Journal-trottoir
Par M. Aït Amara – Un encadré de Libération a provoqué l’ire et la satire des internautes algériens. Le journal socialiste français «indépendant», qui ne doit sa survie qu’aux subsides de l’Etat tant plus personne ne le lit, persévère dans sa défense des terroristes qu’il continue de qualifier d’«islamistes armés» et auxquels il dénie le qualificatif que ce même journal attribue, pourtant, aux tueurs du Bataclan et de la Promenade des Anglais.
Derniers mouillements du canard de journalistes frustrées – José Garçon, Florence Aubenas – qui a, des années durant, couché sur papier ses entrefilets pour faire du bouche-à-bouche à un GIA dont l’érection des bataillons de la mort a été rendue impuissante par l’armée algérienne raide et inflexible.
Les Français, qui cherchent encore les causes profondes de la violence extrémiste qui les accable, refusent de se rendre à l’évidence. Le mal est chez eux. Parmi eux. Il est dans le complexe médiatique qui a nourri le terrorisme islamiste dont il couvre les crimes en les attribuant aux services de sécurité algériens. Et Libération des sulfureuses José et Florence, qui partagent les mouvements folâtres dans l’antichambre discrète du socialisme international, a fait le lit du terrorisme islamiste qu’il a aidé à faire pénétrer en France en se mettant dans la position la plus relâchée pour en recevoir la semence.
Libération de José Garçon et Florence Aubenas ne tient pas le bâton par le milieu ; il a fait corps avec les islamistes armés algériens, écrivant à rebrousse-poil, s’usant au travail de sape contre l’ANP, léchant les godasses des chefs du GIA, salivant à la vue d’Algériens – hommes, femmes et enfants – massacrés, se réjouissant avec une perversion sadique devant les images de feu et de sang.
La France est malade de ses souffleurs sur la braise, de ses médias qui sèment le vent, de ses José et de ses Florence obsédées, de ses Libération payés à la passe. Mais, en démocratie, on ne peut pas interdire la prostitution.
M. A.-A.
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