L’imposture mémorielle de Stora : un silence coupable, une parole discréditée

Benjamin Stora
Benjamin Stora est boulimique des médias. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – «Dans mon travail, je ne prétends pas à l’objectivité radicale, scientifique, distanciée. Je crois qu’il faut un investissement quand même personnel.» (Benjamin Stora). Benjamin Stora, grand ordonnateur d’une mémoire à géométrie variable, apôtre d’une histoire édulcorée, se pare des atours du gardien d’une vérité qu’il sculpte à son gré. Lui-même confesse ne point rechercher l’objectivité, mais s’investir personnellement dans son travail, c’est-à-dire se lover dans une subjectivité façonnée sur mesure, au gré d’indignations sélectives et d’amputations mémorielles opportunes.

Il dit bâtir des ponts entre les peuples, mais n’érige que des passerelles branlantes où l’oubli et l’hypocrisie se donnent la main. Il s’érige en juge suprême des crimes coloniaux français, s’arrogeant le droit de dresser la liste honteuse et macabre des exactions commises en Algérie : villages rasés, populations exterminées, tortures systématiques, enfumades des grottes, charniers dissimulés sous la chape du silence officiel. Chaque plaie ouverte par la barbarie coloniale devient sous sa plume un stigmate qu’il exhibe en trophée, comme s’il était l’unique dépositaire d’une mémoire souffrante dont il se fait le chantre et le comptable.

Mais lorsqu’il s’agit de Gaza, lorsqu’un autre peuple subit la destruction, l’humiliation et l’oppression, son verbe se fige, sa plume s’assèche, son indignation s’évanouit. Il détourne lâchement le regard, feignant l’ignorance face aux massacres, aux démolitions, aux bombardements qui écrasent, sous le fracas des bombes, des générations entières. Ce silence pesant n’a d’égal que l’infamie qu’il cautionne par son mutisme.

L’indignation à la carte : entre dénonciation et silence complice

Peut-on confier la quête de la réconciliation à un historien artisan d’une mémoire tronquée, courtisan du pouvoir ? Peut-on accorder crédit à un homme qui choisit ses combats avec l’avidité d’un marchand d’histoire, pesant ses engagements sur la balance de ses intérêts ? Non, mille fois non. Stora, fossoyeur de la vérité, ne mérite aucune écoute. Son silence complice est une insulte faite à la nation algérienne, un outrage aux cadavres encore fumants de Gaza. Il n’est pas historien, mais acteur d’une mascarade où la mémoire se vend au plus offrant.

L’impossible prétention à l’universalité

Stora se veut pèlerin de la mémoire, chantre d’une vérité historique. Mais quelle est cette vérité qui s’arrête aux rives de la Méditerranée ? Quelle est cette justice qui se fige à la frontière du Jourdain ?

Lorsqu’il s’agit de l’Algérie, il exhume les archives, compile les témoignages, traque les crimes. Lorsqu’il s’agit de la Palestine, il ensevelit le passé sous des strates de silence. Il accuse la France d’exploiter une rente mémorielle, mais quelle rente est plus prospère que celle d’un historien qui module ses indignations selon la latitude ?

Son silence sur les exactions sionistes trahit une incohérence intellectuelle criante. S’il était un historien véritablement épris de mémoire et de justice, il n’ajusterait pas son regard critique aux caprices de ses affiliations idéologiques. Son prétendu universalisme n’est qu’un écran de fumée : une sélectivité qui le condamne à l’inconsistance et réduit son discours à un simple outil de convenance politique.

Une légitimité historique contestable

Dans une récente interview, il revendique son attachement à l’Algérie, sa ville natale, et son rôle de médiateur dans les tensions mémorielles. Pourtant, sa posture relève moins de la rigueur académique que d’une instrumentalisation cynique de l’histoire. Il admet lui-même qu’il ne vise pas l’objectivité absolue, mais revendique une subjectivité assumée, une confession qui scelle l’aveu d’un travail biaisé dès l’origine. Comment, dès lors, accorder foi à un historien qui érige la partialité en méthode ?

Sa reconnaissance en France comme en Algérie repose sur une narration qui sert davantage les intérêts politiques que la vérité historique. Que les autorités des deux rives lui confient des missions prouve qu’il est moins un observateur indépendant qu’un rouage du pouvoir, un acteur soucieux de préserver sa place plutôt que de déranger les certitudes établies.

L’incohérence d’un engagement à géométrie variable

En cinquante ans de carrière, Stora affirme avoir consacré sa vie à l’étude de la colonisation et de la mémoire. Pourtant, son regard critique s’arrête là où commencent les crimes contemporains. Cette asymétrie n’est pas un oubli, mais un choix. Il ne défend pas la vérité, il sculpte un récit qui l’arrange. Il dénonce la colonisation française, mais feint d’ignorer celle qui, sous ses yeux, réduit un peuple à l’agonie. Son discours sur l’Algérie perd ainsi toute légitimité dès lors qu’il refuse de voir Gaza avec les mêmes yeux.

Celui qui tait certains crimes perd toute crédibilité lorsqu’il en dénonce d’autres. Celui qui module son indignation en fonction de ses intérêts n’a aucune autorité morale.

Stora doit renoncer à son rôle d’arbitre de la mémoire

Puisqu’il ne peut prétendre à une démarche véritablement universelle, Benjamin Stora doit renoncer à son rôle d’arbitre de la mémoire. Son silence sur Gaza, son instrumentalisation de l’histoire et sa subjectivité revendiquée l’empêchent d’être un acteur crédible dans un débat exigeant rigueur et impartialité. Si la mémoire doit servir la réconciliation, ce ne peut être sous l’égide d’un homme dont la parole est à ce point partiale.

Le tragique de Stora, c’est qu’il se revendique encore historien. Mais il n’est plus qu’un instrument du pouvoir, un homme qui ne cherche pas la vérité mais l’approbation. Ses entretiens avec Emmanuel Macron, sa boulimie médiatique, son rôle de médiateur autoproclamé : tout démontre qu’il n’est qu’un figurant dans un théâtre d’ombres où l’histoire se plie aux exigences du moment.

Il eût été sage qu’il s’imprégnât de l’universalité de cette révolution qu’il célébra tant, la Révolution algérienne, dont la cause transcendait les âges et les continents, embrassant toutes les justices du monde d’un éclat impérissable. Mais plutôt que d’embrasser cette majesté intemporelle, illuminant les peuples en quête d’émancipation, il s’est replié dans une vision étriquée, incapable d’en saisir l’essence infinie et la portée universelle.

Et c’est peut-être là, dans ce gouffre où se heurtent l’image qu’il projette et la réalité qu’il incarne, que Stora est contraint d’affronter le spectre de ses propres contradictions.

K. B.

Comment (14)

    Salim Samai
    21 février 2025 - 10 h 23 min

    A Bibi & aux Colons de Brooklyn-Sarcelles qui jouent á Rambo & invoquent « Judeo-Chreteiente, Royaume Divin », Amalek, Isaiah & leurs Péres (á Bale) qui pourtant les avaient AVERTI, en vain car ils n`ICHMA ni Dieu ni ceux ci! Stora, lui, est 1 Juste! Il n`a TRAHI ni Mére ni Pére ni surtout El Haq car il « Speak the Truth » tel que les Codex l´EXIGENT!

    L`ORIGINE de son prenom « Benjamin »? LOT coucha avec ses 2 filles! De l´une naquit Moab d´ou les MOABITES et de l´autre Ben Ammi d´ou les AMMONITE! SI vous doutez, vous avez raison! « La Theologie » & lÀrceologie sont des « Sciences » dans l`Espace,le Temps,le Pouvoir,la Traduction,la Version & la Force!
    L´Islam est sage! Il recommande « IQRA » puis « IJTIHAD »! Donc « Les Islamologues » sont les Agents du Roi!!

    « La Bible » (A. & N.Testament) le dit: « As in OTHER ANCIENT Documents, the PRECISE meaning of the Biblical texts is sometimes UNCERTAIN. This is more often the case with the HEBREW & ARAMAIC texts than with the GREEK text. » Preface,La Bible. New International Version.Zondervan Publishing House 1994

    Salim Samai
    21 février 2025 - 9 h 42 min

    Ma mere analphabete, Allah Y, dit: « On N`INSULTE PAS ceux qui ne NOUS INSULTENT PAS! »
    Le Khoudhar du « Cafe de Sassi » dit: « L´Insulte génére la Double Insulte » et eloigne l`Ami et, pire, le Client!l

    A ce que je sache Stora N`A INSULTÈ ni DZ ni les DZiens ni l´ISLAM comme le font Israel et ses agents Zemmouriens des CRIF & Think Tanks du « Deep State » US qui firent de Germany & USA des Tonga- Bantoustan d´ISRAEL! El Dhoulm et la PROVOCATION sont STERILES & souvent DESTRUCTIFS!

    Exemples AUJOURD`HUI!
    1)- Ukraine-USA-NATO dans LES MOTS de Trump! De « Superman » Selensky est devenu « Dictateur »!
    2)- « L´Europe » qui « Enseignait la Democratie » á Damas, Caracas, la Misére & Hamas! Soudain VANCE lui dit á MUNICH: « Tu manques de DEMOCRAT!E & Free Speech! »
    3)- Israel qui a PERDU son JOUG sur les USA par SA GOURMANDISE INCONTROLEE qui l´amena
    á son Eniéme Stalingrad-Front aux USA (grace á Sinwar & Nasrallah, Allah Y.)

    Abou Stroff
    21 février 2025 - 7 h 01 min

    « Stora, fossoyeur de la vérité, ne mérite aucune écoute. Son silence complice est une insulte faite à la nation algérienne, un outrage aux cadavres encore fumants de Gaza. Il n’est pas historien, mais acteur d’une mascarade où la mémoire se vend au plus offrant. » avance, avec véhémence K. B..

    je pense que, si les assertions de K. B s’avèrent véridiques, les dirigeants algériens ne devraient plus écouter ses mensonges, le dénoncer en tant que …………….menteur et Stora devrait être, au moins, interdit d’entrée en Algérie.

    ceci étant dit, je m’interroge sur les attaques quasi-constantes de K. B. à l’encontre de Stora.

    en effet, est ce que K. B. a, constamment, en ligne de mire Stora parce que ce dernier « falsifie » l’Histoire ou parce que Stora est de descendance juive (à priori on peut être de descendance juive sans être juif comme on peut être de descendance musulmane sans être musulman, n’est ce pas?) et que, par définition, un juif n’est pas crédible quand il s’exprime sur l’Algérie ou sur la Palestine?

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que confondre juif et sioniste permet (à l’insu de notre plein gré?) de justifier l’existence de l’entité sioniste en tant que « foyer juif » en terrre de Palestine et de consolider l’existence de cette dernière en tant que produit de « commandements divins ».
    or, en dehors d’une appréhension du conflit palestino-sioniste (ce que récuse K. B.) en tant que problème de colonisation dont le dépassement exige un processus (violent ou non violent, peu importe) de décolonisation, le conflit perdurera et l’entité sioniste continuera à massacrer les palestiniens ad vetam aeternam.

    wa el fahem yefhem

    Anonyme
    21 février 2025 - 2 h 55 min

    Cet individu n’a jamais condamné ni même commenté le génocide perpétré par ses coreligionnaires en Palestine.
    Qui ne dit mot, consent.

    Et on lui confie une commission avec lui pour écrire l’histoire du génocide commis par la colonisation en Algérie ?

    icialG
    20 février 2025 - 21 h 51 min

    NORMAL il esquive les phrases qui de nuire a sa personne ou qui risque froisser ses compatriotes

    Le Chat Botté
    20 février 2025 - 18 h 39 min

    Chasser le naturel, il revient au galop. dit-on
    La nature de tout etre humain est faconé depuis sa naissance..
    De la bouche meme des juifs eux-memes:
    On a cette faculté de toujours mentir aux gens que meme on on essaie de dire la vérité personne ne nous croit.
    Donc tout est dit dans ce dialogue binaire; ou vous etes avec nous ou vous etes contre nous.

    Captain
    20 février 2025 - 15 h 56 min

    Benjamin Stora même s’il peut accessoirement être considéré sous certains aspects comme un ami de l’Algérie ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt du génocide commis en Algérie par les colons et les troupes Françaises.

    Benjamin Stora n’est qu’un historien-sociologue parmi d’autres, certes éminent dans son pays, mais il reste un simple historien de cette période de l’Histoire que les Français appellent encore* par un des euphémismes après évènements d’Algérie, par « guerre d’Algérie » ou « aventure coloniale française en Algérie » ou encore  »Algérie Française », ces expressions étant très loin de représenter toute l’horreur de la réalité macabre, criminelle, génocidaire de plus d’un siècle de massacres discontinues caractéristiquement racistes par les troupes françaises, les colons et les harkis en Algérie.

    *Il vaudrait mieux parler du plus grand crime contre l’Humanité, connu à ce jour, de l’Histoire.

    Si Benjamin Stora a été virtuose, c’est bien dans l’art de minimiser, de diluer, de sous-qualifier – notamment par ce qu’un historien algérien qualifie d’inventaire à la Prévert- plus d’un siècle de crime contre l’Humanité. Il nie l’existence de tout un système des massacres, de planification génocidaire et de mise à exécution de ce plan.

    Sa maîtrise de la langue française, une langue inférieure aux langues anglo-saxonnes pour l’expression d’une pensée extrêmement précise mais fascinante pour un peuple colonisé, est utilisée comme arme psychologique pour déformer, détourner, édulcorer la mémoire Algérienne du génocide.

    Il parle toujours en termes euphémisants, jamais ne fait sien le terme de génocide, et n’hésite pas à parler de « passion douloureuse », de « gangrène », d' »amnésie », … Tout un lexique qui relève du registre de la métaphore, de la distanciation, de la catharsis, en somme de la mystification.
    L’entreprise française de massacre systématique, de génocide planifié y est nié.
    Tout un vocabulaire qui sert à apaiser à dépassionner les relations algéro-françaises avant même que ne soient soldé la facture algérienne. Ils ne sont prêt à ni excuses, ni repentance, ni regrets, ni « autoflagellation » et « je ne sais quoi encore »… disent-ils de ce côté-ci mais réclament apaisement « des mémoires », réconciliation et amitié, en somme soumission et diktat.

    Ne dit-on pas pourtant que les bons comptes font les bons amis.

    Son rôle complémentaire étant de conserver à « Choa » sa prééminence dans le panthéon des crimes contre l’Humanité et d’éviter le tarissement de la rente mémorielle Choatique (d’après une estimation raisonnable il y aurait eu entre 50.000 et 200.000 morts seulement, Faurisson est un historien sérieux en la matière).

    Stora et son élévation au rang d’histoire officiel de cette période sombre de l’Histoire de l’Humanité par l’Algérie elle-même n’est que le symptôme de l’état de délabrement dans lequel se trouve l’intelligentsia algérienne, son Université et son Administration qui a fait du népotisme la règle de conduite de l’Etat !

    La France, l’ancien colonisateur, a réussi à imposer à l’Algérie une commission mixte sur la mémoire algérienne. Depuis quand le travail de mémoire se délègue-t-il à autrui, et comment cela est-il seulement possible ?
    Il revient à celui qui a été blessé dans son chair de fouiller dans sa propre mémoire et non pas de faire appel à une mémoire exogène pour se rappeler, se souvenir et se remémorer, encore moins à celle du génocidaire qui refuse encore aujourd’hui de reconnaitre sa culpabilité pleine et entière.

    Il est temps pour l’Algérie de se comporter comme une grande Nation et de permettre à ses historiens les plus brillants et les plus doués (pas ceux qui ne doivent pas leur place à leur seul mérite) d’exhumer – par un travail minutieux, archéo-anthropologique, la mémoire des crimes français en Algérie, afin de préparer le prochain grand procès qui ne manquera pas de voir le jour pour juger ce qui fût sans l’ombre d’un doute l’un des plus grands crimes contre l’Humanité jamais commis de mémoire d’Homme – si ce n’est le plus grand.

    Benjamin Stora sera alors appelé à venir témoigner en tant qu’éminent historien français de cette période.
    Nous verrons alors, à l’épreuve de ce procès qui s’annonce historique, par l’Histoire et pour l’Histoire, de quel côté il se rangera.
    L’Algérie ne doit plus demander la permission pour écrire sa propre histoire encore moins. Elle doit faire l’effort de fouiller dans sa propre mémoire – sans les archives françaises- pour reconstituer et dresser le tableau d’une réalité complète- afin de la coucher par écrit pour les générations futures, pour la postérité.

    La mémoire de l’Algérie ne peut être écrite par d’autres que des Algériens car ce sont des Algériens qui se souviennent.
    Le temps presse, le procès contre la France doit avoir lieu pendant qu’il est encore temps, au travail !

      Lee Chung
      20 février 2025 - 19 h 13 min

      Ses efforts ont quand même abouti a la reconnaissance par la France ( en 2012) du massacre d’octobre 1961 et en ce qui concerne Gaza, même les pays arabes n’ont pas bougé alors que des enfants étaient amputés sans anesthésie. Dans cette histoire,la honte est et sera sur les pays arabes . Mais bon,ils sont juste bons a se faire la guéguerre entre eux

    Amar
    20 février 2025 - 15 h 31 min

    Stora a fait beaucoup de travail dans le sens de la mémoire. C’est un historien qui a beaucoup travaillé sur le sujet du colonialisme français. Il ne faut pas toujours le ramener toujours à ses origines juive.

      DeepLe
      20 février 2025 - 17 h 45 min

      La valeur d’une recherche historique ne se mesure pas à sa quantité, mais à sa rigueur méthodologique et à sa fidélité aux faits. Les travaux des historiens algériens, fondés sur des sources approfondies et une analyse précise, offrent une lecture différente de celle proposée par cet historien français. Il ne s’agit pas de remettre en cause ses travaux, mais d’affirmer la légitimité de nos propres démarches. Pour préserver l’authenticité de notre mémoire collective, il est essentiel que les récits historiques destinés aux générations futures soient portés par des chercheurs algériens, imprégnés de nos réalités culturelles et sociales. Cette démarche, loin d’exclure les apports extérieurs, permet d’ancrer l’analyse dans des contextes et des sources souvent mieux maîtrisés localement.

    Anonyme
    20 février 2025 - 14 h 30 min

    Chapeau bas à l’auteur de cet article qui fait preuve de beaucoup de discernement à l’inverse (trop souvent) de nos officiels qui ont la fâcheuse tendance d’être trop pris dans l’affect au jour le jour.
    L’Espagne ne peut être un pays ami au vu de son attitude récente.
    L’Italie fasciste ne regarde que ses intérêts quand on lui donne nos énergies à moindre coût…
    Arrêtons cette naïveté, nous ne sommes l’ami de personnes (hormis peut-être de la Palestine).

    Pataouete
    20 février 2025 - 11 h 55 min

    Po, po, po, oh dis donc stora ! tu pousses la merguez un peu loin et l’anisette te fais tourner la tête, toi tartarin de tarascon, tu as la folie des grandeurs. Mets la tête sous le robinet et redeviens l’historien officiel que tu es.

    Brahms
    20 février 2025 - 8 h 42 min

    BENJAMIN STORA a des ordres hébraïques pour la rente mémorielle de l’HOLOCAUSTE des Juifs.

    En clair, il n’ira jamais mettre la rente mémorielle d’autres pays pour éviter de concurrencer celle des juifs.

    C’est aussi simple que ça. Il va donc faire croire que l’algérien pouvait devenir français s’il l’avait voulu, que la France aimait l’Algérie mais que certains français n’étaient que des méchants.

    Il va donc vendre le concept des méchants et des gentils pour calmer les parties pensant qu’avec le temps, tout s’oubliera. Or, quand vous entendez la chaine CNEWS ou le RN, nous sommes loin de la paix.

    Dr Kelso
    20 février 2025 - 7 h 52 min

    Tout silence quel qu’il soit à l’égard des exactions commises à Gaza et en Palestine OCCUPÉE est complice de ÉPURATION ETHNIQUE PALESTINIENNE GÉNOCIDE CRIMES DE GUERRE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ CRIMES D’ÉTAT ETC D’ANTISÉMITISME…liste non exhaustive.
    Epicitou
    Allah yrahmoum
    FREE PALESTINE
    FREE GEORGES IBRAHIM ABDALLAH

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