2024 : la fin de l’immonde Boualem Sansal

Sansal Israël
Boualem Sansal devant le Mur des lamentations en Israël. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Cet article prémonitoire, je l’ai rédigé au printemps dernier, début mai. La vie intellectuelle de l’immonde Boualem Sansal finit comme elle a commencé : de façon fulgurante et foudroyante. Cependant, cette déjection de la littérature de commande termine sa carrière de mercenaire romanesque dans l’abjection.

Sa stature littéraire, longtemps médiatiquement bénie, est dorénavant moralement honnie. Du moins dans les pays du Sud et en Algérie. Elle a débuté glorieusement en pleine décennie noire durant laquelle sévissait en Algérie le terrorisme individuel islamiste. Elle s’achève lamentablement à la faveur du déclenchement de la guerre exterminatrice menée par l’Etat terroriste d’Israël contre les populations civiles palestiniennes de Gaza.

Si, à l’époque de la décennie noire, Boualem Sansal dénonçait vigoureusement les terroristes islamistes ; aujourd’hui, à l’ère de la guerre génocidaire menée par Israël contre les Palestiniens, il soutient inconditionnellement les terroristes de Tsahal.

Une chose est certaine, sa carrière littéraire, il la doit à son obsession antimusulmane, à sa haine pathologique de l’islam, qui auront inspiré sa nauséabonde œuvre bâtie sur la même et unique thématique islamophobe.

En quelques mois, au début de notre siècle, cet ancien fonctionnaire d’un régime dictatorial fondé sur le parti unique s’est métamorphosé en factionnaire littéraire de l’Occident militariste basé sur l’idéologie sioniste inique. Ce pseudo-pourfendeur de l’islamisme artisanal, dont il a fait son fonds de commère et de commerce, s’est mué en défenseur inconditionnel du sionisme industriel génocidaire.

Islamisme artisanal car, outre le fait d’être une fabrication artisanale occidentale, il aura été exploité par de vulgaires boutiquiers amateurs, tout juste capables de mener des actions terroristes individuelles. Contrairement au sionisme industriel mondialisé, conçu scientifiquement dans les laboratoires des chancelleries occidentales et vendu et exporté par toutes les institutions internationales hégémoniques, par ailleurs exécuté militairement par des soldats professionnels permanents, formés par des académies militaires israéliennes pour mener des guerres meurtrières, perpétrer des massacres de masse. Daech est un enfant de chœur comparé à Tsahal.

L’immonde Boualem Sansal aura été le VRP du sionisme. Des années durant, en mercenaire intellectuel stipendié, il aura délibérément focalisé l’attention publique internationale sur l’islamisme, érigé en principal danger universel menaçant l’humanité, pour mieux occulter le péril mondial du sionisme impérialiste et génocidaire. Pour mieux exonérer le capitalisme pourvoyeur de famines et de guerres. Avec le plumitif Sansal, l’ennemi à combattre et abattre n’est plus le capitalisme, l’impérialisme et le sionisme, mais l’islamisme, pourtant enfant bâtard engendré par ces puissances dominantes.

On se souvient que le mercenaire littéraire Boualem Sansal, voulant pasticher et égaler Aldous Huxley et George Orwell, avait écrit un livre d’anticipation dans lequel, tel un marabout maboul possédé par le démon de l’anti-islamisme, ce cache-sexe de la haine de l’islam et de la stigmatisation et de la criminalisation des musulmans, prophétisait l’instauration d’un empire mondialisé religieux. Un livre intitulé 2084 : la fin du monde.

Cet ouvrage se présente comme une dystopie campant un monde totalitaire gouverné par le fondamentalisme religieux. Un réquisitoire contre la religion dont on devine qu’il s’agit de l’islam et le Coran, baptisé Gkabul dans le roman.

Ce livre avait la prétention de traiter du totalitarisme orwellien version islamiste. Sous l’empire de son imagination débridée et de l’emprise de ses commanditaires sionistes, Boualem Sansal avait inventé un empire, l’Abistan (qui constitue au vrai l’humanité entière), dominé par le Grand Commandeur, un Commandeur entouré d’agents de l’Appareil capables d’épier les moindres pensées en s’insinuant dans les crânes «grâce à un appareil télépathique».

N’est-ce pas déjà la réalité de l’empire d’Israël qui surveille et contrôle les moindres pensées de millions de citoyens et de personnalités culturelles et politiques internationales grâce à ses logiciels espions ? Le monde totalitaire, fasciste et religieux est déjà existant en Israël depuis plusieurs décennies. Mais Boualem Sansal préfère détourner son regard de cet empire du mal israélien par égard pour le sionisme. Et surtout pour égarer le lecteur.

Par son roman 2084, un essai camouflé en roman, de surcroît, selon un critique, «maladroit et ennuyeux à lire, désincarné et mal construit», Boualem Sansal prétendait délivrer un message sur le danger de l’intégrisme religieux. Cependant, on comprend très vite que c’est l’islamisme (terme euphémistique pour désigner l’islam) qui est pointé du doigt.

Ce roman d’anticipation décrit un monde phagocyté par la religion totalitaire qui contrôle la pensée de tous les habitants, lynche et condamne la moindre dissidence.

Dans son roman, Sansal dénonce le fanatisme, le sectarisme, la radicalisation, l’hypocrisie de l’idéologie religieuse qui, selon l’auteur, ne sert qu’à asservir et contrôler les populations, à garantir et pérenniser les privilèges des élites. Or, en matière de fanatisme, de sectarisme, de radicalisation, d’hypocrisie religieuse, d’instrumentalisation de la religion à des fins politiques et victimaires, de colonisation, de pogrom et génocide, Israël concentre toutes ces abominations. Mais Sansal élude ce pays théocratique et génocidaire pour focaliser l’attention du lecteur uniquement sur les pays musulmans. L’abomination est ontologiquement musulmane. Jamais sioniste. Jamais judaïque. L’idiot idolâtre Boualem Sansal ne va pas profaner le Veau d’or qui lui assure son succès littéraire et garnit ses multiples comptes bancaires.

Dans cet empire d’Abistan, il n’est question que de guerres, de frontières floues ou inexistantes. Ne compte que la religion. N’est-ce pas la réalité contemporaine vivante d’Israël, aux frontières sempiternellement, violemment et illégalement élargies, à l’existence jalonnée de guerres permanentes, régie par la religion tout à la fois laïque (sionisme belliciste) et abrahamique (judaïsme fanatique) ? (La récente déclaration de Boualem Sansal dans un média français d’extrême droite, Frontière, soutenant qu’une partie de l’Algérie, notamment les villes de l’ouest de l’Algérie, comme Tlemcen, Oran et Mascara, était rattachée au Maroc avant l’indépendance, reprenant à son compte les thèses marocaines expansionnistes du parti Al Istiqlal, s’inscrit dans cet logique sioniste irrédentiste et impérialiste).

Le mercenaire littéraire sioniste Boualem Sansal nous invente un virtuel empire totalitaire d’Abistan (qu’on devine islamique) pour mieux occulter l’existence de ce réel empire hic et nunc, Israël.

Par ailleurs, le roman 2084, commandité par ses parrains, incite les lecteurs (le monde entier) à se défaire de toutes leurs conceptions jugées archaïques, notamment les notions de peuple, d’identité, de communauté, de frontière, au moment où le pays de cœur de Boualem Sansal, Israël, les érige en principes cardinaux, en fondamentaux sacrés.

L’imposture intellectuelle de Boualem Sansal est sans limite. Son livre dénonce avec virulence la fantasmagorique islamisation du monde occidental au moment où ce monde subit une sionisation radicale, est soumis au totalitarisme sioniste.

Le roman 2084 est l’histoire d’une religion qui dominerait la vie des hommes. Cette religion totalitaire n’existe-t-elle pas déjà dans le monde occidental ? N’est-ce pas le sionisme, cette religion laïque, qui domine de nos jours toutes les institutions, conditionne tous les esprits du monde occidental ? «La religion peut se bâtir sur le contraire de la vérité et devenir de ce fait la gardienne acharnée du mensonge originel», écrit Sansal dans son livre. N’est-ce pas la définition du sionisme qui s’est bâti sur la mythologie biblique et ce perpétue par le martyr des Palestiniens ? Quelque part dans son livre 2084, Sansal note : «Le plus grand savoir du monde plie devant le grain de poussière qui enraye la pensée.» La plus grande civilisation capitaliste occidentale plie l’échine devant le grain de folie sioniste qui détraque toute sa machine gouvernementale. Et de cela, Sansal n’en parle jamais. Normal, son grain de cerveau s’est plié devant le sionisme.

Tout porte à croire que le dhimmi d’Israël (1), Sansal, est chargé, depuis le début de sa carrière de mercenaire littéraire d’une mission de dévoiement politique par ses commanditaires sionistes.

K. M.

1) Dhimmi : sujet non-musulman d’un Etat sous gouvernance musulmane. Ici, au sens figuré.

Comment (8)

    ATTENTION DE TOMBER DANS LE PIEGE DE MACRON, DU MAROC ET DES SIONISTES
    24 novembre 2024 - 14 h 16 min

    LA JUSTICE ALGÉRIENNE DEVRA LE JUGER RAPIDEMENT POUR LUI ENLEVER JUSTE LA NATIONALITÉ ALGÉRIENNE PUISQUE IL A LA NATIONALITÉ FRANÇAISE, ET L’EXPULSER IMMÉDIATEMENT VERS SON PAYS LA FRANCE. SA PRÉSENCE EN ALGÉRIE DÉRANGE TOUS NOS CHOUHADAS QUI BOUILLENT DANS LEURS TOMBES. VITE QU’IL DÉGAGE D’ALGÉRIE.
    LA JUSTICE DEVRAIT AUSSI CONDAMNER ABDOU SEMMAR POUR DIFFAMATION TOUCHANT LA SÉCURITÉ NATIONALE, PAR CONTUMACE ET LUI DÉCHOIR LUI AUSSI LA NATIONALITÉ ALGÉRIENNE.
    CEUX QUI PIÉTINENT ET INSULTENT L’ALGÉRIE EN S’ASSOCIANT AVEC LES PIRES ENNEMIS DE L’ALGÉRIE, RELÈVENT DE LA GRANDE TRAHISON.

    Mohamed El Maadi
    24 novembre 2024 - 13 h 19 min

    Boualem Sansal, cet écrivain controversé, traîne derrière lui une réputation sulfureuse et, pour certains, usurpée. Son roman « 2084 », qui se veut une dystopie orwellienne, n’est pas exempt de critiques acerbes, notamment sur l’authenticité de sa paternité littéraire. Des voix s’élèvent pour questionner si cet ouvrage est réellement issu de la plume de Sansal ou s’il s’agit plutôt d’une œuvre bâtie sur le plagiat et la manipulation intellectuelle.

    L’accusation de plagiat n’est pas à prendre à la légère, surtout lorsqu’elle concerne un roman aussi ambitieux que « 2084 ». L’ombre de George Orwell plane lourdement sur ce livre, à tel point que certains se demandent si Sansal n’a pas simplement pris les idées d’Orwell, les a transposées dans un contexte islamophobe, et s’est contenté de les revendre sous un nouvel emballage. La critique ne se contente pas de souligner la similitude des thèmes – totalitarisme, surveillance, contrôle des pensées – mais va jusqu’à questionner l’originalité de son traitement, jugé par certains comme une pâle imitation plutôt qu’une création originale.

    Ce n’est pas la première fois que Sansal est accusé de pêcher par manque de créativité. Sa tendance à s’attaquer systématiquement à l’islam et à le présenter comme le mal ultime est perçue par de nombreux critiques comme une stratégie de vente plutôt qu’une véritable recherche littéraire. En reprenant des idées déjà explorées par d’autres auteurs, il semble que Sansal s’assure de rester dans les bonnes grâces de ses soutiens occidentaux, avides de récits qui confortent leurs préjugés.

    Mais ce qui est peut-être le plus dérangeant, c’est l’impression que Sansal, loin de contribuer à un débat intellectuel riche, se contente de recycler des tropes éculés, insufflant à peine de nouveauté dans ses récits. Cette démarche, plus commerciale qu’artistique, soulève des questions sur sa légitimité en tant qu’écrivain engagé. Peut-on vraiment qualifier de courageux un auteur qui choisit la facilité en empruntant les chemins déjà battus par d’autres, tout en ignorant délibérément les complexités du monde qu’il prétend décrire ?

    Dans ce contexte, « 2084 » apparaît moins comme une œuvre de génie littéraire que comme un produit de consommation, habilement marketé pour séduire un public précis. Une œuvre qui, au lieu de défier les conventions et d’apporter une vision nouvelle, se contente de conforter les certitudes existantes. En fin de compte, la question persiste : Boualem Sansal est-il un véritable créateur ou simplement un adroit plagiaire, habile dans l’art de réemballer les idées des autres pour son propre profit ?

    Quel père serait fier d’avoir un rejeton comme cela ? Et quelle mère ne regretterait pas d’avoir nourri en son sein un alien de la pire espèce ? Ces questions résonnent douloureusement pour ceux qui ont combattu pour l’Algérie, voyant dans Sansal un symbole de reniement de tout ce pour quoi ils se sont battus.

    Mon père, en me racontant son parcours et son militantisme durant la guerre d’Algérie, évoquait souvent ces récalcitrants qui refusaient de payer l’impôt révolutionnaire. Ces personnes, qui faisaient passer leurs intérêts individuels avant la cause collective, suscitaient en lui un mépris profond. Il avait pour eux cette phrase cinglante : « Tu payes ou on te mate. » Cette fermeté reflétait une conviction que le sacrifice personnel était nécessaire pour le bien commun, une notion que Sansal semble avoir complètement égarée dans sa quête de reconnaissance personnelle.

    La phrase prémonitoire de Lakhdar Ben Tobbal, écrite en 1956, fait écho avec une acuité particulière aujourd’hui : « Si nous ne traitons pas ce peuple avec énergie, nous en payerons les conséquences. » Elle résonne comme un avertissement intemporel contre ceux qui, comme Sansal, choisissent de tourner le dos à l’histoire et aux sacrifices de leurs ancêtres. En refusant de reconnaître l’importance de ces luttes, il se place en marge de cette mémoire collective, se contentant de servir des intérêts étrangers sous couvert de critique intellectuelle.

    Sansal, au lieu de s’engager dans un dialogue constructif et de contribuer à la réconciliation et à la compréhension mutuelle, préfère s’aligner sur des positions qui divisent et blessent. Cela soulève une question cruciale : à quel prix est-il prêt à vendre son héritage ? En se détournant de l’histoire et de la lutte de son propre peuple, il ne trahit pas seulement ses racines, mais il se condamne également à être perçu comme un étranger dans sa propre culture.

      Anonyme
      24 novembre 2024 - 15 h 27 min

      Vous écrivez  » en se détournant de l’histoire et de la lutte de son propre peuple, il ne trahit pas seulement ses racines, mais il se condamne ….. »

      D’une part, Sansal n’a jamais été de NOUS. Et d’autre part, il semble que vous avez oublié que la famille dans laquelle il est né, était plutôt ancrée dans l’esprit de « l’Algérie francaise ». Il agit donc dans la continuité de la trahison de ses parents.

    HANNIBAL
    24 novembre 2024 - 12 h 53 min

    L’idiot idolâtre Boualem Sansal ne va pas profaner le Veau d’or qui lui a donné un semblant de lettres de noblesse , une insulte a l’Algérie en se rendant au mur des inventeurs de messie qu’on se Lamente pas
    pour lui et sa littérature , faut le mettre dans la grotte du père Foucault , et lui couper sa langue
    de serpent qui agit pour des interets occultes, ses maitres aboient et nous on récolte une merde puante
    je dirais que c’est une provoca$ion tous les prestitués sont monté au créneau , quand aux gérémiades
    surtout venant de jack langue le pédophile on voit que sang-sale fréquentait la crème ! beurk !

      Anonyme
      25 novembre 2024 - 7 h 59 min

      Vous avez complètement raison. Vous venez d’expliquer le personnage Sansal dont les gens n’ont pas vus. Il a baigné dans le milieu « Algérie Française ». Il ne peut se comporter que comme tel ou plutôt comme Harki de la pire espèce.

    Abou Stroff
    24 novembre 2024 - 7 h 30 min

    « Avec le plumitif Sansal, l’ennemi à combattre et abattre n’est plus le capitalisme, l’impérialisme et le sionisme, mais l’islamisme, pourtant enfant bâtard engendré par ces puissances dominantes. » avance K. M.

    en effet, je ne cesse de répéter que l’impérialisme, en tant qu’expansion des rapport de production capitalistes à l’échelle mondiale, le sionisme, en tant qu’idéologie coloniale au service du Grand Capital et l’islamisme en tant qu’idéologie de couches archaïques, compradores ont des intérêts convergents, pour ne pas dire identiques.

    en temes crus, je pense qu’il est tout à fait illusoire de combattre l’un sans combattre l’autre, d’où le fourvoiement de sansal qui attaque l’un (l’islamisme) et glorifie l’autre (le sionisme) alors que les deux idéologies sont, objectivement et subjectivement, les « enfants batards » du capitalisme en tant que système*.

    * n’étant pas un féru de « littérature », je ne puis me prononcer sur la valeur des écrits sansal.
    par contre, en glorifiant le sionisme, sansal devient un ennemi des peuples en lutte contre cette idéologie et sa matérialisation (i. e. l’entité sioniste) et qu’à ce titre, il devient un ennemi à neutraliser.

    wa el fahem yefhem.

    Lahouaria
    24 novembre 2024 - 4 h 43 min

    Quand j’étais bébé mes parents sont pas par Toulouse Espagne Valencia et Maroc ensuite l’Algérie en 3 jours en tout, arrivé en Algérie dans la wilaya de Tlemcen la voiture de papa a été parquée dans un Parking pendant 4 heures. car le président Houari Boumédiene inaugurait une Statue de l’Emir Abdelkader du traité de Oued Tafna. Ma mère m’a dit que le président est venu vous embrasser tous et a exigé qu’on apporte a manger et tu lait pour les biberons, notre voiture était une 404 Bâchées ww. toute neuve, papa l’avait acheté pour la vendre et construire sa maison.
    Mes grandes sœurs ont préféré prendre l’avion TLS-ORN
    Ma mère avait dit au Président que son frère Chahid en 1957 porte le prénom de Boumédiene et que son deuxième enlevé à Oran et porté disparu en 1957, jamais retrouvé.
    Quelques jours après l’armée algérienne c’est à dire 4 soldats sont venus chez nous ont porté un grand diplôme, encadré, une médaille et un cadre avec la photo de mon oncle Boumédienne en costume cravate.
    Allah Yarham Chouhada, Je suis fière de tous nos Martyrs filles et garçons, ils nous en délivré du joug colonial criminel qui vole, qui viole, qui tue qui fait disparaitre et déporte et saccage tout.
    Et tous ces pseudos écrivains sont des conspirateurs de la propagande, ils nous bassinent avec l’islamisme alors qu’en Algérie, ils étaient consentant de les côtoyer dans leurs familles et maintenant, ils crient au scandale que le régime algérien soutien les islamistes.
    Mais ils ne disent pas que le Nazisme pullulent dans les quartier huppés à Paris où il fait la chasse au sorcière aux musulmans et s’attaquent aux mosquées ou salles des prières

    Zenaty
    24 novembre 2024 - 3 h 24 min

    Bizarre… La sortie des declarations de Sensal Boubou… Le New York Times sort un Article sur LA Trahison du Maroc Contre L Emir Abdel Kader durant la Guerre Contre les Troupes Françaises le Sultan de L époque Était déjà le Chien de Guerre des Colonisateurs Comme Actuellement les Mercenaires chiens de Guerre de la Littératures Du Sionismes et des Néocolonisateurs Suprémacisme Des Nazisionismes OCCIDENTALS. Pour essayer de Divisée Ceux Qui Veulent Créer un Nouveau Ordre Mondial LES BRICS… POUR LA PAIX ET EN DEHORS DES MAFFIAS POLITICOS FINANCIÈRES DU CAPITALISMES SIONISTES POUR L OCCIDENT… COMME DISAIT LE GENRALE Sionistes Nous Faisons cette Guerre contre les PALESTINIENS ET EN ORIENT… C EST POUR LUI DE RAMENER L ARABIE SAOUDITE ET LES ÉMIRATS ARABES UNIS DANS LE CAMPS DE L OCCIDENT…… BIZARRE Bizarre…..

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