Israël et ses complices : silence, torture et trafic d’enfants à l’échelle mondiale
Une contribution de Khaled Boulaziz – Pendant des décennies, l’armée israélienne s’est livrée à des actes de torture et de viol sur des enfants, des femmes et des hommes, et aucune nation n’a eu le courage moral de la dénoncer. Non seulement ces pays se sont tus, mais ils sont devenus complices de ces crimes. A l’échelle internationale, Israël a été «condamné» à la manière d’une tape sur les doigts, un simulacre de justice qui n’effleure même pas l’ampleur des atrocités commises. Où sont les accusations pour crimes de guerre, pour meurtres ? Nulle part.
Selon le World Population Review, l’Amérique est le pays avec le plus haut taux de trafic humain (1). Pourquoi ? Parce que les trafiquants opèrent sous la protection de l’élite la plus riche. Une guerre d’enchères pour les plus jeunes, les plus vulnérables – garçons, filles, même nourrissons. Ces enfants sont réduits à des marchandises, leur corps transformé en terrain de chasse pour les riches prédateurs.
En Palestine, un enfant jetant une pierre sur un char de Tsahal est une cible à abattre. S’il survit, il est arrêté, torturé, puis souvent arrêté de nouveau. Chaque passage en détention creuse un enfer plus profond : tortures, humiliations, viols. Et tout le monde détourne les yeux. Pourquoi ? Les services de renseignement, les gouvernements du monde entier savent. Ils ont toujours su. Et ils n’ont Rien fait.
En Afrique, les enfants sont vendus pour survivre. Les ONG, ces faiseurs de bonnes œuvres, engloutissent des milliards de dollars, mais la pauvreté et le trafic prospèrent. Pourquoi ? Parce que la misère est un commerce lucratif, un réservoir inépuisable de chair humaine.
Alors, où sont la CIA ? Le FBI ? Le MI6 ? Les 17 agences de renseignement américaines ? Ces institutions, censées protéger, ferment les yeux. Les cartels seraient-ils plus intelligents ? Non. Ce sont des filiales déguisées, opérant sous le couvert d’intérêts gouvernementaux.
Et Israël ? Israël se cache derrière une tradition qui prétend que tout est permis pourvu que l’enfant ne soit pas juif. Des milliers d’enfants violés et détruits, un commerce si rentable qu’un seul enfant peut rapporter jusqu’à 20 000 dollars par jour. Pas de répit, pas de vacances. Juste un cycle infernal de torture et d’exploitation jusqu’à ce que le corps de l’enfant soit jugé inutile.
Les forces israéliennes, issues d’un groupe terroriste reconnu par l’ONU, jouent un double rôle : clients et fournisseurs. Ce double statut leur offre une immunité internationale. Les gouvernements craignent Israël, car les représailles sont brutales, impitoyables.
Les proies les plus faciles ? Les enfants brisés par la guerre, des orphelins livrés à eux-mêmes, invisibles aux yeux du monde. Sous l’administration Biden, plus de 50 000 enfants immigrés ont «disparu» en traversant la frontière. Des enfants avalés par un système qui prospère sur leur souffrance.
Et les gouvernements ? Ils déplorent. Ils «condamnent». Des mots vides face à l’horreur. Des lâches. Pendant ce temps, Netanyahou continue sa campagne de terreur, réduisant Gaza et la Cisjordanie en cendres, massacrant sans discrimination, éradiquant toute possibilité de survie.
Le trafic humain est une machine infernale. Les dépopulationnistes sèment la guerre pour récolter les richesses. Ils exploitent la misère humaine pour remplir leurs coffres. Nous ne pouvons plus rester silencieux. La perversité de ce système doit être dénoncée et détruite. La justice ne viendra pas de ceux qui détiennent le pouvoir, mais de ceux qui refusent d’être complices par leur silence.
K. B.
1) https://worldpopulationreview.com/country-rankings/child-trafficking-by-country
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