Le moudjahid et ancien ministre Ahmed Taleb Ibrahimi est décédé à l’âge de 93 ans, a-t-on appris dimanche auprès de ses proches.
Fils du cheikh Mohamed Bachir Ibrahimi, un des fondateurs de l’Association des oulémas musulmans algériens (AOMA), le défunt, né à Sétif en 1932, a suivi la voie de son père et milita pour la création de l’Union générale des étudiants musulmans algériens (UGEMA), dont il est devenu président.
En 1949, le regretté rejoint l’Université d’Alger pour étudier la médecine, puis adhéra à l’Association des étudiants musulmans nord-africains (AEMNA). Il était également parmi les dirigeants de la Fédération de France du Front de libération nationale (FLN) durant la Révolution de libération nationale.
Après l’indépendance, le défunt a occupé plusieurs postes de responsabilité dont ceux de ministre de l’Education nationale (1965-70), de l’Information et de la Culture (1970-77) et des Affaires étrangères (1982-88).
Il a, en outre, occupé le poste de conseiller des défunts présidents Houari Boumediene et Chadli Bendjedid.
En plus d’avoir été un politicien chevronné, Ahmed Taleb Ibrahimi comptait à son actif plusieurs contributions intellectuelles et culturelles, ainsi que de nombreuses interviews avec des médias nationaux et étrangers sur des thèmes liés à l’histoire de l’Algérie et à la Révolution de libération nationale.
R. N.




Allah ya rahmo. Toutes mes condoléances à sa famille ainsi qu’à ses proches.
Rabi I Rahmah inchallah wa Yarham Oumati Mohamed SallAh Alayhi Wa Salam
Allah y rahmou
inna lillah wa inna ilayhi raaji’uun
Allah yrahmou
Allahirahmou,
Un grand Monsieur, puisse Allah ta3ala lui faire miséricorde, ainsi qu’à nous même 🤲🏻
Il y a une excellente interview, ancienne, avec le journaliste égyptien Ahmed Mansour, sur Aljazeera, on y apprend beaucoup sur l’Algérie des années Ben Bella et Boumédiène.
N’ssibi, le papa de mon beau frère était son jardinier particulier d’ Ahmed Taleb Ibrahimi, pendant plus de 20 ans à Alger, la famille de mon beau frère sont des berbères algérois, dont l’un des frères était Vice-Consul ici et à Benghazi, Lyon.
Le papa de mon de mon beau frère nous racontait les légumes qu’on lui demande planter et les jolies fleurs.
Rabi Yarhmou et wessae elih, à Ain Témouchent, il y a un grand lycée qui porte le nom de son papa Cheikh Bachir Ibrahimi
Allah yarhmou, l’ Algérie perd un de ses grands fils
Sincères condoléances à la famille
Allah Yarhamou! Et MERCI pour la BRIQUE qu´il a MISE au MUR de DZ qu´il ACCOMPAGNA depuis la NAISSANCE! Puissions nous, nous INSPIRER de son Oeuvre!