Lutte contre l’extrémisme : Ghlamallah rencontre le président du Conseil des musulmans d’Allemagne

rencontre Ghlamallah
Bouabdallah Ghlamallah, président du Haut Conseil islamique. New Press

Le président du Haut Conseil islamique (HCI), Bouabdallah Ghlamallah, s’est entretenu, mardi, à Alger avec le président du Conseil central des musulmans d’Allemagne, Aiman Mazyek sur la lutte contre l’extrémisme et le renforcement des liens entre les deux instances.

Lors de cette rencontre, Aiman Mazyek et la délégation qui l’accompagne ont présenté un aperçu sur les activités du Conseil central des musulmans d’Allemagne, qui regroupe toutes les communautés musulmanes en Allemagne, exprimant leur volonté «de profiter de l’expérience algérienne en matière de lutte contre l’extrémisme», a indiqué, mercredi, un communiqué du HCI.

Mayzek a souligné «l’importance de renforcer les liens entre les deux instances à travers notamment l’échange de visites pour permettre à certains milieux européens de profiter davantage de cette expérience». Ghlamallah a salué ces propositions, appelant les membres de la délégation allemande à «représenter dignement l’islam et les musulmans en Allemagne».

Ghlamallah a invité les membres de la délégation à prendre part au colloque international qui se tiendra en avril prochain à Alger sur «l’enseignement de l’islam aux communautés musulmanes à l’étranger», a conclu le communiqué.

R. N.

Comment (9)

    Moskosdz
    17 novembre 2017 - 0 h 18 min

    Sans être spécialiste en religion,mais à ma connaissance aucun chrétien ne peut émettre de décision religieuse sans l’aval du Vatican,chez les Juifs,seul le grand Rabbin d’Israël en décide,inversement chez les musulmans du Pakistan jusqu’en Indonésie et de Syrie en passant par l’Égypte jusqu’en Afrique du nord,chacun chante à sa façon,qui a tort,qui a raison et qui l’on devrait écouter,on ne sait toujours pas.

    Mello
    16 novembre 2017 - 13 h 13 min

    Pourquoi en Algerie, on l’appelle Haut conseil islamique et en Allemagne on le denomme conseil central des musulmans ? Voila le pourquoi du comment cet islam radical se propage en Algerie.

    Rayes Al Bahriya
    16 novembre 2017 - 10 h 29 min

    Goethe disait: Heureusement que j’ai compris l’islam avant De connaître les musulmans.
    El FAHEM yefhem.

      Judas
      17 novembre 2017 - 11 h 12 min

      « Il est souvent plus sûr d’être enchaîné que d’être libre ».Franz Kafka. El FAHEM yefhem.

    Anonyme
    16 novembre 2017 - 9 h 54 min

    Quels universites a t il frequentees,quel est son niveau intellectuel et scientifique…..????

    Judas
    15 novembre 2017 - 19 h 57 min

    Comment lutter contre l’extrémisme islamique heu ! islamiste , alors que le vers est dans le fruit. C’est comme si Hitler rencontrait Mussolini pour lutter contre le fascisme .

      hussein
      15 novembre 2017 - 21 h 56 min

      De part sa richesse, la langue arabe était déjà complexe et difficile pour les arabes d’avant, et aussi la compréhension joue un rôle important, l’intellect est primordial pour comprendre l’ensemble, on n’est pas tous des malek bennabi qui a subi un discrédit durant toute sa vie, mais quand ça devient complexe et difficle à comprendre, on fait sa prière, son ramadan, donne l’aumone et on fait le pelerin, et on y ajoute rien (hadith) et c’est la définition propre à l’islam, le musulman, il lui arrive de boire l’alcool, de voler par souci ou influence, voire fourniquer, mais jamais (normalement) mentir, un ordre prioritaire, le mensonge sous toutes ses formes, corruption, falsification, manigance, prédation par ruse, à combattre prioritarement … rappelle toi, quand l’algérie a réagit impacablement à la russe c’est que l’algérie ne respectait pas les libertés individuelles, mais quand elle tolère modérèment les libertés individuelles c’est que l’islamisme s’empare de la société, pathétique comme racourci comme l’était aussi le « qui tue qui » … au fait, c’était de l’importation inutile, non productive voire destructive !

    cheikh terfass
    15 novembre 2017 - 18 h 52 min

    Et pendant ce temps là on apprend, dans les médias, que « Selon le ministre des Affaires Religieuses, son département va faire appel à des imams de la mosquée El-Azhar d’Egypte, de la mosquée de la Mecque, du Yémen et du Bahreïn pour «former les imams» qui vont officier à la Grande-Mosquée d’Alger. Pour atténuer l’impact d’une telle initiative, le ministre des Affaires religieuses a expliqué que son département va exiger à ce que «le référent religieux national» soit enseigné lors de ces sessions de formations. » !!!!!!
    Et le pire comme toujours, l’excuse ou la justification est pire que l’acte lui même! « exiger à ce que «le référent religieux national» soit enseigné lors de ces sessions de formations. cela renvient à endosser aux chacals et aux loup (la cause de la décennie noire) la mission d’apprendre aux tendres agneaux que nous sommes de marcher comme des moutons que nous étions; le comble de l’absurdité!!!! en effet si nous avions « un référent religieux national » comment se fait il qu’on a besoin encore d’e recourir (encore une fois) à des orientaux pour nous l’apprendre!????? apparemment la décennie noire est apparemment déjà du passé, et en amnésique que nous sommes toujours, nous somme deja prêts à la rééditer!
    Et en pense quoi nous augustes « Oulémas », ou notre association de oulémas, justement!??? à quoi bon de continuer à la surnommer « oulémas » si meme la plus basique des missions, former des imama selon « le référentiel algerien » en sont incapable de la remplir!???? alors on attend la réponse de mr guesoum le caravanier et de toute sa caravane de ouléma!???

      Algérie Authentique
      15 novembre 2017 - 22 h 27 min

      ce que vous rapportez là est catastrophique , notre référent national risque de riper vers daesh

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