou, et puis pour d’autres également, les a liquidés, notamment quand ceux les ont montés au maquis pour soit-disant défendre un idéal. 

    Après les avoir bousculés gentiment, Amirouche a purifié cette engeance universitaire dans son propre maquis, car les Français ont beaucoup utilisé ces étudiants en médecine ou en pharmacie pour infiltrer les rangs des maquisards algériens qui pensaient que ces Algériens venaient les soigner pour l’idéal et glorieuse révolution. Malheureusement, il n’en était rien, à part indiquer où se trouvaient les maquis de l’ALN. Ces révolutionnaires étudiants retournés furent un poignard dans le flanc de la résistance algérienne. 

    Aujourd’hui, les faits nous donnent encore raison : après que l’Algérie a parfait leur éducation, ils vont encore une fois se vendre au plus offrant et par ce biais rappeler aux Algériens leur participation funeste et antinationale à la destruction du sentiment patriotique. 

    Le gouvernement algérien a raison, car elle a dépensé de l’argent pour leur formation. D’après moi, il faudrait mettre une clause de dix ans de pratique dans un hôpital algérien pour ensuite pouvoir demander un visa.

      Benamar
      3 août 2024 - 20 h 58 min

      Il est ignominieux de dire que les étudiants algériens ont trahi leur pays durant l’époque coloniale. Au contraire, les premiers contingents de maquisards étaient constitués par des étudiants et lycéens quivont abandonné leur scolarité pour répondre à l’appel de la révolution.. Quant à la « bleuite » opération montée par les services secrets de l’armée française qui a fait croire à Amirouche que les jeunes recrues étaient des espions infiltrés, cette opération reste une des plus grandes erreurs de certains chefs de la révolution et une honte hélas que rien n’efface.

        Chelieth
        3 août 2024 - 22 h 28 min

        Ses propos m’ont presque fait vomir. Des gens qui parlent de choses dont ils ignorent tout. Et dire qu’il parle de gens qui non seulement ont sacrifié leurs etudes mais ont aussi donné leur vie pour libérer l’Algerie.

    Anonyme
    3 août 2024 - 12 h 30 min

    Bon une IST s impose à ces médecins et faut geler leurs diplômes pour les futurs harraguas ou autres qui de barrent par voie légales. Tout ces médecins algériens déserteurs pour l occident ou autres devront dorénavant rembourser ttes leurs études passées en Algérie plus une taxe pour contribuer à la solidarité nationale. Une loi sur la solidarité nationale devra être votée à l APN pour empêcher tt médecins ou cerveaux algériens de quitter le pays pour travailler dans un autre pays et pire un pays ennemis ou qui fait obstruction à l Algerie dans ces affaires internes ou externes. Ceux qui dérogent à cette nouvelle loi s expose à des sanctions financières voir pénales pour avoir prêté un serment d hypocrites . Il faudra montrer pattes blanches à l Algérie et son peuple . Idem pour tt les cerveaux pour abandon de postes . L Algerie en retour doit leur fournir des postes dans divers hôpitaux ou entreprises aux pays bien rémunérés .
    L Algérie pourrait empêcher tt retour au pays pour les plus récalcitrants ou déserteurs voir harkis de la santé ou harkis du devellopement nationale .
    Nous allons nous y pencher car il y aura plus de médecins pour soigner le peuple algérien et l Algerie nouvelle ceci ne peut plus le toléré. Une liste de tt ces médecins sera répertorié dans les services compétents et en premier lieu douanes PAF et ministère santé et intérieur . Une loi nationale dans ce sens sera proposée prochainement à l APN . Si vous voulez revoir l Algerie ou être tranquille une taxe de 10 %sur votre revenu annuel en France où occident voir pays du golf devra être versé au trésor publique algérien qui sera attribué à la solidarité nationale et rien su elle idem pour les autres cerveaux ayant obtenus leurs diplômes en Algérie ayant étudier ttes leurs vies en Algérie pour servir des pays tiers et leurs poches personnelle alors il est normal que ces personnes rembourse le gouvernement algérien qui a payé leurs scolarité jusqu’à diplôme universitaire pour partir ensuite faire ke bonheur des autres et le leur. . Cette loi algerienne de solidarité nationale et de devellopement souveraine sera prochainement votée. Tt les étudiants seront avisés et tt médecins interne et externe au pays même pour ceux ayant épousés d autres nationalités tt en exerçant devront si ils rentrent dans le territoire national algérien une taxe sur leur revenus dans les pays où ils exercent . Vois en serez avisés aussi. Nul n est censé ignorer les lois du pays dans lequel il se trouve . ‘e le remerciez surtout pas. Merci 🇩🇿❤️
    La purge doit toucher tt ke monde et bientôt d autres taxes vont naître pour d autres sujets concernant l effort et ka solidarité nationale, j y travaille faites moi confiance , on peut gagner dans tt les tableaux ou taper dans ttes les gamelles Ben oui c est comme ça et pas autrement. Si vous aimez l Algérie le cœur ne suffit plus mais on préfère les actes dorénavant, Zidane ect pareil, on t a pas vu aux jeux méditerranéens mais les jeux olympiques en espérant la place a Deschamps et jouer le sportif préféré des français, l’ Algérie pays de mon cœur, faux ! Ça mangeait pas de pain de venir faire un pti signe lors de la cérémonie de nos jeux qu on avait pas organisé depuis très longtemps. Ça aurait fait plaisir à l Algerie et son peuple mais tu n as pas voulu heurter la France et les français voir espagnol car c’est la bas avt tout que tu vis et tes enfants ne porte ton nom en Espagne et dont baptisé catholique, Zidane ce nom il le porte partout sauf en Espagne mais ça à la rigueur c est ton problème. Rien d Algerien en vérité et idem tt les déserteurs quoique vous soyez ! Taxes taxes taxes de solidarité algerienne bessif rlikom dorénavant du vous vous foulez le sol algérien, dépêchez vous députés algeriens de voter cette loi algerienne souveraine et c est comme ça et pas autrement , celui qui ne s y pliera pas ne pourra rester ou fouler le territoire national algérien, Pleurez maintenant ! 🇩🇿❤️

    A qui la faute ??
    3 août 2024 - 11 h 37 min

    Au lieu de vilipender nos cadres algériens, au lieu de les désigner de « porteurs de blouse » , il serait plus constructif de chercher à savoir pourquoi ils choisissent l’exil et de chercher à résoudre cette grave question. C’est bien beau de les monter du doigt mais est-ce qu’ils sont les premiers responsables ? La coercition, la sanction n’est pas toujours la bonne solution. Suivez mon regard.

    PS : c’est exactement les mêmes méthodes utilisées pour soi-disant ressourdre la question du marché parallèle de la devise. L’économie algérienne étant incapable d’arriver à la convertibilité du dinar alors on choisit la solution facile par des mesures coercitive, des sanctions pour obliger la diaspora à déclarer ses devises aux frontières. Je comprends qu’il y ait des contrôles et des sanctions pour les sorties de devises , mais pour les entrées c’est inexplicable alors que cela peut être profitable aux citoyens et même à l’économie nationale. En effet ces parts de devises importées ne seront pas soustraites aux réserves algériennes, elles peuvent donc être échangées sur le marché parallèle à des taux supportables pour beaucoup d’algériens qui pourront prendre des vacances dignement ou pour aller étudier à l’étranger ou pour se soigner pour de graves maladies difficilement soignables chez nous. A mon avis cette mesure ne fera qu’aggraver le taux de change de notre monnaie du fait de la diminution de l’offre de devise sur la marché noir. La sanction , même si elle est facile, n’est pas toujours la meilleure solution.

    Il faut revoir la copie
    3 août 2024 - 11 h 17 min

    Déjà pour commencer, beaucoup d’étudiants ont eu leur diplôme par la triche et la fraude il faut purger les corruptibles du système (plus facile à dire qu’a faire je le reconnais) beaucoup d’étudiants (pas tous) n’ont absolument pas le niveau pour être médecin.

    deuxièmement l’Algérie forme trop de médecins avec un trop plein dans certaine spécialité et une carence dans d’autre il faut mettre comme en France ou en Belgique un numerus clausus.

    troisièmement il faut clairement augmenter les salaires et les avantages en nature et mettre les médecins en condition optimale. Adapter la grille salariale en fonction des wilaya d’exercice, par exemple un médecin former à Alger et qui décide d’exercer à Tamanrasset il faut le rétribuer à la mesure de son courage et pourquoi pas multiplier son salaire par 10

    quatrièmement: comme je l’ai déjà dis plus haut nous formons trop de médecin et pas dans les bonnes spécialité de plus il faut revoir le système d’orientation des élèves.
    il faut également se départir de cette mentalité dans certaine famille algérienne comme quoi devenir médecins est le fin du fin  »tu seras tbib mon fils/ma fille »
    Non l’Algérie à un grand besoin d’ingénieur (et pas seulement des ingénieurs civils) ce sont eux les créateurs de richesse car ils donnent une assise industrielle à valeur ajoutée à un État.
    il faut aussi inculquer l’esprit entrepreneurial de haut niveau aux étudiants dès le secondaire.

    voilà quelques pistes que je partage tous modestement avec vous, des gens plus compétent que moi trouveront sûrement des mesures supplémentaires.

      Mohamed El Maadi
      3 août 2024 - 13 h 04 min

      Certainement le commentaire le plus lucratif qu’il soit en terme de mesure appropriée et de méthode adaptable à la société algérienne. 

      Merci monsieur pour cette contribution brillante.

      Anonyme
      3 août 2024 - 14 h 01 min

      Les usurpateurs de font grillé en France et doivent montrer leurs compétences ou une refonte de leurs compétences avec stages ou autres. Bcp de médecins ou de faux ingénieurs n ont pas fait long feu et se font débusqués ces usurpateurs ne serait ce que par jrs familles des patients , le génie français est flagrant. Les vrais diplômés et compétents d ou qu ils viennent ceux la la France où autres font tout pour les garder. Les autres ça leur a permis en un premier temps de venir dans ces pays ensuite pour le ridicule ne tue pas et sont prêt à tout pour rester en France . Le mec en Algérie il était capitaine tu le trouves entrain de faire agent sécurité au Mac Do ou à Decathlon en France et la bombe lacrymogène qui a découvert pour une première fois à cru que c’était du parfum et s en est aspergé sur lui même son visage ça c’était les premiers harraguas il y a facile 25 ans ou plus et elle était plus ou moins inexistante au bled même pour les forces anti émeutes à cette époque , un exemple parmi tant d autres..

    Sah
    3 août 2024 - 10 h 31 min

    L’esclavagisme moderne, je travaillais en hôpital public. Les médecins étrangers sont très très mal payé comparé aux médecins français. Les médecins algériens quittent femmes, maris et enfants pour venir travailler pour un peu plus que le smic. Si l’Algérie renvoyaient les salaires et augmenter le smic les gens ne chercheraient pas à venir en France, vous savez avec toute la richesse qu’il y a en Algérie, elle pourrait vivre comme le Qatar avec un smic à plus de 3000 €. L’Algérie faut qu’elle se réveille et qu’elle se débloque pour rattraper son retard et revoir tout le corps médical et offrir à la jeunesses des formations avec rémunération pour leur permettre de se lancer dans le monde du travail.
    Ouvrir des écoles d’hôtelier afin que les gens savent recevoir les touristes dans les établissements, car ces catastrophiques ayant passé un séjour à Oran. Y’a beaucoup à faire dans ce pays.

    Vert
    3 août 2024 - 7 h 51 min

    Les jugements de valeurs planqué en Occident il n y a pas plus facile
    L exil est une décision personnel.
    Qui sommes-nous pour juger les autres ??
    Et pourquoi taper sur les médecins Algériens pourquoi pas les informaticiens les ingénieurs pétroliers qui sont à Dubaï et les pilotes de lignes les architectes…
    Vous connaissez la réalité Algerienne Mr MESLOUB
    Les gens partent à cause de la médiocrité des chefs analphabètes parachutés par le système les moyens dérisoires pour travailler…
    Mr MESLOUB un gardien de parking dans un hôpital a PLUS de pouvoir qu un professeur de médecine dans le même hôpital..

      DZ
      3 août 2024 - 13 h 14 min

      le mal est plus profond que cela il ne sagit pas que d un probleme de salaire c est le mal etre il est exact que notre elite n est pas respecte rien que pendant le covid les medecins en algerie etaient insultes frappes par des patients qui se comportent comme des animaux il y a un manque de civilites parmis les algeriens oui l algerien a un comportement de sauvage a l hopital parisen cochin ou je suis un traitement j ai converse avec un interne algerien qui exerce depuis -6 ANS en france je lui ai demande la raison de son depart d algerie la reponse n etait pas une raison de salaire mais le manque de gratitude et surtout de respect et que le responsable de l hp n as rien a voir avec la profession et etait balance a ce poste par piston et quil nous meprisais apres une petition il fut maintenu a son poste voila la raison de mon exil me dit il les mauvaises habitudes perdurent en algerie donc je me suis fais ma propre opinion et je ne juge pas ce medecin tout le systeme est a revoir en algerie surtout mettre les hommes a leur place un boucher ne peut diriger un medecin voila le malaise

      Anonyme
      4 août 2024 - 1 h 54 min

      Ne dit-on pas, que l’immigration reste la faute d’un gouvernement qui n’a pas su garder ses enfants!!?
      Commençant d’abord par construire des CHU et hôpitaux dignes de ce nom, ainsi donner un cadre de travail agréable et des salaires correctes a tous les travailleurs de la santé, que nos hommes politiques et hommes publiques, donnent l’exemple et se soigner en Algérie.
      Amicalement

    zembla
    3 août 2024 - 6 h 43 min

    Quand des Franco Algériens quittent la France qui les ont formé pour exercer à l’étranger c’est normal mais quand des médecins formés en Algérie quittent le pays c’est anormal .Peut être faudrait il réfléchir pour comprendre pourquoi ces situations se produisent tant en France qu’en Algérie avant de les condamner

      Anonyme
      3 août 2024 - 9 h 37 min

      @ Zembla
      Vous avez à moitié raison.
      La médecine est un secteur tendu et sensible,les autres secteurs sont plus flexibles et ne souffrent pas autant de pénuries.
      Tout récemment (lu dans les médias), un village français avait tout préparé pour accueillir un couple de médecins algériens pour qu’ils puissent occuper un cabinet privé laissé vacant.
      Ils n’ont jamais eu leur visa!
      Les Français ont gardé leur esprit « colons » et recrutent seulement des soumis a qui ils feront barrage dans toutes perspectives d’évolutions (secteur public).
      Dans les autres secteurs,les franco algériens qui partent c’est par la cause d’horizons bouchés du fait de leur patronyme, où bien, pour cause d’ islamophobie.
      Je reviens à la médecine, déjà,les français de « souche » ont beaucoup de mal à poursuivre des études en médecine, tellement le secteur est hyper sélectif, alors les franco algériens, faut pas rêver.

      l’Algérie n’ est pas aussi discriminante pour les études en médecine que la France, envers ses propres citoyens.

        Luca
        3 août 2024 - 13 h 11 min

        Ils sont emmené à partir parce qu’ils sont hyper compétent doué et purs , … Et redha souilamas est le parfait exemple

      Anonyme
      3 août 2024 - 13 h 07 min

      Zembla qd tu parles de franco algérien ou tt simplement de doubles nationaux en France, tu oublies une chose tu parles de français en France et ça regarde la France. Là nous on te parle des algériens nationaux en Algérie donc ça regarde l Algérie. C est pas toi qui nous rabâche à chaque fois que la France fait ce qu’elle veut chez elle car elle est souveraine. Ben là c est la même pour l’ Algérie elle est souveraine chez elle . Je comprends pas pourquoi tu prends toujours de mauvais exemple , tu larkes de français en France qu il soit double ou pas ça reste des français en France et tu penses que seul les algériens sont doubles et médecins en France ? Donc pour quoi tu te rabat tjrs sur cette catégorie d algériens vivant français en France comme bcp d autres nationalités, t aime pas l Algerie et jrs algériens sinon tu aurais dit les français où tt ces doubles nationaux vivant en France et de surcroît français en France , non toi c’est tjrs l’Algérie et l algérien. Même le français de souche ne peut faire mieux que toi et tu n en es pas un vrai français de souche , le comble .ils t ont virés et rejetés de leurs sites les vrais gaulois pour venir ensuite te lâcher trd nerfs sur l Algerie et les algeriens , c’est le cas typique du harkis avec son contingent qd les soldats français lui ont montré de ttes les couleurs et ensuite se lâchaient ces nerfs sur le pauvre algérien , tu t en es rendu compte j espère que tu lui ressemble au harkis du contingent français qui le rejette le mal mène mais ne pouvant s en prendre à eux et viens ensuite se lâcher sur ces semblables mais qui ces derniers refuse tte soumission et encore pire d’un sous homme ben oui George Fresh ex maire de Montpellier qui l avait dit en pleine gueule à des harkis rassemblés , décédé depuis ce grd Monsieur français.

    Juba
    2 août 2024 - 22 h 52 min

    Pertinente analyse dont le gouvernement doit s’inspirer . Bon pour rester démocrate et etre le chantre de la libre circulation ; on ne put retenir quelqu’un contre son gré,. Mais , mais ik faut qu’il paie sa dette !! C’est à dire sa formation . VOYONS VOIR : En France, la formation d’un étudiant en médecine coûte en moyenne 20 000 euros par an. Ces études durant environ 10 ans, il faut compter près de 200 000 euros par étudiant en médecine avant que celui-ci soit diplômé.( site in diplôma santé) . Donc au cout de change de l’Euro au marché légal : cela fait 30 millions de dinars ou si vous voulez 3 milliards de centimes .. VOILA c’est simple celui veut parti doit casquer 200 000 EUROS pour avoir son diplôme . A raison de 1200 départs par an cela fera 240 millions d’EUROS que l’état va récupérer . Avec cet argent on fera appel à des CUBAINS – DES RUSSES- qui se feront un plaisir de Travailler en ALGERIE. Ceci est valable pour tous les DESERTEURS quelque soit leur formation .

      Hassan
      3 août 2024 - 6 h 27 min

      @Juba, merci pour votre excellent commentaire.
      Je suis du même avis et je pense qu’ils doivent aussi être listés afin d’éviter qu’ils reviennent occuper des postes à responsabilités.

      Anonyme
      3 août 2024 - 13 h 49 min

      @Juba
      Exactement.

        Anonyme
        3 août 2024 - 14 h 46 min

        Pistonnés en Algérie. Illégitime avec leur diplôme de médecine acheté ou acquis par complaisances…Ils n’exercent pas dans les hôpitaux algériens… Le diplôme de médecine algérien c’est la méthode que beaucoup utilisent pour partir se faire cracher à la figure par des français qui ne peuvent même plus entendre leur accent de bledard…

        Et ça vient nous dire chacun fait ce qu’il veut et ne jugeons pas…Mais on ne juge pas on se dit que ce ne sont pas mes plus méritants qui quittent l’Algérie.. Encore une hogra pour l’algérien lambda. Un faux médecin qui a coûté une blinde au trésor public pour assouvir sa quête du Graal… boire une bière sur les champs et aller en boîte de nuit le soir… Mais chuuut c’est à cause des responsables algériens…
        80 heures par mois plus des gardes à gogo pour 2500 euros…Ce sont des génies nos médecins algériens exilés malgré eux…

    Anonyme
    2 août 2024 - 22 h 44 min

    Mille mercis pour cet article ! Je suis dans le milieu diplôme français… j’ai vu des médecins algériens travailler comme des esclaves sans broncher… enchaînant des semaines à 70 heures…En Algérie ils étaient absents des hôpitaux qui les payaient grassement en plus d’avantages sociaux…En France ils vivent comme des rats et ne pipent pas un mot…Ils sont méprisés mais se comportent docilement.

    Honteux !!! Honte à ces lâches indignes ingrats…Aucun honneur. Ils viennent en rampant dans un pays qui les vomit… l’Algérie ne les mérite pas. La plupart se casse la figure mais ont obtenu leur rêve ultime : vivre en Europe.
    Leurs arguments sont des balivernes bidons pour justifier leur départ de l’Algérie qui les a formée…
    J’espère qu’ils seront définitivement RADIER en Algérie. Quand je les vois galérer en France je me dit : Che7 Yestahel

      Anonyme
      3 août 2024 - 7 h 00 min

      Merci !
      J’allais faire un commentaire équivalent, mais vous m’avez précédé !

      Je vous souhaite un bon weekend !

        Appât Du Gain
        3 août 2024 - 13 h 51 min

        @Anonyme
        Excellent commentaire.

    DZ
    2 août 2024 - 22 h 31 min

    avec tout le respect que je vous dois mr mesloub pourquoi toute cette elite quitte le pays ?? n y a til pas un probleme plus grave que pecuniere n est ce pas leur amour de la cuture europeenne et aussi identitaire ces gens sont tres souvents laics ils exilent plutot vers occident je les vois a paris pres de cochin sirotant un verre de vin rouge ils sont plus francais qu algeriens un pays sans elite est foutus meme les etudiants algeriens ne veulent pas rentrer apres leurs etudes c est quoi le probleme tout simplement les algeriens ne sont pas decolonises dans la tete c est complique a mon avis il faut leur faire signer une astreinte de cinq ans minimun en algerie dans un hopital algerien ou limiter leur formation en algerie apres le bac et pourquoi ne pas offrir aux medecins etrangers de pratiquer en algerie comme les cubains qui seraient heureux exercer en algerie je pense pas quil EST 15000 MEDECINS ALGERIENS PEUT ETRE 1200 SUR DIX MILLES MEDECINS ETRANGER EXERCANT EN FRANCE

      Anonyme
      3 août 2024 - 13 h 44 min

      @ DZ
      Bonjour ,

      Selon IRDES ( Institut de Recherche et de Documentation en Etudes de Santé ) organisme étatique Français :
      – En France, il y a près de 30.000 médecins étrangers qui exercent en France et nous parlons uniquement de médecins généralistes et de ressortissants hors UE .

      38% de ces généralistes sont Algériens , 10.5% sont Tunisiens ,autant de Marocains et 9.5% sont syriens .
      Nous ne comptons pas les médecins Algériens dont le diplôme n’est pas encore reconnu mais qui exercent comme aides soignants au mieux , stagiaires et brancardiers le plus souvent.

      Evidemment ,les binationaux algériens ne rentrent pas dans ce décompte ( ils sont Français ) mais ils sont de plus en plus nombreux dans le corps médical et en faculté de médecine sur tout l’hexagone .
      Beaucoup veulent partir de France après leurs études .Certains l’ont déjà fait .
      On les retrouve dans les pays du Golfe, au Royaume Unis et au Canada principalement .Parfois en Scandinavie ou leurs diplômes sont automatiquement reconnus et ou le niveau de vie et les salaires sont attractifs .

      Ps : Quelques clics de souris sur ton pc et tu retrouveras tout ca .

    RBOBA
    2 août 2024 - 22 h 26 min

    J’ai laissé à plusieurs reprises des commentaires sur ces Algériens et Algériennes formés par l’Ecole Algérienne et qui un fois leur diplôme obtenu, partaient à l’Etranger. En France, il existait les IPES qui étaient une sorte de concours universitaire qui permettait à celui ou celle qui le réussissaient de voir ses études entièrement prises en charge par l’Education Nationale, d’être assuré d’avoir un poste mais………. de devoir rester au minimum……….. 10 ans dans la fonction publique, faute de quoi, il ou elle devait rembourser ses études. Je ne comprends pas que le gouvernement algérien ne fasse pas de même. Que ces médecins algériens qui exercent en France soit mal payés, ils ne sont pas les seuls, c’est le cas de tous les médecins d’origine étrangère, voire roumaine (la Roumanie faisant pourtant partie de l’Union Européenne). Ils se débrouillent fort bien quand même en travaillant de mèche avec des cliniques privées alors qu’ils sont médecins hospitaliers. Il n’est pas rare en effet, qu’ils dégagent des lits d’hôpitaux en transférant « leur » malade vers des établissement privés avec lesquels ils ont des liens. en outre, ils ne sont pas si bons que cela pour la plupart et pleins de mépris pour leurs compatriotes et à l’inverse, plein d’obséquiosité pour les « Français de souche » ou autres étrangers européens. Et que dire quand le patient est…………. une patiente européenne ! Enfin il est de plus en plus fréquent qu’ils abandonnent très vite la médecine pure pour se diriger vers tout ce qui est radiographie, scanner, irm, etc… infiniment plus rémunérateurs que l’exercice de la médecine pure, très mal rémunérée en France. Aussi, personnellement, je le les plains pas.

      Anonyme
      3 août 2024 - 9 h 50 min

      Le manque de moyens est juste un alibi low cost… C’est le mode de vie européen qui les fait fantasmer.
      On est dans des profils de graves troubles identitaires et de personnalité.
      Abandonné un pays qui t’a permis d’être médecin pour venir dans un pays qui ont mis les algériens comme nationalité la plus detestée…Qui peut me l’expliquer ?
      En outre la plupart sont des pistonnés qui n’avaient pas le niveau en Algérie mais qui ont profité de ce qu’ils dénoncent… La corruption et le Népotisme.

      En France ils se comportent comme des esclaves consentants prêts à tout accepter comme conditions de travail et salaire ridicule. En Algérie ils étaient arrogants arrogants et fainéants.
      Certains finissent aide soignant ou sage femme mais ils ont un compte en euro et une carte de résidence et Ils peuvent vivre comme ils l’ont toujours voulu.
      Quand le vent tourne où que tout devient difficiles ils ont encore le culot d’accuser l’Algérie de leur sort.

      Pendant ce temps des algériennes et des algériens dignes continuent à travailler dans leur pays malgré les difficultés ( les médecins français partent massivement en Europe ou en Amérique au passage…ils laissent volontiers la niche aux canicues venus d’Algérie).

      l’Algérie doit les RADIER définitivement de tout exercice futur de la profession de médecin. Pour les futurs médecins ils doivent rembourser intégralement le coût de la formation et des avantages sociaux perçus. Jusqu’au dernier centime et ainsi qu’ils partent où bon leur semble mais sans espoir de revenir chez la mère nourricière quand ils auront tout perdu en France…

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