Et pourtant elle coule !

Par Rabah Toubal – Aussi bien Abdelaziz Bouteflika, dans les différents messages qui lui sont attribués, qu’Abdelmalek Sellal et les membres de l’Exécutif, ne cessent d'affirmer, dans les médias publics et privés, que l'Algérie est à l'abri de la crise due à la chute dramatique des prix des hydrocarbures et de leurs dérivés, qui représentent plus de 98% des exportations algériennes. Ils soutiennent publiquement que la plupart des projets inscrits dans l'inachevable «programme du Président» seront maintenus, quoi que cela en coûtât au pays, tout en donnant, en catimini, des instructions pour les suspendre indéfiniment. Pour faire face à la facture, de plus en plus insupportable, des importations afin de satisfaire les besoins croissants d'une population de plus en plus nombreuse, qui est nourrie, vêtue et soignée de l'étranger par ces importations, qui alimentent la corruption généralisée, dont le volume ne cesse de s'accroître malgré la crise, le pouvoir puise sans compter dans les réserves du pays dont le volume est en train de fondre de manière dramatique. Avec sa gouvernance catastrophique du pays, il pratique une fuite en avant suicidaire grosse de tous les risques pour la cohésion, la stabilité, la sécurité et l'unité nationales. En dépit des dénégations timides et farfelues du gouvernement qui souffre d'un gros déficit de crédibilité sur les plans interne et externe, l'Algérie est en train de couler à vue d'œil, parallèlement à la chute vertigineuse du prix du pétrole notamment. Les mauvais gestionnaires de la rente, qui ont montré toutes leurs limites, leurs carences et leurs insuffisances professionnelles dans la gestion de la crise, doivent d'urgence céder leurs postes.
R. T.

Comment (34)

    Anonyme
    27 août 2015 - 16 h 10 min

    Antisioniste (non vérifié) |
    Antisioniste (non vérifié) | 26. août 2015 – 9:09

    Salamou 3alikoum
    …….
    Comment osez-vous mettre en doute les décisions de son fakakir…
    ___

    FAKAKIR donc!
    Je vais te montrer que tu es un (…) qui ingurgite des conneries en se prenant pour un intelligent!
    Tu es le seul à OSER critiquer le PM par ce mot, car n’ayant rien pigé.

    LIS CECI, APPREND et ferme-là à jamais!
    .
    Pour nous dire que Sellal le PM est nul en Arabe ?
    Pour te montrer que tu ne réfléchis pas et que tu te fie aux dires des manipulateurs dont tu gobes toutes les conneries, retiens ceci et tu t’apercevras que c’est ton genre qui est nul et abruti!!!
    En prenant comme « thème » le mot FAKKAKIR utilisé par Sellal, les manipulateurs qui t’ont roulé t’ont faire croire que Sellal est nul en Arabe en prononçant faussement ce mot qui serait le pluriel de « Fakir » (pauvre). Ils voulaient ainsi diminuer, comme tu le fais, le PM qui devait dire « Foukara » (pluriel de Fakir) et non «Fakkakir » !
    .
    C’est totalement FAUX !
    J’avais bien vu son intervention. Le mot « Fakakir » que j’avais entendu était COMPRIS par moi et par la plupart des algériens, surtout du Sud, AUTREMENT que la stupidité que tu as avalé!! Faut être bien Algérien et éveillé pour le comprendre.
    SELLAL était en visite officielle au SUD. Il s’adressait à la population du Sud sur les problèmes de développement surtout dans l’agriculture en leur disant, en parlant de leur système d’irrigation astucieux « l’État est disposé à vous octroyer une aide pour vos « Foggaras » » dont le pluriel est « Faggagir  » ou « Fggager »! Les crétins avaient compris « octroyer une aide pour vos pauvres »)
    Comme en Arabe littéraire le G (comme garage) n’existe pas il avait voulu ‘innover’ en remplaçant le G par K ! Ce n’est pas faux dans le fond !
    C’est comme « GOUL » (dit) qui est utilisé par l’Est algérien alors qu’au centre on dit « KOUL »
    Ceci pour que certains ici, surtout toi l’ignare, se la boucle à jamais !

    Youcef
    27 août 2015 - 12 h 19 min

    Et pourtant elle croule
    Et pourtant elle croule

    Anonyme
    27 août 2015 - 7 h 49 min

    l’austérité sévère de l’état
    l’austérité sévère de l’état et du gouvernement algériens
    Commencer par les nombreux services,et administrations improductifs de l’A.P.N, du Sénat,des ministères, des administrations centrales,départements,services, offices,etc,…..
    Arreter les investissements des infrastructures de transports routières,aériennes,portuaires,et ferroviaires,
    et pétrochimiques,non rentables,
    et à très faibles amortissements
    Priorité absolue, et urgente à l’agriculture massacrée par la
    Mafia du foncier

    Incompétences Présidentielle et Gouvernementale
    27 août 2015 - 7 h 24 min

    @Alilou, Leila (qui n’est pas
    @Alilou, Leila (qui n’est pas dupe) et les autres concernant YG

    Vous vous êtes fourvoyés en critiquant YG et en le traitant de misogyne pour avoir dénoncé le comportement de son prétendu Chef que vous avez compris comme étant une femme Ministre, alors que YG a utilisé le féminin quelque part dans son commentaire car il faisait référence à « la PERSONNE qui dirige ce ministère…. » . Ce n’est donc pas forcément une femme. Avant de critiquer et de condamner, apprenez à bien lire les commentaires!!

    Anonym.a
    26 août 2015 - 23 h 47 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 26. août 2015 – 19:37
    vous avez raison , toubal président , ouvrons la frontière ouest et importons du cannabis en grand quantité et des guezzanates marocaine spour construire notre économie dans le grand makhreb

    I.M.S.A
    26 août 2015 - 23 h 14 min

    Les Haut-fonctionnaires
    Les Haut-fonctionnaires Algériens doivent respecter plusieurs obligations.

    L’obligation de se consacrer entièrement à leurs fonctions, un haut-fonctionnaire Algérien ne peut en aucun cas cumuler ses fonctions avec une autre activité, privée ou publique.

    L’obligation de discrétion professionnelle et de respect du secret professionnel : le haut-fonctionnaire Algérien ne doit pas divulguer des informations ou des documents dont il a eu connaissance à l’occasion de ses fonctions, sous peine de poursuites pénales.

    Le devoir d’obéissance aux instructions de son supérieur hiérarchique.

    Le devoir de moralité, y compris en dehors du service : un haut-fonctionnaire Algérien ne doit pas choquer par son attitude ou ses opinions contraires aux intérêts du pays et de sa mission.

    Le devoir de probité : le haut-fonctionnaire Algérien ne doit pas utiliser les moyens du service à des fins personnelles, ni avoir d’intérêts dans les personnes morales de droit privé, il ne doit en aucun cas bloquer l’institution ou renvoyer les doléances ou demandes des citoyens sans des motifs clairs et justes. Il a l’obligation de se consacrer à ses fonctions.

    L’obligation de neutralité : le haut-fonctionnaire Algérien doit assurer ses fonctions à l’égard de tous les administrés dans les mêmes conditions, quels que soient leurs opinions politiques, la région ou leur rang social, et doit s’abstenir de manifester ses opinions.

    Le travail du haut-fonctionnaire Algérien consiste à servir l’institution et par la même les citoyens, pour lequel il est payé, en aucun cas, il ne doit considérer cela comme un service personnel que lui même rend. Il est nommé et payé pour travailler au service des Algériens!

    J’en profite aussi pour annoncer qu’ à partir du 12 octobre 2015 tous les standards des institutions Algériennes pourront être contrôlés sans l’aval des ministres ou de leurs fonctionnaires.

    Alilou
    26 août 2015 - 21 h 44 min

    Nous vivons une situation
    Nous vivons une situation grave et vous mr YG ou mr soit disant chef de cabinet au lieu de travailler, vous êtes la à relater sur le dos d’une dame, des fantaisies inexistantes. Vous voulez sa place? N’est ce pas? Si j’étais vous, j’irais me jeter dans une fosse septique.

    Ingrat!

    karimdjazair
    26 août 2015 - 21 h 13 min

    Il faut raison garder, la
    Il faut raison garder, la baisse du prix du baril est certes inquiétante, mais ce n est pas une fatalité. Elle va obliger les dirigeants du pays, à réduire les importations, et favoriser forcément une autre alternative, l investissement productif, la seule solution qui puisse nous garantir l indépendance.

    La chute du pétrole atteint ses limites, sinon la stratégie mis en place par l amérique et ses sbires, les monarchies petrolières, se retournera contre eux, et ils casseront les dents.

    Anonyme
    26 août 2015 - 18 h 37 min

    A Rabah Toubal
    ___
    Nous

    A Rabah Toubal
    ___

    Nous savons que vous aimez votre pays l’Algérie; même depuis l’étranger, au travers de votre blog, mais il semble que vos articles, d’ailleurs pertinents, ne font que citer des faits , des évènements pour conclure qu’il faut changer Bouteflika, encore Bouteflika et toujours Bouteflika en souhaitant même un désordre en Algérie. Pour cela il faut un leader intelligent comme vous. Nous souhaitons que cela soit vous qui nous dirigiez. Vous saurez trouver les moyens avec vos relations « amicales » avec le Roi Mohamed VI dont vous vantez les réalisations que vous comparez avec celles de l’Algérie selon un de vos articles intiutulé: « L’Algérie qui recule, le Maroc qui avance »

    ammmar
    26 août 2015 - 18 h 06 min

    RESTE QUOI A FAIRE
    RESTE QUOI A FAIRE MAINTENANT?APRES QUE CES GOURDINS SUPPLICIANTS LONGTEMPS SUSPENDUS A NOS BOSSES ONT ETE ENTIEREMENT ENGLOUTIS,ce pays est laminé de bout en bout et irremediablement cassé ,que des mensonges comme d’habitude et la fuite en avant ,aucun projet,ni programme,ni etude ni perspectives,sauf la destruction systematique a grande echelle et a ts les niveaux,plus rien ne pourra redresser une telle situation,aucun homme politique aussi tellement la tragedie est inimaginable ou le pays ds tous ses compartiments est tenu par des malhonnetes,des voleurs et de la mafia et le peuple malheureusement a succombé aux chant des sirenes est devenu ingerable,il nous reste que l’institution militaire,A N P ,meme si elle doit etre touché a quelque part par les eclats destructeurs,elle reste tt de meme la seule institution ayant su resisté miraculeusement aux tentatives de sabotage et aux secousses grace au patriotisme de ses hommes et leur integrité,capable de sauver le pays,alors soyons courageux et surtt consciencieux des enjeux et des perils qui frappent a la porte algerie,invitons la a tt prendre en charge ,jettons notre devolu sur elle sans attendre,notre sort,semble scellé et ttes les issues sont canalisées vers l’inconnu

    DZDZ
    26 août 2015 - 16 h 20 min

    @Par YG (non vérifié) | 26.
    @Par YG (non vérifié) | 26. août 2015 – 12:27

    Je ne vous connais pas, j’ai juste suivi vos échanges sur AP, et vos propos me donnent de la nausée. Vous êtes de ceux qui travaillent deux secondes de plus par rapport aux autres et se prennent pour les sauveurs de l’humanité. J’irais encore plus loin pour vous dire que vous êtes de ceux qui prennent le travail qu’ils font pour des services .
    Vous êtes payé pour travailler. Vous avez fait votre travail et point barre.
    D’ailleurs, une personne compétente ne dit jamais qu’elle est compétente. Mais c’est valable pour des personnes intelligentes.

    C’est votre Zari3a qui travaille au ministère des Fantômes…on comprend mieux le pourquoi de la situation.

    raselkhit
    26 août 2015 - 16 h 08 min

    Depuis toujours, les
    Depuis toujours, les projecteurs médiatiques
    sont braqués sur l’Algérie, pour y déceler le
    moindre signe d’effondrement. C’est un phénomène
    connu et il était très rare que ne soient pas
    au menu des émissions ou des articles catastrophistes
    sur le pays, qui prédisent un cataclysme
    social qui doit tout emporter sur son passage. Des
    dizaines d’années ont passé sans que rien ne se
    produise qui conforte les thèses apocalyptiques.
    Mais, enfin, la sinistrose, entretenue par des
    organes d’ici et de là-bas, a fini par trouver un argument
    qui peut tenir la route. La chute du cours des
    hydrocarbures. Cela, parce que les recettes extérieures
    sont très fortement dépendantes de ce cours
    et elles ont drastiquement baissé. Ce qui devrait
    affaiblir, de façon notable, les capacités de l’Etat à
    soutenir le niveau de consommation actuel de la
    population (alimentation et énergie), à fournir des
    aides sociales et/ou économique et à assurer la gratuité
    d’un certain nombre de services publics.
    Attitude dénoncée par les institutions financières
    internationales, par des partis politiques, des «économistes
    » et une partie de la presse nationale, qui y
    voyaient, respectivement, une «hérésie économique
    » et une «entrave à l’économie de marché», de
    «l’assistanat» ou du «populisme», une «prime à
    l’émeute», un «achat de la paix sociale». En accompagnement
    venait une alerte sur le risque que les
    Algériens accepteraient très mal des mesures d’austérité
    qui les priveraient des généreux transferts de
    l’Etat. Ce risque se traduirait par une explosion
    sociale dévastatrice qui ouvrirait une période d’instabilité,
    similaire ou plus grave que celle qui a marqué,
    pour les mêmes causes, la fin des années 1980
    et les années 1990. Et voilà que le scénario semble
    se présenter et fait jubiler d’avance une certaine
    opposition, dont les Frères, qui fait plutôt dans la
    mécanique que dans la pensée élaborée. Il faut dire
    que le pouvoir n’est pas en reste, quand il sonne
    l’alarme, n’exprime pas la moindre intention de corriger
    la trajectoire économique et laisse supposer
    qu’il aura recours à certaines coupes sombres dans
    son budget. Alors que rien ne justifie de semer la
    panique, mais de réaliser qu’il n’y a rien de plus risqué
    que de maintenir un cap qui, justement, n’a pas
    sorti le pays de sa dépendance, pour une grande
    part, de la manne pétrolière, pas même d’assurer sa
    sécurité alimentaire et de l’avoir laissé soumis aux
    trois bourses qui fixent les prix de la nourriture (des
    céréales en particulier) dans le monde sur les marchés
    à terme, les bourses de Chicago, de Kansas
    City et de Minneapolis. Tandis que les mythiques
    investissements directs étrangers (IDE) tant louées
    par nos «experts» locaux, sont restés bien timides,
    malgré le fait d’avoir subordonné le commerce extérieur
    aux besoins des économies industrialisées.
    Encore heureux qu’on n’ait pas eu droit aux capitaux
    «toxiques» qui auraient parasités notre système
    financier et qui auraient obligés à la mobilisation
    de la rente pétrolière, non pas à soutenir nos entreprises
    en difficultés, mais à combler des gouffres
    financiers sans fond. Il n’est donc pas trop tard,
    2015 n’est pas 1988, la dette extérieure est quasi nulle
    et le Trésor public n’est pas en faillite. Il n’est
    pas question de nationalisme, qui ne procède souvent
    pas, de toute façon, des mêmes référents que
    le profit, il est question de la sécurité de dizaines de
    millions d’Algériens et à ce titre, il y a matière à s’inquiéter.
    A.H

    Anonyme
    26 août 2015 - 15 h 57 min

    Voici quelques titres d’un
    Voici quelques titres d’un quotidien national qui en disent long:
    -Abdelwahab Bouchareb. Architecte-urbaniste et professeur d’université
    «Il y a absence totale de culture urbaine»
    -Quatre morts et une douzaine de maisons endommagées
    -Constantine sous le chaos des eaux : Négligence coupable !
    -Deux dangereux terroristes éliminés par les forces de l’ANP à Jijel
    -Des armes à feu saisies à Oran

    Et tant d’autres titres et recits qui montrent que notre pays coule.

    Mokrane
    26 août 2015 - 15 h 35 min

    Céder leurs postes ? Jamais
    Céder leurs postes ? Jamais le Clan d’Oujda et ses sbires kabyles de service ne cederont le pouvoir tant que le baril de petrole n’atteint pas et de facon durable, les 9 $.

    Mohamed El Maadi
    26 août 2015 - 15 h 28 min

    On parle de deux à trois ans
    On parle de deux à trois ans de répit financier et ensuite le FMI frappera la porte.C’est le scénario de 1986 , octobre 1988 , décennie noire.C’est qui va se passer si les responsables ne quittent pas le pouvoir .Fin 2017 pénuries de produits ,grogne dans la population , prise d’assaut de certains bâtiments d’Etat ,intervention de l’armée , coup de feu tiré sur la foule , une vingtaine de morts , publications sur les réseaux sociaux des corps des victimes , condamnation du massacre par la communauté internationale , reprise d’attentat sanglant ,pillage de magasin, emeutes , vol et viol se répandront dans toute l’Algerie Le Sud fera secession , un vote de l’ONU permettra l’intervention americaine ,création de comités du Sahara libre et indépendant et dans la foulée la Kabylie fera de meme , fuite massive des algeriens , bateau rempli de migrants ; les responsables en fuite , certain même lapidé et battue à mort par la foule.Voila ce qui nous attend si vous ne partez tout de suite alors partez avant qu’il ne soit trop tard ..

    Alilou
    26 août 2015 - 15 h 21 min

    YG, vous êtes un (…), bon à
    YG, vous êtes un (…), bon à rien et délateur! A votre place je démissionnerais et j’irais me cacher mon visage et me faire petit. Je sais très bien que vous êtes expert en baratinage et en réseau houmiste. Ingrat et menteur! Faites comme siedek des ouvrages de qualités à l’échelle nationale et internationale au lieu de nous embobiner sur des interviews qui n’ont ni têtes ni queue et vous cacher ensuite comme directeur de cabinet. (…)

    anonyme
    26 août 2015 - 15 h 12 min

    Nous savons tous que les
    Nous savons tous que les chefs de cabinet des ministères cachent l’incompétence de ceux et celles qu’ils sont censés servir ainsi que la leur, tout en protégeant leur « koursi » D’où en Algérie toutes nos institutions sont bloquées et donc ne servent à rien.

    Ayant travaillé durant deux années au ministère de la culture, je me rappelle que les standardistes recevaient des ordres directement de ces memes chefs de cabinets et autres secrétaires pour ne passer personnes.

    Résultats personnes ne travaille, tout le monde appelle ces amis ou fait son business. à part les appels officiels reçus sur une autre ligne sécurisée. je me suis toujours demandé à quoi servaient les ministère mais aussi inquiété pour ce qui nous attend dans le futur. Car personne ne veut travailler ni construire ce pays. Ils sont tous là pour profiter de la corruption et de l’état de non droit.

    Anonyme
    26 août 2015 - 15 h 04 min

    Finalement c’est la seule
    Finalement c’est la seule chose qu’aura réussie bouteflika : le  » coulage du pays »…
    Il a réussi un tel exploit avec un baril à plus de 100 dollars pendant 15 ans….

    C’est un cas d’école unique en termes de médiocrité absolue. Mais seuls ceux qui ne connaissaient pas le type pourraient s’étonner…

    Assurément les années bouteflika ont consommé et vont consommer des générations d’Algériens..Il faudra l’enseigner à l ENA et dans les universités. C’est effarant ce qu’un homme et sa famille peuvent causer comme dégâts tout en ayant une manne financière gigantesque…

    En conclusion : Mission accomplie pour bouteflika ( avec l’aimable concours de la France…)

    Anonyme
    26 août 2015 - 15 h 01 min

    @ leila dz (non vérifié) |
    @ leila dz (non vérifié) | 26. août 2015 – 14:07
    Nous sommes en 1993, en plein HCE. La frontière avec le bordel à ciel ouvert était…ouverte. Les cadres de la xilaya de Tlemcen avaient pour habitude d’aller à Oujda et même plus loin, faire leurs courses et se payer du bon temps. Ce’est ce qui est arrivé à l’un d’eux (qui se reconnaitra). S’étant tapé une cuite du tonnerre en galante compagnie, le-dit cadre fut ramassé sans ménagement par la police locale qui l’amena se décuiter au poste. Le soir, au JT de 20 heures, est annoncé un remaniement ministériel avec la nomination au poste de secrétaire d’état de notre cadre-Bacchus, que les autorités marocaines extrairent en vitesse de sa cellule, le rendirent présentable et le ramenèrent à la frontière avec tous les égards. Quelques mois plus tartd, la frontière se trouva fermée et notre (éphémère) ministre n’en fut plus et se trouva une bonne raison de noyer son dépit dans des beuveries tout aussi mémorables que celle de Fès……

    Anonyme
    26 août 2015 - 14 h 57 min

    Il est peu probable que
    Il est peu probable que l’injonction de quitter en urgence leur postes par les gouvernants actuels, faite par l’écrivain de la présente chronique . soit suivie d’effet. Ce n’est pas si simple!

    Anonyme
    26 août 2015 - 14 h 23 min

    Anonyme 13:08, ceux qui
    Anonyme 13:08, ceux qui « brodent des linceuls à l’Algérie » sont ceux et celles qui brossent 24/24 aux « Chefs » quels que soient leur niveau aux dépens évidemment de la compétence et de la rigueur, pourvu qu’ils aient leur bénédiction sonnante et trébuchante. Ils sont aussi responsables de la catastrophe dans laquelle s’enlise l’Algérie aujourd’hui.

    leila dz
    26 août 2015 - 13 h 07 min

    A monsieur YG
    (@ YG (non


    A monsieur YG

    (@ YG (non vérifié) | 26. août 2015 – 12:27

    Mr Rabah Toubal,

    je sais que vous auriez pu faire un grand ministre avec les aptitudes que vous avez, votre patriotisme et vos compétences… et bla bla bla)

    J’ai l’impression que vous êtes un manipulateur et un machiste à 100% qui pense que les femmes Algériennes ne valent rien du tout. Je sais très bien de qui vous parlez. Non seulement vous faites honte, vous manquez de roudjoulia mais surtout d’honnêteté. Vous avez oublié que c’est elle qui vous a placé la ou vous êtes actuellement.

    Honte à vous!

    Leila (qui n’est pas dupe!)

    Incompétences Présidentielle et Gouvernementale
    26 août 2015 - 12 h 47 min

    Les patrons des trois piliers
    Les patrons des trois piliers du pouvoir affichent, à leurs postes actuels, des records de longévité (DRS 25 ans, PR 16 ans et CEM 11 ans) qui n’existent que dans les pays les plus reculés. Bien que septuagénaires, ils ne montrent aucun signe ou volonté de retrait de la vie politique malgré le honteux mensonge de « Tab Ejnana » qui date de 5 ans déjà. Je fais le pari, qu’aucun d’eux ne sait utiliser un ordinateur. Si au moins le gouvernement était composé de ministres bien formés et compétents. Jetez un coup d’œil sur leurs CV sur le site du Premier Ministère. Rares sont ceux qui affichent des formations universitaires dignes des postes qu’ils occupent. Notre grand argentier (hâbleur en chef), censé gérer les cordons de la bourse, détient une modeste licence en sciences commerciales et un obscur « certificat de spécialisation », il affirme également avoir suivi des études doctorales (!!??) sans préciser s’il a obtenu un doctorat, ce qui laisse penser que ce n’est pas le cas. Que dire du Bouchouareb (dentiste qui n’a jamais exercé) qui prétend faire de l’Algérie un grand pays industriel alors qu’il a été incapable de maintenir en fonctionnement l’usine agro-alimentaire (chips et purée) qui lui a été offerte sur un plateau grâce à son état civil? Comment voulez vous, dans ces conditions, que ce pays avance?

    Anonyme
    26 août 2015 - 12 h 08 min

    Toutes les occasions sont un
    Toutes les occasions sont un prétexte pour jeter l’anathème sur les pouvoirs publics (pouvoir) qui voleraient, pilleraient……. !!!
    Ce type d’accusation nous rappelle les propos tenus par une personnalité qui occupa le poste de Premier Ministre (22/01/1984 au 5/11/1988) sur les montants de pots de vin et détournements qu’il avait évalués, de façon empirique-irresponsable-, à 26 milliards de dollars.
    Cette sortie médiatique qui fit scandale à l’époque, fut le début de la mise au rebut de toute la politique d’industrialisation du Président Boumediene que Mr Belaid Abdeslam (Homme de courage, intègre, austère… y compris avec lui-même), ses collègues et ses collaborateurs de tout horizon, avaient réalisé.
    La suite nous la connaissons : les manifestations de 1988 et la démission de ce Monsieur de son poste de premier Ministre.
    La décennie noire qui a failli emporter notre pays, fut la conséquence directe de cette époque faite de renoncement, de défaitisme…..
    Ceux qui, tous les jours, matin, midi et soir, brodent des linceuls pour notre pays sont de la classe de ce Abdelhamid…….. la science !!!

    DZDZ
    26 août 2015 - 11 h 48 min

    Il ne doivent pas juste céder

    Il ne doivent pas juste céder leurs postes, il doivent restituer au peuple tout ce qu’ils ont volé, Ils doivent rendre des comptes à la justice. Et puis qu’ils dégagent de l’Algérie.

    YG
    26 août 2015 - 11 h 27 min

    Mr Rabah Toubal,
    je sais que

    Mr Rabah Toubal,

    je sais que vous auriez pu faire un grand ministre avec les aptitudes que vous avez, votre patriotisme et vos compétences.

    mais avec vos articles vous êtes en train de nous déshabiller, il n’y a pas que des voleurs et des corrompus dans ce gouvernement illégitime. Il y a monsieur Rabah Toubal des fonctionnaires, avec une réelle expérience, qui aime ce pays et qui cherche à sauver ce qui peut être sauvé.

    Je suis le chef de cabinet d’un ministère que vous connaissez sans doute.

    Il est vrai que la mission d’un chef de cabinet ministériel est de faciliter le travail, filtrer aussi ce qui n’est pas du ressort du ministre ou de son administration, mais dans ce contexte, et ce qui c’est passé le mois dernier, je sais pertinemment que j’aurais perdu ma place, car le ministère auquel je fais allusion, est piloté par une personne qui ne connait absolument rien du tout, n’a aucune compétence, ni projet ou programme. je suis obligé de tout faire moi même du matin au soir, comme de lui préparer les textes et tout ce qu’elle doit dire lors des rencontres, avec des homologues étrangers ou d’événements importants, je ne dois pas faillir à ma mission, et faire tête basse.

    J’ai une famille, des enfants et je n’ai pas envie de me retrouver avec des procédures pénales, sans travail et grillé..

    Je suppose que vous êtes assez intelligent pour comprendre ma situation, je vous ai envoyé plusieurs émail sous le pseudo YG, et vous ne m’avez pas répondu. Espérons que cette fois vous puissiez comprendre mon comportement injuste envers vous et qui surement vous a fait penser à celui des républiques bananières et corrompues.

    Merci de votre compréhension et encore excusez moi.

    Un fonctionnaire qui aime son pays

    Antar
    26 août 2015 - 11 h 17 min

    Et pourtant ils assassinent
    Et pourtant ils assassinent notre pays avec le silence complice des agneaux lâches et serviles que nous sommes devenus.
    Nous méritons pire que cela.

    raselkhit
    26 août 2015 - 10 h 38 min

    Pour Savoir ce qu’est une
    Pour Savoir ce qu’est une « Foggara » qui donne au pluriel « fagaguir » il faut être au minimum ALGERIEN et tous ceux qui ne connaissent pas ce mot ne sont que des étrangers qui peuvent retourner chez eux Donc une bonne fois pour toute vos gueules allez apprendre l’algérien sous toutes ses formes Nous ne sommes pas obligé de parler Egyptien libanais ou émirati pour se faire comprendre .Nous ne pouvons être responsable de l’analphabétisme de tous les ignorants et autistes

    lhadi
    26 août 2015 - 10 h 02 min

    La répétition est l’art de la
    La répétition est l’art de la persuasion !!!

    Ainsi je réitère ma contribution pour semer l’alarme sur la dégradation de la situation commerciale des pays importateurs de pétrole ainsi que celle de la conjoncture économique des pays capitalistes industrialisés qui sont les causes de la baisse du baril des hydrocarbures.

    L’Algérie dont les ressources provenant de la hausse du pétrole ont certes facilité la vie pendant quelques années, mais la production hors hydrocarbures reste modeste.

    En clair, la réduction des revenus pétroliers aura des conséquences graves tant pour la population que pour l’économie du pays et cela malgré le principe de précaution si souvent vanté par les pseudos experts qui n’ont jamais pu prévoir une quelconque crise.

    En faisant obstacle à tout effort de modernisation et d’industrialisation, plus généralement, au développement économique qui ne peut prendre source que du développement politique et culturel, les maîtres du pays, de par leur certitude, condamne, ad vitam aeternam, le pays au diktat de la fluctuation du baril du pétrole et de la parité eurodollar.

    Depuis quelques années, je n’ai cessé, ici et là, de souligner cette dépendance négative et dénoncer les responsabilités dominées par les ambitieux et les démagogues qui permettent à l’armée de blattes et de cloportes d’investir toutes les institutions de la république.

    La solution ne peut provenir que d’une bonne gouvernance où les parvenus et les opportunistes versatiles, instruments passifs de l’oligarchie de fait, n’auront plus place.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Mahmoudi
    26 août 2015 - 9 h 32 min

    Bouteflika a belle et bien eu
    Bouteflika a belle et bien eu sa revanche contre l’Algérie et les Algériens qui ne l’ont jamais fait confiance. Il les laissera à terre avant de trépasser.

    Anonyme
    26 août 2015 - 9 h 01 min

    Partir ou????
    Et ils le

    Partir ou????
    Et ils le savent …..c est la fuite en avant ..
    Tôt ou tard ….ils devront rendre des comptes …..tout est fait pour occulter ce moment …mais l histoire nous a appris que l on échappe jamais a son châtiment …..

    zorba
    26 août 2015 - 8 h 28 min

    « Avec sa gouvernance
    « Avec sa gouvernance catastrophique du pays…Fuite en avant suicidaire…Population nourrie,vétue,soignée de l’étranger…L’état serait seul responsable?Les autoroutes,hopitaux,barrages,immeubles,la fameuse grande mosquée d’Alger,tout cela construit par des ouvriers étrangers avec des centaines de milliers de chômeurs,de fonctionnaires parasites,ce n’est pas un énorme gachis?Les algériens se précipitent-ils pour occuper des emplois éffectués par d’autres?La mosquée se construit et tous les jours des desoeuvrés regardent et critiquent l’avancée des travaux,un comble.Le peuple a les dirigeants qu’il merite.

    Amine
    26 août 2015 - 8 h 19 min

    Pauvre Algérie
    Pauvre Algérie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Antisioniste
    26 août 2015 - 8 h 09 min

    Salamou 3alikoum
    Vous êtes un

    Salamou 3alikoum
    Vous êtes un traitre, un félon Mr Rabah Toubal, comment osez vous douter du « cerveaux » incomparable de fakhamatouhou 4eme de mandat et unique dans son genre?
    Comment osez vous mettre en doute les décisions de son fakakir et sa clique (qui ne décident de rien mais font se qu’on leur dit de faire) pour le bien du peuple et du pays?
    Tout va très bien, nous sommes intouchable, invulnérable, et au-dessus de toutes les catastrophes qui s’annonce, mais qui vont évité notre pays, bien entendu.

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