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Un important réseau de trafic de drogue démantelé : 13 arrestations et plus de 110 kg de cannabis saisis

Dans une opération d’envergure, le Service central de lutte contre le crime organisé (SCLCO) a réussi à démanteler un dangereux réseau criminel spécialisé dans le trafic international de stupéfiants.

Selon un communiqué officiel de la DGSN, treize individus, dont une femme, ont été interpellés au terme d’une enquête minutieuse. Les services de sécurité ont également saisi 110 kilogrammes et 800 grammes de résine de cannabis, introduits depuis le Maroc.

L’intervention est le fruit d’un travail de renseignement et d’investigation approfondi, ayant permis d’identifier un baron local de la drogue. Ce dernier entretenait des liens directs avec un fournisseur marocain, opérant dans le trafic transfrontalier.

Le baron algérien projetait de réceptionner une importante cargaison de drogue dans les environs de Blida. Grâce à la surveillance discrète des enquêteurs, la police est parvenue à intercepter le trafiquant en flagrant délit de réception de la marchandise, en compagnie de cinq complices.

L’élargissement de l’enquête a permis d’arrêter l’ensemble des membres du réseau, portant le total des suspects à treize personnes. L’un d’entre eux tentait de fuir le territoire par voie maritime, via une embarcation de migration clandestine.

Outre la drogue, les policiers ont mis la main sur cinq véhicules de tourisme, deux motos et une somme de plus de 128 millions de centimes.

Les personnes arrêtées ont été présentées devant le procureur de la République près le pôle pénal spécialisé de Sidi M’hamed à Alger, pour répondre de faits liés au trafic international de stupéfiants et participation à un réseau criminel organisé.

R. N.

15 Commentaires

      • Voilà la réalité du royaume de la débauche et de la perdition. Un pays qui a l’outrecuidance de se faire passer pour un voisin bienveillant et plein de bonne volonté à notre égard. Une narcomonarchie qui nous innonde de ses drogues. Un état voyou qui empoisonne des populations entières.
        Et ça ose tendre la main et réclamer l’ouverture des frontières. La main tendue étant elle aussi une main empoisonnée.

  1. BRAVO aux services de sécurité et de la lutte contre le crime organisé…. tout ça est bien beau, mais doit-on nous contenter de tenir des statistiques à longueur d’années sans résultats efficients, en incarcérant ces criminels à El Harrach ou à Koléa et les relâcher quelques mois après pour leur donner l’occasion de récidiver ? Voilà une méthode clémente de traiter un problème de crime organisé et de santé publique (quand nous voyons les graves répercussions sur la santé mentale de nos jeunes).
    Inutile de sortir de grandes écoles pour savoir qu’avec ce genre de d’individus il faut une fermeté exemplaire pour l’éradication de ce fléau qui gangrène notre société…. notre économie et notre sécurité.
    Ce qui me fait réagir violemment c’est le fait dommageable que ces quantités industrielles de stupéfiants traversent une frontière qui est supposée hermétiquement fermée et surveillée, jour et nuit, par la douane, les services de sécurité et l’armée. Je suppose que ce qui est appréhendé, de temps à autre, ne représente que la partie visible de l’iceberg !!!!
    Pourtant il existe bien des solution radicales qu’une majorité de la population réclament depuis la nuit des temps. Il y a la peine capitale, tel que pratiquée par l’Iran, l’Arabie Saoudite et bien d’autres pays, pour les barons et les gros bonnets de ce trafic hautement dangereux mais aussi l’incarcération à vie dans les geôles sahariennes. C’est à ce prix que ce fléau pourra éventuellement être combattu efficacement.
    La balle est dans le camps de la justice algérienne seule habilitée à prendre de telles décisions salvatrices.

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  2. Les décisions qui façonneront l’avenir de notre pays et des générations futures dépendent de la solidité de nos frontières occidentales. Il est crucial que notre gouvernement trouve une solution – une solution extrêmement difficile à transiger, pratiquement insurmontable et extrêmement difficile à contourner – pour nous défendre contre ces malfaiteurs, ces criminels et ces instigateurs du Makhzen et de leur trafic de drogue.
    Les fonds de réserve que nous avons outre-mer ne sont-ils pas destinées pour garantir notre sécurité, pour réagir aux situations imprévues et pour gérer les perturbations qui pèsent sur notre pays? Employons-les, au moins, pour assurer l’avenir de nos enfants. Et si nécessaire, construisons des sections de murs le long de nos frontières dont les zones à haut risque pour le trafic de drogue.

    Nos services de sécurité, aussi modestes soient-ils, sont engagés quotidiennement dans une lutte acharnée contre le premier producteur mondial de stupéfiants. Ces individus méprisables ont constamment recours à des méthodes inimaginables pour détourner notre attention.

    On a pu observer, partout dans le monde, que les États-Unis construisent un grand mur entre leur territoire et le Mexique, motivés par le phénomène du trafic de drogue transitant par ce pays. Y a-t-il seulement eu une seule nation qui s’est opposée à la construction de ce mur? Notre situation devient de plus en plus périlleuse: nous sommes en contact direct avec les producteurs eux-mêmes, notamment MimiSexe et ses acolytes, sans omettre des machinations de ses complices étrangers qui ciblent notre nation.

    Je préférerais voir les mères Makhzen s’effondrer et pleurer avec des torrents de larmes plutôt que de voir nos propres mères hurler de détresse pour leurs enfants devenus toxicomanes, en guise désespérément de la drogue, sous leurs yeux. Parfois, des personnes impliquées dans le trafic de drogue racontent des histoires glaçantes et terrifiantes de mamans suppliant les dealers de leur vendre qu’une dose pour sauver leurs enfants.
    Je pense qu’aucune personne véritablement honorable sur cette terre ne saurait tolérer la vision d’enfants périssant à cause de la drogue, sauf si elle était un zombie ou un membre insensible et inhumaine du Makhzen.

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    • Le makhzen nous a sorti de son chapeau la carte du cannabis thérapeutique. De l’enfumage comme d’habitude. La consommation de cannabis est un véritable danger pour notre jeunesse et l’ensemble de notre société. Elle a des effets néfastes et cause des problèmes sociaux et économiques très graves.
      Certains prennent cette drogue comme une sorte de béquille pour le moral. Consommer régulièrement et à forte dose fait perdre le contact avec la réalité.

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  3. Il y a environ 3 semaines de cela un trafic d exctasy on parle de millions de pillule saisie au port Marseille par la police française le tout produit en Hollande distribué exclusivement par des marocains avec la complicité d algerien véreux. Concernant les drogues ils faut etre intransigeant au niveau des peines encourues perpertuité ainsi les trafiquants ainsi que les complices de ceux ci quand ils verrons le bénéfice risque croyez moi il rentreront vite dans le droit chemin . Laisser installer en Algérie ce fléau équivaut a un corps malade envahis de métastases

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  4. Félicitations à nos forces de sécurité !
    « introduits depuis le Maroc » encore une ÉNIÈME fois la narco-terroriste-pédophile-monarchie doit être reconnue au niveau juridique comme telle à l’international avec sanctions blocus embargo.
    Qu’attend l’État Algérien pour expulser manu militari en 17 secondes tous les makhnazis et déchéance de nationalité et tous les subsahariens et sahéliens c’est un PRÉ-REQUIS outre la clochardisation de l’Algérie criminalité terrorisme accrus une colonisation qui ne dit pas son nom.

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  5. la peine de mort pour du canabis faut pas exagerer mais une peine de prison de plusieurs annees en regle generale c est 10 ANS au niveau international par contre la peine de mort pour les crimes d enfants j approuve

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  6. Toujours le MAROC qui inonde pour casser le développement du pays,

    Il faudrait que l’Algérie fasse comme Mr Donald Trump avec les trafiquants de drogue du Vénézuela, il bombarde, il liquide toutes ces crapules qui empoisonnent nos villes car à la base, c’est l’Etat marocain qui produit cette drogue.

    Cela fait combien d’années que l’on a de la drogue ? Ca suffit, il faut bombarder.

    Ils ont le cerveau à l’envers ces marocains de merde

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  7. (…)
    L’Algérie est en état de siège intérieur. Les routes, les frontières et les quartiers sont devenus des artères par lesquelles s’infiltrent des cargaisons de mort. Des opérations récentes montrent l’ampleur du phénomène : des saisies significatives de cocaïne, d’héroïne et des centaines de milliers de comprimés psychotropes ont été annoncées par les services nationaux, preuves matérielles qu’un marché illicite florissant ronge l’ordre public et fragilise la jeunesse.

    Quand la drogue n’est plus un fléau marginal mais une entreprise organisée, elle cesse d’être un simple problème de police et devient une guerre. Une guerre dont les belligérants ne portent pas toujours l’uniforme du pays. Ils opèrent avec des réseaux transnationaux. Ils financent la corruption. Ils produisent l’anomie. Les conséquences sont visibles : montée de la violence, contournement de l’autorité de l’État, recrutement de jeunes vulnérables, pénétration des institutions locales. Les rapports internationaux portant sur les flux et les routes de la drogue placent la région maghrébine dans un maillage où transit et demande mondiale se rencontrent.

    L’État dispose aujourd’hui d’un choix politique clair. Soit il tolère une lutte au ralenti, symbolique, censée rassurer sans frapper l’ossature des réseaux. Soit il riposte avec la force juridique nécessaire pour dissuader, isoler et détruire ces entreprises criminelles. En droit algérien, la peine capitale reste inscrite et prononcée, même si une moratoire de fait empêche son application pleine et entière depuis les années 1990. Cette tension entre texte et pratique prive la lutte contre la criminalité organisée d’un outil de dissuasion maximale que réclament des pans entiers de la société.

    Argument politique et moral. Lorsque l’État est confronté à un ennemi intérieur qui vise explicitement la jeunesse comme ressource et carburant, la proportionnalité exige une réponse à la hauteur du crime : neutraliser les têtes de réseau, confisquer les avoirs, et utiliser les peines maximales prévues par la loi pour signifier l’intolérance. La peine de mort, appliquée dans le cadre d’un procès public, contradictoire et irréprochable, n’est pas un appel à la vengeance. C’est un instrument de souveraineté clair : la collectivité se protège et affirme que la trahison sociale ne restera pas impunie. L’argument est politique avant d’être pénal. Il s’agit de restaurer l’autorité et la confiance.

    Effet politique recherché. La mise en œuvre cohérente d’une politique pénale sévère viserait plusieurs objectifs : réduire l’offre en frappant les logisticiens et financiers, dissuader les candidats au trafic, délégitimer les réseaux aux yeux des populations locales, et restaurer la souveraineté territoriale. La sanction ultime doit s’inscrire dans une stratégie plus large : renforcement des contrôles aux frontières, coopération régionale et internationale, programmes de prévention ciblés pour la jeunesse, politiques sociales visant à retirer la base de recrutement des réseaux. Sans cette approche intégrée, la peine seule ne suffira pas.

    Contre-arguments anticipés et réponse. Les objections — risque d’erreurs judiciaires, effet illusoire sur la criminalité, pressions internationales — sont légitimes. Elles imposent les garanties procédurales et une communication d’État stratégique. La souveraineté d’un peuple comprend le droit de déterminer ses réponses pénales. En période de guerre sociale lancée contre la nation, l’option répressive strictement encadrée apparaît comme une conséquence logique et défendable.

    Conclusion. L’Algérie ne peut plus traiter la crise de la drogue comme un problème périphérique. Si l’objectif est de protéger la jeunesse, restaurer l’autorité de l’État et briser les réseaux qui opèrent comme des États dans l’État, alors l’exécution de la peine maximale prévue par la loi, assortie de garanties procédurales strictes et d’une stratégie globale, doit être débattue et mise en œuvre. La faiblesse et l’indécision n’ont jamais été un remède. Elles furent, trop souvent, des facilitateurs. Il est temps que la puissance publique remette l’ordre et la vie collective au-dessus des intérêts destructeurs d’une oligarchie criminelle.

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  8. @ Anouar Macta, Je partage entièrement votre observation brillamment exprimée et clairement présentée.
    Je crois que notre ANP doit émettre un avertissement clair et sans ambiguïté: l’Algérie est en guerre contre les trafiquants de stupéfiants et les traîtres. Il est nécessaire d’accroître le nombre de pénitentiaires dans le Sahara, en particulier pour nous débarrasser des trafiquants de drogue, et de dédier les prisons du nord aux infractions mineures. Ces établissements pénitentiaires, conçus comme des camps pour les délinquants impitoyables qui répandent la mort et le handicap, devraient être situés dans des régions désertiques stratégiques, loin de l’œil public, sécurisés par du fil barbelé et des mines antipersonnel. Il est tout aussi crucial que le gouvernement revoie les sanctions infligées aux détenus impliqués dans le commerce de la drogue, les infractions liées aux armes interdites, ainsi qu’aux traîtres et espions qui profitent actuellement de nos pénitenciers du nord, et envisage d’intensifier ces sanctions d’un ou deux tiers.

    On n’en est plus à faire des rondes, des contrôles ou des interventions, mais à mener une guerre ouverte contre ces individus malfaisants qui ne montrent aucune pitié pour nos enfants, pas davantage que pour notre foi et nos coutumes arabo-algériennes.

    Notre ANP aura pour mission de traiter les questions liées aux drogues illicites. Elle aura la responsabilité de superviser les rôles d’agent de police, d’enquêteur et de magistrat, tout en possédant une maîtrise approfondie du droit. L’Algérien respecte, chérit et se glorifie de son humble ANP. Nous n’avons pas l’intention de mettre en doute l’intégrité de notre force policière et des autres instances engagées pour la sécurité et le bien-être de la population.

    Il est incontestable que cela aura un impact sur le comportement du simple transgresseur, permettant ainsi au citoyen de jouir paisiblement de sa liberté en Algérie.

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  9. et pendant ce temps, notre gouvernement algérien, refuse de dégager le millions+ de parasites bousbiriens qui sont une bombe à retardement en Algérie (cf sansal qui complotait avec isramerde)

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