Israël : les réfugiés africains victimes de racisme, d’internement, de déportation

racisme, Isra
Un Falasha brutalisé par la police israélienne à Tel-Aviv. D. R.

Par Mesloub Khider – «Le racisme est un acte des gens qui manquent de souche.» (Taher Mahamat).

Le sionisme, putride idéologie née en pleine période du colonialisme et de l’impérialisme triomphants, perpétue encore de nos jours les mêmes préjugés et exactions racistes inhérents à la mentalité esclavagiste des siècles antérieurs.

Depuis soixante-dix ans, le sionisme (Israël est le nom juridique civilisé donné à une entreprise d’expropriation des Palestiniens de leurs terres, nom avalisé par la majorité des pays pour dissimuler la connotation colonialiste du terme sionisme) colonise la Palestine au nom de la mythologique nation juive ensevelie dans l’antiquité et ressuscitée par la grâce divine sioniste.

L’état sioniste, donc colonialiste, (par euphémisme désigné sous le nom d’Israël pour lui accorder une légitimité juridique internationale), non seulement a procédé par la force militaire à l’expulsion des autochtones palestiniens lors de son offensive impérialiste lancée en 1948 (précédée par une occupation latente «immigrasioniste» amorcée au début du XXe siècle), mais il applique aussi une politique raciste à l’autre partie autochtone palestinienne maintenue prisonnière à l’intérieur des frontières érigées par l’Etat sioniste.

A la bonne école du nazisme

De manière générale, s’il faut démontrer la nature consubstantiellement raciste du sionisme à l’œuvre depuis soixante-dix ans contre les Palestiniens, la preuve est administrée aujourd’hui par l’extension de la politique raciste exercée désormais à l’encontre des réfugiés africains. En effet, en Israël la chasse aux immigrés africains est ouverte. Ces dernières années, acculés par les guerres, et surtout par la misère et la faim, des dizaines de milliers d’Africains ont trouvé refuge en Israël.

Leur long périple a été souvent parsemé de violences infligées notamment par la police égyptienne. En effet, au cours de la traversée du Sinaï, certains ont subi des tortures par leurs passeurs, ces négriers des temps modernes. Certaines femmes ont même été victimes de viol.

Selon les chiffres officiels du pouvoir colonial sioniste, le nombre de réfugiés installés en Israël s’élèverait à 60 000.

Force est de constater que, depuis leur établissement en Israël, ces réfugiés sont en butte à la ségrégation et à la terreur raciste.

Aujourd’hui, l’Etat sioniste, spécialiste des expulsions massives, élève ayant dépassé son maître nazi, s’apprête à mettre en œuvre un vaste plan de déportation de 40 000 Africains, dont 5 000 enfants nés en Israël.

En effet, résolu à mettre à exécution son plan de déportation massive, l’Etat sioniste a déjà entamé son entreprise criminelle d’expulsion par l’internement de 3 000 réfugiés africains dans des camps concentrés en plein désert du Néguev. Ces camps, de sinistre mémoire, sont entourés de barbelés. Qui a dit que le sionisme n’est pas l’idéologie raciste de la triste époque colonialiste ? Que le sionisme n’a pas été à la bonne école du nazisme ?

Internés dans des camps en plein désert, les réfugiés africains sont condamnés à deux alternatives tout aussi suicidaires l’une comme l’autre : consentir à leur emprisonnement à durée indéterminée, ou accepter leur expulsion dans leur pays d’origine meurtri par la guerre, accablé par la misère. Israël invente la mort ou le trépas. La mort à petit feu dans le camp d’internement. Ou le trépas accéléré dans le pays d’origine.

Par ailleurs, les Africains réchappés à l’internement, parqués dans plusieurs villes israéliennes, subissent le racisme d’Etat et l’exploitation forcenée des patrons sionistes. En effet, sans papiers, dépourvus du permis de travail, les Africains sont contraints d’occuper des emplois de survie dans les secteurs informels de la restauration, du nettoyage, la garderie d’enfants, etc.

Une stratégie anti-africaine partagée

De surcroît, l’Etat d’Israël, pour décourager les Africains de s’installer définitivement, entretient un épouvantable climat d’insécurité et de terreur, notamment par la persécution de toutes les personnes aidant les réfugiés. Ces personnes s’exposent non seulement à des persécutions de la part de leurs concitoyens israéliens, mais aussi à de fortes amendes et à l’emprisonnement. Particulièrement les israéliens employant des Africains.

L’objectif de l’Etat sioniste est de dégrader dramatiquement les conditions de vie des réfugiés, déjà misérablement précaires, pour les acculer et les pousser à quitter le pays.

De toute évidence, un véritable climat d’hystérie et de haine anti-africain s’est installé en Israël, entretenu par les politiciens sionistes. Le racisme s’exprime librement même au sommet des instances étatiques.

Certains officiels désignent les Africains sous le nom d’«infiltrés». D’autres les traitent de criminels. Un député israélien a même employé le terme «cancer» pour qualifier la présence d’Africains en Israël. Le ministre de l’Intérieur en 2012 s’est fondu d’un commentaire raciste en proclamant qu’Israël «appartient à l’homme blanc».

De leur côté, les autorités religieuses juives n’épargnent pas également leurs efforts spirituels pour attiser la haine contre les Africains. Ainsi, en 2010, des centaines de rabbins ont publié une déclaration incitant les Juifs à refuser de vendre des maisons ou de louer des appartements aux travailleurs immigrés.

Ces incitations à la haine se traduisent souvent par des violences et des crimes racistes à l’encontre des migrants, et particulièrement à l’encontre de sa frange socialement fragile, les Africains.

C’est ainsi qu’en mai 2012 les habitants de couleur résidant dans les quartiers Sud de Tel-Aviv ont été victimes de ratonnades, de véritables pogroms perpétrés par des émeutiers racistes juifs déchaînés. Au cours de ces expéditions racistes, des magasins ont été pillés et des bombes incendiaires jetées dans une cour d’école.

Aujourd’hui, partout en Occident régulièrement s’élèvent des protestations pour fustiger la politique anti-immigrés de Trump, pour accuser certains pays, notamment l’Algérie, de maltraiter les migrants. Paradoxalement, ces mêmes ONG, organisations «humanitaires» gauchistes ne dénoncent jamais la politique xénophobe d’Israël, ni les maltraitances violentes infligées aux populations immigrées établies en Israël.

Palestiniens et immigrés africains, un sort identique

Pourtant, ces dernières années tout un arsenal de lois anti-immigrés a été adopté par le gouvernement israélien. En outre, pour blinder ces mesures discriminatoires, un mur en acier a été érigé tout au long de la frontière avec l’Égypte pour stopper les flux de réfugiés. De surcroît, le parlement a adopté en juin 2012 une loi permettant aux autorités israéliennes d’interner les réfugiés et leurs enfants indéfiniment.

Cette loi raciste a suscité de vives protestations. En effet, des milliers de manifestants ont protesté contre le refus du gouvernement israélien d’accorder le statut de réfugié et contre l’internement des réfugiés. Certes, depuis 2013 des procédures de demande d’asile ont été adoptées. Mais seules onze demandeurs d’asile ont été régularisés.

Au demeurant, les campagnes racistes n’épargnent pas les 150 000 Juifs éthiopiens établis en Israël dans les années 1980-90. En effet, quoique de nationalité israélienne, ces Afro-Juifs sont en butte à des discriminations en matière d’emploi, de logement, d’éducation, de transport. C’est les États-Unis de l’époque noire du racisme institutionnel jusqu’aux années 1960.

A l’instar des Afro-américains massivement discriminés, ces Falachas occupent les emplois précaires et mal rémunérés. Au reste, bien qu’ils ne constituent que 2% de la population israélienne, les jeunes falashas représentent plus de 30% des mineurs incarcérés. Autre similitude avec la société raciste étasunienne, les jeunes juifs d’origine éthiopienne sont constamment victimes de délits de faciès et de violences policières.

Plus scandaleux, en 2013, le gouvernement israélien a reconnu avoir injecté aux femmes éthiopiennes du Depo-Provera, un contraceptif puissant. Cela s’est traduit par une chute vertigineuse du taux de natalité dans cette communauté des Falachas. Hitler doit être fier de ses élèves. Les sionistes ont dépassé le maître en matière de politique eugéniste et exterminatrice.

De manière générale, depuis soixante-dix ans, au mépris des valeurs humaines et du droit international, l’Etat sioniste applique une politique de spoliation, d’oppression, de déportation et d’assassinat contre les Palestiniens de nationalité israélienne ou non. Aujourd’hui, l’Etat sioniste fait subir aux immigrés africains la même politique raciste criminelle.

Assurément, la politique raciste de l’Etat sioniste contre les Palestiniens et les immigrés africains interpelle toutes les classes populaires, les masses exploitées.

Contre la colonisation de la Palestine et la politique discriminatoire criminelle visant les immigrés, elles doivent riposter, par une alliance élargie réunissant les masses palestiniennes et immigrées, mais également les masses israéliennes.

Par la solidarité de classe des masses de toute race, religion et nationalité, la riposte doit être à la hauteur des attaques de l’Etat sioniste contre les immigrés et les Palestiniens.

En effet, pour en finir avec le sionisme, Il est de la plus haute importance de replacer la question coloniale israélienne au centre d’un combat international, par-delà les récupérations et dévoiements islamistes, et les divisions religieuses et nationales.

Le combat doit s’inscrire dans une lutte plus large anticapitaliste et antiimpérialiste. Faute de quoi, dans soixante-dix ans la question Palestinienne sera toujours d’actualité.

M. K.

PS : Le parlement d’Israël vient d’adopter le 19 juillet 2018 une loi fondamentale définissant le pays comme «l’Etat-nation du peuple juif». Cette loi controversée définit concrètement le caractère juif de l’Etat hébreu, aux dépens de la minorité arabe, institutionnalisant ainsi l’inégalité entre citoyens «israéliens». C’est l’instauration officielle d’un régime d’apartheid.

 

Comment (16)

    Salim31
    27 juillet 2018 - 21 h 28 min

    Peut que etre que c est du racisme peut que c est finalement le seul moyen que dispose les pays qui voudrait sauve leur peau _ la dem9cratie moderne n a pas les outils pour faire face a cette deferlannte africaine mieux la democratie et les droi5s de l homme sont la principale cause de ce boulversement humanitaire __mais dans tout ca il est regretable de ne voir dans les media prive que les video « raciste  » tourne en algerie contre des algeriens !!!!

    Mars Et La Lune pour Eux
    27 juillet 2018 - 8 h 39 min

    Je m’en veux d’avoir un cerveau ! Il m’impose cette question : A partir de quand ET POURQUOI des Juifs sont devenus ces Sionistes si abhorrés ? Sont-ils plus barbares que les barbares de chez nous et de chez autrui !!! La Terre brûle : Tant mieux ! On meurt de chaleur partout : Tant mieux ! On meurt de soif : Tant mieux ! Mais bonne nouvelle : On vient de découvrir que Mars contient de l’eau, les Sionistes peuvent avoir Mars, les Palestiniens peuvent avoir La Lune, ça va s’arranger ! Quant à Nous, nous allons brûler… d’amour ! La plus belle des fins ! Heureux Israéliens et Palestiniens : Veinards !

    Sprinkler
    26 juillet 2018 - 21 h 45 min

    Le  » nazissionisme  » devrait réconcilier ces deux calamités de l’ Histoire…Rien n’interdit du reste de penser que le nazisme n’est pas une émanation du sionisme…Consubstantialité raciste.

    Tinhinane-DZ
    26 juillet 2018 - 15 h 45 min

    Ces réfugiés vont-ils brûler l’ambassade d’Israël une fois chez eux. Sûrement que NON!! Les ONG n’oseront jamais passer à la manipulation…Il ne s’agit pas de l’Algérie.

    Kahina-DZ
    26 juillet 2018 - 15 h 35 min

    Il n’ya que l’Algérie qui se justifie quand elle veut mettre de l’ordre dans son territoire.
    Nous avons aussi le droit de protéger notre territoire.
    Et vous allez voir, tous ces africains n’oseront jamais dire qu’ils ont été chassés ou maltraités.
    C’est la devise de la vie:
    Si tu te montres faible et hésitant, tu recevras des ordres de n’importe quelle écurie.
    Si tu te montres ferme et que tu ne recules devant rien, personne n’osera t’approcher.

    Felfel Har
    26 juillet 2018 - 14 h 03 min

    La promulgation de la loi sur » l’Etat-Nation du peuple juif » semble laisser les bien pensants occidentaux de glace, tellement ils sont soumis au Sionisme Mondial, machin supranational qui domine leur système politique. Aucune réprobation, aucune déclaration! Les ONG d’habitude si humanistes et moralisatrices, sont en mode « silence radio » , à moins que leurs sponsors ne leur jettent un os algérien à ronger. Ils apportent ainsi une caution aux extrémistes israéliens (en majorité originaire d’Europe de l’Est) qui reprennent à leur compte toute la rhétorique néfaste des théoriciens du nazisme. Il sera toutefois difficile de dissocier Sionisme et Nazisme tant ils partagent cette idée de ségrégation entre les « élus » (les plus forts, les plus purs, les plus intelligents, etc.) et le reste du monde, et cette conception de la supériorité d’une race sur une autre. Il est pour le moins ironique que ce soit ceux qui ont le plus souffert du nazisme qui le réinventent et le remettent au goût du jour. Attendons-nous à entendre leurs propagandistes, les judéocrates du monde entier à défendre la nature démocratique de cet état néo-nazi!

      Felfel Har
      31 juillet 2018 - 12 h 35 min

      Comme je l’avais prédit, les inconditionnels d’Israël, État raciste et belliqueux, sont sortis de l’ombre. Ils désapprouvent ceux, comme moi, qui le clament. Qui a dit que le Néo-Nazisme était une fiction?

    Anonyme
    26 juillet 2018 - 12 h 12 min

    La constitution algerienne ne dit elle pas que l’islam est la religion de l’État institutionnalisant ainsi une inégalité entre les algériens musulmans et la minorité algerienne qui ne l’est pas ?
    La constitution algerienne ne dit elle pas que les algériens qui possèdent une autre nationalité sont relégué à un statut de citoyens de seconde catégorie ( demis-algeriens) qui n’ont pas le droit d’accès à de hautes fonctions de l’État ? Les africains subsahariens et les chinois ( bientôt première puissance économique mondiale) ne font ils pas l’objet de comportements racistes et de sobriquets de la part d’algériens ?
    Quel que soit le degré de haine qu’on peut avoir à l’égard de l’entité sioniste (raciste et fasciste ) ou de tout autre pays, il convient de balayer d’abord devant sa porte pour pouvoir s’octroyer le droit de regarder les tares des autres au risque de friser le ridicule qui ne tue pas. Pour un pays sous développé, se serait le comble.

      Moh
      26 juillet 2018 - 13 h 37 min

      Bien dit, et comme dit le proverbe chinois:
      « Il ne faut jamais lancer de pierre quand on habite une maison de verre. » Avant de donner des leçons de morale il faut d´abord balayer devant sa porte

      Alfa
      26 juillet 2018 - 16 h 07 min

      @ Anonyme,
      Il fallait décanter… avant de porter un jugement sur les Algériens, Sachez bien que les Algériens de OUJDA à GHERDIMAOU ET D’ALGER À TAMANRASSET sont égaux de part la loi, il n’y a pas de demi Algérien sauf pour les gens qui ont vendu leur âmes au diable(et vous savez de quoi je parle).
      Cette immigration sauvage et le déracinement de ses peuplades dont vous parlez est une simple provocation d’entités sionistes à travers la planète pour destabiliser les pays qui vont à l’encontre de leurs ambitions et aspirations rien de plus.
      Saviez-vous qu’il n’y a pas bien longtemps l’entité sioniste avait rejeté toutes les donations de SANG des noirs Africains qui leur étaient acheminé sous prétexte qu’ils (Africains) étaient contaminés.

        Anonyme
        26 juillet 2018 - 23 h 47 min

        Est ce que l’Algérie construira des églises à la minorité Chrétienne d’Algérie et des synagogues à la minorité juive d’Algérie?
        Si on est tous Algériens et égaux en droits et devoirs.

          Mme CH
          31 juillet 2018 - 19 h 00 min

          « Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, a révélé, avoir reçu une lettre des représentants de la communauté juive en Algérie pour lui demander de «ne pas ouvrir des lieux de culte» dédiés aux juifs, du fait que ces derniers «n’en ont guère besoin» et qu’ils «ne sont pas obligés d’y accomplir leurs prières», d’autant plus qu’ils «ne sont plus assez nombreux». »

          Quant aux Eglises, il y en a plus qu’il n’en faut vu le nombre des chrétiens, selon les sources, il n’y avait que 0,2 % de chrétiens en Algérie en 2009. L’ONU décomptait, alors, 45 000 catholiques romains et entre 50 000 et 100 000 protestants dans le pays. Les conversions se concentrent principalement dans la Kabylie, particulièrement dans la wilaya de Tizi Ouzou…!!!
          « Institutions protestantes en Algérie:
          Armée du salut
          Assemblées de Dieu
          Église Adventiste du Septième Jour
          Église Évangélique Copte
          Église Protestante d’Algérie
          Frères Larges
          Diocèse Anglican d’Égypte
          Mission Baptiste Évangélique
          Mission Biblique de Ghardaia
          Mission d’Afrique du Nord
          Mission Évangélique au Sahara
          Mission Évangélique de Médéa
          Mission Évangélique du Sahara
          Mission Rolland »

          Sans oublier les Eglises catholiques d’Ager, d’Oran, d’Annaba, Constantine,….etc…:

          Pourquoi cette désinformation…!!???

      Anonyme
      26 juillet 2018 - 23 h 44 min

      Rien à ajouter.

      Mme CH
      31 juillet 2018 - 19 h 24 min

      Non Anonyme (26 juillet 2018 – 12 h 12 min), il n’y a pas d’inégalité, car l’article 42 de la constitution algérienne garantit « La liberté de conscience et la liberté d’opinion » qui sont « inviolables »; ainsi que « La liberté d’exercice du culte qui est garantie dans le respect de la loi. »

      Quant à l’article 32, il stipule que « Les citoyens sont égaux devant la loi, sans que puisse prévaloir aucune discrimination pour cause de naissance, de race, de sexe, d’opinion ou de toute autre condition ou circonstance personnelle ou sociale.  »

      Donc, il n’y a pas de demi-algériens..comme vous l’avez bien souligné pour une raison bien évidente…! La mauvaise foi…!
      « Le propre de la mauvaise foi est de permettre des affirmations passionnées et contradictoires.  »

      « Tout est permis en faveur de sa propre cause, même la mauvaise foi. »

      Cependant, n’emmêlez pas tous les pinceaux pour semer la confusion dans l’esprit des faibles d’esprit, lorsque vous parlez des migrants, il s’agit là d’un autre fléau concocté par l’axe du mal, qui menace le sécurité de l’Algérie….Sinon les africains ont toujours été formés sans aucun problème dans les Universités, Ecoles supérieures, Ecoles Militaires…etc…en Algérie…!

      Et puis ne me dites pas qu’un musulman pourrait devenir le président de la France, d’Allemagne, de Grande Bretagne….des USA…ou de l’Etat Voyou… etc.!

      Alors ne noyez pas le poisson dans un bocal vide, car il s’agit des agissements criminels et racites de l’état hors la loi..!

    lol
    26 juillet 2018 - 12 h 04 min

    ET ENCORE UNE FOIS OU SONT LES ONG ? A PART ETRE DANS LE DOS DE L’ALGÉRIE H24 !!!!!!

    boghni
    26 juillet 2018 - 9 h 14 min

    en tout cas ce n’est pas a l’algerie de les acceuillir point barre,l’algerie s’occupe de son peuple et le fait tres bien.azul et tahia el djazair.

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