Ceux qui acclament Al-Joulani sont ceux qui armaient les égorgeurs en Algérie
Par Mohamed El-Maadi – La victoire de l’Algérie contre l’hydre islamiste reste un exemple unique dans l’histoire contemporaine du monde arabe. Notre Armée nationale populaire, héritière de l’ALN, a accompli ce qu’aucune autre force n’a su réaliser : écraser méthodiquement, systématiquement et sans compromis une insurrection islamiste orchestrée et soutenue par des puissances occidentales.
Là où d’autres nations continuent de tergiverser avec ces prétendus «modérés», l’Algérie a choisi la voie de la clarté stratégique. Nos forces armées ont compris dès le début que le dialogue avec les fanatiques était une illusion mortelle. Chaque concession, chaque tentative de négociation n’était pour ces barbares qu’un signe de faiblesse à exploiter. La prétendue «concorde civile» n’était qu’une pause tactique dans leur projet de destruction nationale.
Aujourd’hui, la Syrie se débat dans le même bourbier que nous avons traversé. Les mêmes puissances qui ont armé et financé les égorgeurs en Algérie nous servent maintenant le spectacle grotesque d’islamistes «démocrates». Ces loups déguisés en agneaux, prêts à reconnaître Israël pour gagner les faveurs de l’Occident, ne sont que les nouveaux visages d’une même barbarie. Leur prétendue modération n’est qu’un masque tactique, une ruse pour mieux infiltrer et détruire.
L’armée algérienne a démontré que la seule réponse efficace face à cette menace est l’éradication totale. Pas de demi-mesures, pas de «dialogue», pas de «réintégration». Les résultats parlent d’eux-mêmes : aujourd’hui, les islamistes algériens, vaincus, n’osent même plus lever le regard. L’Etat algérien, avec ses «yeux grands ouverts», maintient une vigilance implacable qui fait trembler jusqu’à leurs maîtres d’outre-mer.
La Syrie d’antan, celle des intellectuels progressistes, des artistes libres, des nuits damascènes où la culture rayonnait, se meurt sous les coups de ces barbares «modérés». Les mêmes qui critiquent Al-Assad aujourd’hui imploreront son retour quand ils découvriront la vraie nature de leurs «libérateurs» islamistes. Nous l’avons vu en Algérie : derrière leurs discours mielleux sur la démocratie se cache toujours le poignard de l’égorgeur.
Notre victoire militaire contre les islamistes n’était pas seulement une victoire pour l’Algérie, mais un exemple pour le monde entier. Nous avons prouvé qu’avec une volonté de fer et une stratégie sans compromis, il est possible de vaincre ces mercenaires de l’obscurantisme. L’armée algérienne a réussi là où les grandes puissances ont échoué, non pas en négociant avec le mal, mais en l’exterminant.
Pendant que la Syrie s’enfonce dans le chaos orchestré par les mêmes marionnettistes qui ont tenté de détruire l’Algérie, notre pays reste debout, vigilant. Les islamistes «modérés» d’aujourd’hui, qu’ils soient en Syrie ou ailleurs, ne sont que les héritiers spirituels de ceux que nous avons écrasés. Leur nouvelle stratégie de reconnaissance d’Israël n’est qu’une preuve supplémentaire de leur opportunisme cynique.
Cette déstabilisation régionale, présentée comme une quête de liberté, sert en réalité le projet d’expansion israélien. Mais les architectes de ce chaos devraient méditer sur l’exemple algérien : le feu qu’ils attisent pourrait bien un jour consumer leurs propres maisons. L’Algérie reste le seul pays à avoir compris que face au cancer islamiste, seule la chirurgie radicale est efficace. Notre armée n’a pas simplement gagné une guerre, elle a montré la voie à suivre.
M. E.-M.
Comment (29)