Par Karim B. – Le comble de l’absurde et du cynisme personnifié. Rachida Dati, éclaboussée jusqu’au cou par une pluie torrentielle d’affaires de corruption, de trafic d’influence et de favoritisme, prêche sur la transparence et la probité. Celle qui a incarné l’opacité et les magouilles tente aujourd’hui de vendre aux Français de l’honnêteté comme un marchand d’illusions vendrait des produits frelatés à des clients consentants.
Cette même Dati, qui, après le cambriolage spectaculaire du Louvre – ce joyau de la culture mondiale placé sous sa responsabilité en tant que ministre de la Culture –, saute d’un plateau télé à un autre, exhibant un sourire figé et une assurance factice, comme si elle venait de remporter un prix Nobel, alors qu’elle devrait être tenue responsable de ce scandale d’Etat.
Là où le burlesque devient insupportable pour les Français, c’est que ce vol, loin d’être un simple accident malheureux, sert d’opportunité en or à cette politique véreuse en mal de blanchissement. A tel point que l’on pourrait presque se demander si, dans son for intérieur, elle n’a pas savouré la facilité déconcertante avec laquelle des bijoux d’une valeur inestimable ont été subtilisés sous son nez. Une institution prestigieuse comme le Louvre, censée être inviolable, transformée en théâtre d’un vol grandiose, voilà qui en dit long sur son incompétence abyssale, mais qui, en définitive, machiavélique qu’est cette sujette de Mohammed VI, en a fait un tremplin médiatique.
Avec la complicité servile de médias stipendiés, elle est revenue sur le devant de la scène, jouant la carte de la victime innocente, la sainte-nitouche, au moment précis où son parrain politique, Nicolas Sarkozy, affrontait sa première nuit dans une cellule isolée de la prison de la Santé. Un timing parfait, un coup de maître pour détourner l’attention, un acte de prestidigitation politique digne des pires spectacles de foire.
Ainsi, Rachida Dati, dans toute sa duplicité, incarne à elle seule la triste farce d’une classe politique française prête à tout pour se maintenir au pouvoir, même au prix du ridicule et du mépris des citoyens. Transparence et probité sont deux mots creux dans sa bouche, un miroir aux alouettes pour les naïfs. Le vrai visage de cette femme est celui d’une opportuniste, prête à exploiter le chaos qu’elle-même a contribué à créer. Voilà la vérité nue, brutale, qu’elle et ses acolytes voudraient bien cacher sous le tapis du spectacle médiatique risible.
K. B.
Il ne faut pas s’étonner si le premier parti est le parti des abstentionnistes. L’arrogante rachida dati devra s’expliquer devant la justice pour les faits qui lui sont reprochés. De la justice à la culture puis de la culture face à la justice. La boucle est bouclée.
Tout le monde a des dossiers sur tout le monde dans ce milieu ?
Preuve en est, « Complément d’enquête » et le « Nouvel Obs » dévoilent des documents suggérant que Rachida Dati aurait perçu 299 000 euros d’« honoraires » non déclarés de GDF Suez. Ce mercredi 2 juillet, des signalements ont été transmis au parquet de Paris.
OH YEAH, OUM CHANTA LA BOUSBIRIENNE !!!
FREE WESTERN SAHARA ET ZÉRO BOUSBIRIEN, ABSOLUMENT ZÉRO BOUSBIRIEN SUR LE SOL ALGÉRIEN !!!
Le botox fait un ravage sur son visage et sur cou gonflé au point les lèvres tombantes ne tiendront pas longtemps sans un rappel de doses supplémentaires.
Effectivement. Sans ces ravalements de « façade » périodiques, elle est bonne pour le musée…des horreurs. Direct « Le Musée du Lèvres » en l’ occurence , en cette brûlante actualité culturelle.