Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a appelé, jeudi à Alger, les opérateurs économiques, publics et privés, à honorer leurs engagements, au niveau national et envers les partenaires étrangers, affirmant que la crédibilité de l’Etat est au-dessus de toute autre considération.
Le président de la République a souligné, à l’ouverture, au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, d’une rencontre avec les opérateurs économiques, destinée à conforter le succès de la 4e édition de la foire tenue en septembre dernier à Alger, que «la crédibilité de l’Etat est au-dessus de toute considération», exhortant les opérateurs, publics et privés, à «honorer leurs engagements, au niveau national et envers les partenaires étrangers».
Il a, par ailleurs, souligné «la nécessité d’accroître les capacités productives, en termes de qualité et de quantité, et de les rendre plus compétitives à l’échelle internationale, en garantissant une plus grande dynamique de production», en adoptant un système de roulement à trois équipes, notamment pour la production des produits à forte demande.
«Il n’y a aucune distinction entre les opérateurs publics et privés», a-t-il soutenu, affirmant qu’«ils sont tous concernés par l’essor économique et la responsabilité qui leur incombe envers le développement national».
Il a, ainsi, réitéré son engagement à garantir un accompagnement de qualité, notamment pour les opérateurs qui aspirent à élargir leurs activités industrielles et productives de manière générale, à travers diverses dispositions et facilitations, à l’instar du financement par crédit et autres solutions.
R. N.




Bravo à notre Président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, pour son action concrète en faveur de l’économie algérienne. 🇩🇿
Les chiens aboient, l’Algérie avance. 🇩🇿
Pour concilier justice sociale et efficacité économique, il importe d’épouser la conscience révolutionnaire qui, seule, alliée à l’efficacité du monde moderne, peut mettre un terme aux erreurs et aux errements d’une gouvernance qui considère l’intelligence comme une menace et la compétence comme un danger.
L’opinion publique, de façon majoritaire, souhaite, dans la pratique, un Périclès qui limite le cours du système d’un autre âge en butte à toute thérapie pour guérir notre pays, ô combien malade de l’incompétence et de l’incohérence, source d’une Algérie affaiblie par les maux inhérents au sous développement.
Fraternellement lhadi
([email protected])
Ce type de discours pose problème car il reflète une vision économique d’un autre âge, centrée sur l’intensification du travail et la discipline morale plutôt que sur l’innovation, la technologie et la compétitivité systémique. La proposition de production en trois-huit illustre ce décalage, privilégiant le volume à la valeur ajoutée. Cependant, il faut rester indulgent : ces enjeux sont complexes, et avec un accompagnement adapté, cette volonté de dynamiser l’économie nationale pourrait se traduire en stratégie moderne et efficace.
moi je dirais qu’il y a des résidus d el3issaba qui s activent dans l ombre sachant que le retour est impossible alors alors ils sabotent mais aussi des incapables ,des profits sans effort ou l argent facile qui trouvent des failles dans le système ce qui malheureux c est que population ne fait pas beaucoup d d effort pour éradiqué surtout dans la mesure ou ça les arrangent et ami Tebboune ne peut être partout et on peut pas mettre un gendarme deriere chaque citoyen
n seul re règle tolérance zero pas d indulgence les lois plus sévères incrusté dans les cerveaux que c est fini pour toujours