N’en déplaise à Kamel Daoud : la femme algérienne est libre et épanouie !

Femme algérienne
La femme algérienne n'a pas besoin de Kamel Daoud pour la défendre. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Lors d’une interview accordée récemment à un quotidien régional français, à la question du journaliste : «Comment vous êtes devenu féministe ?» Kamel Daoud a répondu : «Parce qu’à un moment, au regard de ma propre mère, je me suis demandé pourquoi elle n’a pas eu droit à une vie et à de la liberté.»

Inutile de commenter le brevet de féminisme attribué à ce faussaire de la littérature. Kamel Daoud est autant féministe qu’Adolf Hitler était philosémite. Ces deux respectifs artiste et écrivain ratés ont une seconde destinée commune : le mépris que l’humanité leur témoigne.

Quant à sa mère, Kamel Daoud feint d’oublier de rappeler qu’à sa naissance, dans les années 1940 ou 1950, sous l’occupation coloniale française, elle était privée, comme toutes les filles et femmes algériennes de cette époque, de vie sociale et de scolarité par le colonialisme français. Elle était également privée de liberté civile et politique car son pays était occupé par la France coloniale génocidaire.

En revanche, quand elle l’a mis au monde en 1970 à Mostaganem, sa maman vivait dans un pays indépendant et libre, où toutes les filles étaient déjà scolarisées. Et, quarante ans après, majoritairement étudiantes dans les universités, salariées ou cadres dans les entreprises et les administrations. Il est utile de rappeler ces vérités sociologiques à Kamel Daoud.

Sur le plan scolaire, pour l’année universitaire en cours, 2024-2025, le nombre global d’étudiants algériens s’élève à 1 812 656, et la majorité d’entre eux sont des femmes. Ces deux dernières décennies, le nombre d’étudiants, en majorité des femmes, a été multiplié par plus de 4, passant de 425 000 en 1999 à plus de 1,8 million aujourd’hui. Depuis le début du siècle, on assiste à la féminisation de l’Université. En effet, la part des jeunes femmes a atteint aujourd’hui les deux tiers des effectifs étudiants, soit 1,2 million d’étudiantes.

Donc, pour un pays où la femme, selon Kamel Daoud, serait privée de «droit à une vie et à de la liberté», l’Algérie compte actuellement 1,2 million d’étudiantes dans l’enseignement supérieur. Ce droit à l’instruction, pilier de la liberté et vecteur de l’émancipation, n’a pas été accordé aux femmes algériennes par la France coloniale, mais l’Algérie indépendante.

Et le succès de ces brillantes étudiantes aux examens ne se dément pas, puisque leur taux de diplomation est exceptionnellement prodigieux. En tout cas, cette population estudiantine porte en elle des transformations sociales profondes que seule une Algérie indépendante et libre a su concrétiser en moins de cinquante ans d’indépendance.

Dans cette nation algérienne jeune au double sens du terme, une part importante de la jeunesse est inscrite dans l’enseignement supérieur. En effet, en moins d’une décennie, le taux d’étudiants est passé de 31 à 43%, rattrapant puis dépassant celui de la moyenne mondiale (de 32 à 37%).

Aujourd’hui, pour accueillir ces 1,2 million d’étudiantes, ces futures diplômées, l’Algérie aligne 54 universités, 40 écoles supérieures, 13 Ecoles normales supérieures des enseignants (ENS) et 13 centres universitaires, outre l’Université de la formation continue (UFC).

De surcroît, en Algérie, l’Université est libre et gratuite, subventionnée et décentralisée pour permettre à chaque bachelier de poursuivre le cursus universitaire de son choix. Notamment pour les étudiantes qui, n’en déplaise à l’imposteur Daoud, ont le droit à une «vie scolaire épanouie», c’est-à-dire le droit de s’instruire sans restriction, ni limite. Mais également à une vie sociale, autrement dit la liberté d’exercer l’activité professionnelle de leur choix.

Décidément, Daoud est en délicatesse avec la vérité. Il a fait du mensonge sa conception de la vie. De la contrevérité, son oxygène. Il s’abreuve aux sources les plus fétides de la duplicité, de la fausseté, de l’imposture, de la fabulation. «Pour un seul mensonge on perd tout ce qu’on a de bon renom», a écrit Baltasar Gracian y Morales. Kamel Daoud aura tellement accumulé les mensonges qu’il aura perdu, et sa dignité et son identité : on ne sait plus s’il est algérien, français, marocain, israélien. En tout cas, c’est un véritable caméléon : il change de conduite et d’opinion au gré de ses intérêts. Islamiste, quand ses frères d’armes étaient influents et agissants en Algérie ; moderniste, quand la France l’a enrôlé à son service ; sioniste, depuis qu’il a intégré le microcosme germanopratin et le gratin littéraire philosémite.

Pour revenir à l’Algérie, sur le plan social, la population active occupée est estimée à plus de 11 millions de salariés. Depuis l’indépendance de l’Algérie, le taux d’activité a connu une croissance importante. Ce taux a été multiplié par deux, passant de 21% en 1966 à 43% aujourd’hui. Quasiment 2 millions de salariés au sein de la population active sont des femmes. Elles sont en majorité dans le secteur public (60%). La relative faiblesse des femmes dans le monde du travail s’explique par l’extrême jeunesse de la population algérienne : plus de 60% des habitants sont âgés de moins de 30 ans. Ne pas perdre de vue qu’1,2 million d’Algériennes sont étudiantes. Dans une décennie, les femmes représenteront plus de la moitié des salariés.

Dans une autre interview, Kamel Daoud a déclaré : «Je juge les nations au sort qu’elles réservent aux femmes.» Pour rappel, son nouveau pays, la France, quoique la bourgeoisie a accédé aux règnes du pouvoir au lendemain de la Révolution en 1789, aura réservé aux femmes un funeste sort social. L’Etat français a privé les femmes françaises de leurs droits civil et politique durant presque deux siècles.

Napoléon Ier, premier chef d’Etat de la France moderne, est le principal promoteur de l’avilissement de la femme française. Au lendemain de son coup d’Etat du 18 brumaire, Napoléon instaure une dictature sanguinaire. Il institue un Etat autoritaire caractérisé par une surveillance policière de la population, opérée sous l’égide de Fouché, ministre de la Police. Plus tard, en 1804, une fois sacré Empereur, Napoléon Bonaparte codifie la soumission de la femme, incarnée par la loi sur l’incapacité juridique, qui instaure le statut de mineure éternelle de la femme française. En effet, cette loi, qui demeura en vigueur jusqu’à 1938, plaçait la femme française sous tutelle maritale, la privant de sa capacité juridique au même titre que les enfants.

Et la France de se gausser, de nos jours, des pays musulmans, de s’offusquer du sort des femmes algériennes. Il y a 80 ans, les femmes françaises subissaient encore la domination masculine, l’infériorisation juridique. Jusqu’à la fin des années 1930, la femme française n’avait le droit ni de travailler ni d’ouvrir un compte bancaire, sans l’autorisation de son mari.

Ainsi, la France, encensée par Kamel Daoud, est demeurée un pays misogyne qui frappait la femme française d’une incapacité juridique totale, c’est-à-dire qu’elle était placée sous la tutelle de son mari jusqu’à sa mort. D’abord, elle était sous la tutelle de son père, puis, une fois mariée, sous celle de son mari. C’était une éternelle mineure. Mais cette sinistre phase de l’histoire misogyne de la France est occultée par les compatriotes de Kamel Daoud, les élites intellectuelles et culturelles françaises. Elle est recouverte d’un voile de mystification démocratique.

Pour rappel, le droit de vote n’a été accordé aux femmes françaises qu’en 1944. Et il a fallu attendre Mai 1968 pour assister à l’émancipation de la femme française. Autrement dit, entre 1789 et les années 1970, il s’est écoulé presque deux siècles.

L’Algérie, elle, s’est propulsée en une nation moderne en moins de 50 ans. Elle aura permis à des millions de femmes algériennes d’investir massivement les universités, décrochant à l’issue de leurs longues études des diplômes et des qualifications exceptionnelles, ces sésames qui leur ouvrent, chaque année, des perspectives professionnelles, gages de leur insertion sociale, émancipation personnelle, liberté individuelle.

Par son instruction scolaire et insertion professionnelle, la femme algérienne est devenue une femme libre et indépendante, n’en déplaise au contempteur Kamel Daoud, ancien islamiste, condamné par le tribunal d’Oran à une peine de prison et à une amende pour violences conjugales avec usage d’une arme prohibée sur son ex-épouse Nadjet.

On remarquera que Kamel Daoud ne violente, dénigre et trahit (Saada Arbane) que les femmes algériennes. C’est son côté tout à la fois islamiste, français, marocain et israélien colonialiste qu’il dévoile par ses agressions contre le «sexe faible». A travers les femmes algériennes qu’ils maltraitent, il s’en prend au vrai à tous les Algériens. Il se venge sur les femmes d’Algérie car il n’a pas le courage, faute de virilité, d’affronter les hommes algériens. Faute de pouvoir se mesurer aux hommes, il mène la guerre contre la femme algérienne. Tout comme il mène sa guerre de proxy médiatique contre la jeune nation algérienne.

K. M.

Comment (17)

    LEON
    21 novembre 2024 - 15 h 50 min

    Sans nouvelles de Boualem Sensal depuis son arrivée à l’aéroport d’Alger. Où est-il ?

      Troll Makhnazi FRANCHOUILLARDE de PACOTILLE
      21 novembre 2024 - 21 h 52 min

      Tu pleures pour ton compatriote makhnazi Sang-Sale il n’avait qu’à aller chez lui à bousbirland pour le tapis « rouge » ….

      Lahouaria
      22 novembre 2024 - 12 h 14 min

      Boualem sansal a porté des accusations graves
      il a livré l’Algérie à la vindicte internationale en affirmant sur le pouvoir algérien soutient et finance le Hamas mais que le pourvoir algériens exporte son terrorisme en France, en passant les dealers avec des islamistes terroristes algériens, etc..

      Cet homme Bizarre qui a débarqué récemment, années 2000 en Allemagne parce que la France a refusé son statut de réfugié politique puisqu’il a eu le privilège d’avoir occupé des postes des des ministères algériens, ce larbin des sionistes impérialistes grands faiseurs de représailles envers les l’Algérie insulte à tout-va l’islam et se moque des algériens de France surtout les traitant de racaille.
      Maintenant l’état français lui a permis d’obtenir la nationalité française.

      Lire Marianne a télécharger en pdf …

      Le 21 novembre 2024, le magazine Marianne révèle qu’arrivé samedi 16 novembre 2024 à Alger, Boualem Sansal a été arrêté par la police algérienne19. Boualem Sansal est mis en garde à vue. Il risque des peines de prison pour « atteinte à l’unité nationale », une procédure pénale étant ouverte contre lui. Celle-ci serait liée à de récentes déclarations faites au média Frontières : « Quand la France a colonisé l’Algérie, toute la partie ouest de l’Algérie faisait partie du Maroc : Tlemcem, Oran et même jusqu’à Mascara. Toute cette région faisait partie du royaume.

      C’était dans un interview sur la presse
      En plus d’être un agent double, Maroco-allemand-sioniste

      LEON
      22 novembre 2024 - 14 h 56 min

      Sang-sale que vous mentionnez dénote votre rejet des autres sans aucune raison !

      DZ story
      23 novembre 2024 - 11 h 54 min

      On va le castrer ton macaque.

    Hannah
    21 novembre 2024 - 13 h 32 min

    Contrairement aux idées reçues, la France est, parmi les pays occidentaux, le pays qui est loin de représenter un symbole en matière d’émancipation et de droits des femmes.

    La France est l’un des derniers pays d’Europe occidentale à accorder le droit de vote aux femmes en 1944, juste avant l’Italie (1945) et la Grèce (1952), mais bien après l’Espagne (1931), le Portugal (1936) et loin de l’Allemagne (1918), le Canada (1918), les Etats-Unis (1920) et plus loin du Danemark (1915), la Norvège (1913) et encore plus loin de la Finlande (1906).

    De plus, si la France a accordé le droit de vote à ses ressortissantes en 1944, ce n’est qu’en 1956 qu’une loi-cadre étend ce droit aux femmes musulmanes en Algérie, alors sous administration coloniale. La nouvelle République algérienne accordera le droit de vite aux Algériennes dès l’indépendance du pays en 1962.

    Et ce n’est pas seulement en matière de droit de vite que la France est loin d’être un parangon d’émancipation et d’égalité des femmes.

    Rappelons ainsi que jusqu’en 1942, l’avortement était considéré comme un « crime contre la sûreté de l’État » et était puni de mort.

    S’agissant de l’égalité entre hommes-femmes, rappelons qu’elle ne fut garantie que sous De Gaulle, avec la Constitution de 1958 instaurant la Vème République.

    Rappelons aussi ces faits qui battent en brèche cette mythologie de la -France, terre de l’égalité hommes-femmes, de l’émancipation de la femme et du féminisme.

    Jusqu’en 1965, les françaises étaient considérées comme des mineures et pouvaient être licenciées de leur emploi si elles étaient enceintes. Ce n’est que par une loi votée au parlement français en 1965 que les femmes mariées furent autorisées à exercer une activité, à ouvrir un compte bancaire et à signer des chèques sans l’autorisation de leur mari.

    Ce n’est par ailleurs qu’au début des années 1980 que fut interdite toute discrimination sexuelle à l’embauche et que le principe d’égalité d’accès aux emplois publics et l’égalité professionnelle furent consacrées.

    Et, enfin, ce n’est qu’en 1999 que la constitution fut révisée pour y l’égalité d’accès aux mandats électoraux.

    Alors, prendre ériger la France comme idéal, comme le font allègrement certaines personnes pour dénoncer la situation des femmes et du sort qui leur est fait dans certains pays du Sud global, dont l’Algérie (où bien sûr beaucoup reste à faire en dépit des développements remarquables enregistrés), relève non seulement de l’ignorance crasse mais aussi d’un état d’esprit propre aux supplétifs idéologiques.

      Anatole France
      22 novembre 2024 - 23 h 44 min

      Ton proctologue peut te dire où est Respire le Sale qui est raccord avec ton rejet des autres, ton rejet et ton mépris de l’Humanité. Il n’y a qu’à voir comment Lafrance se comporte en territoire occupé Kanak.

        Anatole France
        24 novembre 2024 - 0 h 51 min

        C’est à destination de LÉON.

    Assia
    20 novembre 2024 - 22 h 36 min

    Il rêve d’échanger sa aicha par jacqueline et d’aider éric à échanger sa sabine pour mémouna .
    Il me rappelle le dalton hadad voulant nous refourguer au chinois le bouffon daoud.

    Science tech
    20 novembre 2024 - 20 h 52 min

    Au demeurant il n’existe pas de fiction aujourd’hui. Tout à déjà été visité et revisité . Il est impossible de créer une fiction dans le sens que nos cerveaux une fois adulte ne peuvent créer que des événements qu’il à vu ou entendu auparavant.

    Bou-vilène
    20 novembre 2024 - 20 h 45 min

    Excellent article ou daoud joue effectivement sur plusieurs tableaux.
    Je réitère que ce qui à tué kamel daoud et certainement dans la vingtaine est son incapacité à pêcho de la meuf comme ils disent en occident mais surtout confondre fille de joie et pornographie Cette incapacité chronique à susciter le désir l’ont amené à cette haine et pour compenser cette handicap. Dans l’esprit sadien du 19ème siècle , daoud sur sa route trahit tous le monde y compris sa mère pour parvenir à ses fins., sa stupide femme au passage.
    Le drame par l’absurde est que daoud croit obstinément avoir décroché le gros lot qui n’est jamais qu’un prix en toc. Il est à l’image d’un gars d’une banlieue qui s’achete une berline puissante pour exister mais surtout compenser comme je le dis plus haut leurs petits attributs.

    Soutien à la victime des Daoud: Tu n'es pas seule. Nous sommes avec toi
    20 novembre 2024 - 15 h 19 min

    Pour faire court, il suffit de comparer sa mère et sa femme.

    Sa femme née sous l’Algérie indépendante est psychiatrique et grâce à l’Algérie car si elle était née en France elle serait femme de ménage.

    Et sa mère née sous l’Algérie occupée a été privé d’instruction et de droits!

    Pas besoin de disserter longtemps: on compare le destin de ces deux femmes algériennes et on ne peut que constater la réalité.

    Soutien total à la victime du couple cupide que forme les Daoud…

    Nous femmes du monde, nous sommes avec toi car nous savons le prix qui a été le tien pour la liberté et nous connaissons le mépris du colonisateur et ces réflexes gallimardiens.

    Stop aux réflexes patriarcats et colonialistes de Gallimard et à ces propos méprisants

      linadz
      21 novembre 2024 - 0 h 46 min

      tout est dit ! l’ingratitude et la jalousie du bousbirien naturalisé par malheur ressort, fayot et larbin a bousbir et en france mais ennemi de l’algérie
      la présence de tout ses bousbiriens est une malediction

    Salim Samai
    20 novembre 2024 - 11 h 28 min

    Les Moralistes en CONTINU des « Droits des Femmes » sont les 1ers ENNEMIS des FEMMES, HOMMES, ENFANTS, Dieu et la VERITE! Les Moralistes de l´ »Àntisemitisme » sont PIRES!

    Car les 2 sont des MENTEURS et les ROIS de la FOURBERIE! Ils dissertent de ces « FAUX DEBATS » pour CRÈER de « Faux Ennemis-Moulins Quichotiens », DISTRAIRE & EVITER les VRAIS DEBATS & ENNEMIS!

    Alilo
    20 novembre 2024 - 11 h 28 min

    Chapeau Khider Mesloub , tu l’as dénudé.
    Il ne faut pas le lâcher et lui prouver ses contradictions comme l’a fait le frère Rafaa.
    C’est un parvenu qui répond au doigt et à l’oeil de son maître bhl.
    Bagra chafett romi.

    Anonyme
    20 novembre 2024 - 9 h 43 min

    a savoir que pour cet individu dénigré c est son fond de commerce et les médias lui font de la pub ,,,vaut mieux l oublier ,,il rappel un certain charli hebdo ,,,,,vous ,voyez???

    Que fait Kamel Daoud ….Le Défenseur des Femmes
    20 novembre 2024 - 9 h 05 min

    Sur les droits des FEMMES
    , on aimerait Entendre Kamel Daoud sur l’Affaire dite des Viols de MAZAN ..

    Que pense cet “ESPRIT ” attaché à la Liberté des FEMMES
    Que pense-t-il d’une Société décrite par la Victime Elle-même comme , je cite :
    « …une société machiste et patriarcale, qui banalise le viol, …”,
    .
    Le Point ne lui a pas Commandé un ARTICLE comme on l’a entendu sur la Pseudo-Affaire de Cologne.??
    .

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