Pourquoi il faut poursuivre l’œuvre de Bouteflika

Bouteflika
Le président Bouteflika. New Press

Par Amine Malek – A l’approche des grandes échéances politiques, certaines voix font fi de la valeur des hommes et des programmes et s’élèvent pour prédire le chaos dans les trois ou quatre années à venir.

Déjà en avril dernier, une personnalité nationale avait appelé sur France 24, «à défendre» «l’œuvre grandiose (du Président, ndlr) qui doit être poursuivie» par lui.

Une formule différemment perçue par les acteurs politiques, dont certains ont malheureusement pris des raccourcis pour la réduire à la simple question du scrutin d’avril 2019, nonobstant l’importance de cet événement qui rythme la vie politique de la nation, gage d’un fonctionnement régulier et ordinaire des institutions de l’Etat.

Qui niera que l’Algérie d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celle des débuts des années 2000. En deux décennies, même si le bilan de Abdelaziz Bouteflika parle de lui-même, il suffit de questionner le paysage politique global, le climat sécuritaire, le volet économique, ainsi que le front social, pour s’apercevoir qu’ils ont connu des améliorations notables. Où en étaient-ils en 1999 et où en sont-ils aujourd’hui ?

Estimant l’enjeu électoral trop risqué dans une zone soumise à forte influence, le concept de la continuité est fortement privilégié. Aujourd’hui, il n’est pas seulement inscrit dans le discours des politiques, mais aussi dans celui du peuple, conscients des incertitudes pouvant découler de toute rupture brutale liée aux enjeux actuels. Cette conscience s’est traduite par des appels émanant d’acteurs majeurs.

En instaurant Yennayer comme fête légale, une année après la constitutionnalisation de tamazight comme langue nationale et officielle, le président de la République se montre fidèle à sa démarche, celle qu’il a suivie depuis son accession à la magistrature suprême et qui consiste à réconcilier les Algériennes et les Algériens avec leur personnalité historique, avec eux-mêmes, de manière à conforter leur unité et donc à les rendre plus forts afin de relever les défis dans un contexte fait d’incertitudes.

La promotion de tamazight, langue et culture, ne relève pas du slogan ou du discours, mais de programmes sectoriels au niveau de plusieurs départements ministériels. Tout récemment, la béatification de 19 religieux catholiques, restés attachés à l’Algérie,  lâchement assassinés durant la décennie noire, est un autre acte concret qui montre que notre pays ne fait pas du «vivre ensemble en paix» un simple slogan, mais le traduit dans le quotidien.

A l’évidence, pour tout observateur honnête, le chemin parcouru dans ce sens est tout simplement exemplaire et on n’est encore qu’au tout début d’un long processus de réappropriation identitaire et culturelle.

Cinq ans se sont écoulés. Les comparaisons statistiques effectuées sur plusieurs paramètres socio-économiques montrent de manière limpide et incontestable que l’Algérie a connu un processus de développement intégré qui a touché la totalité du territoire national. Un processus que nul ne peut nier ou occulter.

L’œuvre engagée par le président Bouteflika a consolidé les bases du développement durable et ouvert des horizons nouveaux pour la relance et le redéploiement de l’économie. Ce processus n’a rien sacrifié aux engagements et responsabilités de l’Etat pour la préservation des acquis sociaux et la promotion de la justice sociale, garants de la cohésion sociale et, au-delà, du front intérieur sans lequel le pays ne pourrait faire face aux défis sécuritaires multiples auxquels il est confronté dans son environnement régional. Les investissements massifs consentis dans le domaine de l’infrastructure ont contribué à une amélioration substantielle des conditions de vie de la population.

Les principaux indicateurs permettent de mesurer les progrès réalisés sur la voie du développement économique et social. On relèvera ainsi que le revenu par habitant a continué à s’améliorer pour se hisser à près de 4 000 dollars, celui du chômage de baisser pour se situer à 11,7%. L’Indice du Développement humain place l’Algérie en première position au Maghreb et en troisième position en Afrique et plus de 3,6 millions de logements livrés. Rien que pour le mois de décembre 2018, pas moins de 40 000 logements ont été distribués à l’échelle nationale. Enfin, le niveau de la dette extérieure ne représente plus que 2,7% du PIB. Ce qui place l’Algérie parmi les 10 pays les moins endettés du monde.

La femme a vu son statut renforcé et adapté aux droits que lui confèrent la constitution et la loi pour promouvoir son rôle aux plans politique, économique et social.

Ces succès enregistrés dans maints domaines sont le fruit de la conviction et du programme d’un président qui a voué toute sa vie au service de l’Algérie et de son peuple. Un challenge qui consolide les bases du développement et de la réussite pour une société qui a connu de grandes épreuves et un déchirement profond, et qui a su, à chaque fois, grâce à ses femmes et à ses hommes, les surmonter.

Que ce soit dans les domaines économique, social ou sécuritaire, l’Algérie ne cesse de récolter de bons points auprès des instances internationales, des Etats étrangers et des organisations indépendantes. Cependant, les dangers ne sont pas totalement écartés et les menaces se sont diversifiées, d’où le maintien d’un haut niveau de vigilance visant à contenir toute menace à la sécurité, et la poursuite de la lutte contre le terrorisme avec un soutien diligent des pouvoirs publics et de l’Armée nationale populaire qui, sous les orientations du président de la République, œuvre à remporter l’enjeu du parachèvement de l’édification d’une institution républicaine, moderne, professionnelle et aguerrie. Sur le plan extérieur, la diplomatie algérienne, fondée sur les principes de la non-ingérence, de l’équidistance et de l’appropriation, a gagné en crédibilité et s’est affirmée comme une voix respectée et écoutée, grâce aux efforts considérables du Président Abdelaziz Bouteflika dont l’action a restauré l’image historique de l’Algérie, permis ainsi de rompre avec l’isolement diplomatique dans lequel l’Algérie était plongée après la tragédie nationale des années 90, et réussi avec brio le règlement de plusieurs conflits, à l’instar des deux pays voisins l’Ethiopie et l’Erythrée, après des années d’une guerre meurtrière.

La multiplication des visites de haut niveau des éminentes personnalités en 2018 atteste de l’intérêt que ces visiteurs accordent au point de vue et aux analyses du Président et de leur volonté à renforcer la coopération économique et le dialogue politique et stratégique actif sur toutes les questions d’intérêt commun.

Au cœur du dialogue stratégique entre l’Algérie et ses principaux partenaires, l’excellence de la coopération politique, économique et sécuritaire, appelée à être développée, compte tenu de l’urgence de la paix et de la sécurité régionale et internationale.

La diplomatie s’illustre, aussi, par son soutien aux efforts des Nations unies pour une solution juste et définitive à la question du Sahara Occidental assurant l’autodétermination du peuple de ce territoire, ainsi qu’à ceux du Représentant spécial des Nations unies pour la Libye, en vue d’une rapide restauration de la paix, de la sécurité et de la Réconciliation nationale de ce pays voisin. D’autres défis continuent de se poser à nos frontières. C’est le cas par exemple du Mali où l’Algérie apporte un soutien fort à l’Accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d’Alger. La lutte contre le terrorisme et le crime transnational impose des actions vigoureuses, auxquelles l’Algérie n’a pas manqué de participer chaque fois que le devoir l’impose.

Au final, sur tous ces paramètres, l’homme est, c’est incontestable, inattaquable sur son bilan. Des réalisations physiques ont transfiguré l’actuel quinquennat, qui reste grandement marqué par la préservation des acquis, la stabilité du pays et la vulgarisation de la vision de l’avenir de l’Algérie à travers le programme de développement 2020-2030.

A l’approche des grandes échéances qui balisent la vie du pays, curieusement, quelques parties se mettent, à l’unisson, à prêcher un alarmisme de mauvais aloi. En dépit cependant des affirmations fielleuses qui ressortent cycliquement lors des grandes échéances, le pays est stable, grâce au leadership clairvoyant du président Abdelaziz Bouteflika et à la force et la pérennité de ses institutions républicaines, qui garantissent sa protection et veillent à son intégrité territoriale.

Pour l’observateur averti, il est clair que certaines arguties provenant de milieux, qui veulent à tout prix instaurer un climat d’incertitude, n’ont pas de place là où la transparence règne en maître absolu. Prenant leur désir pour réalité, ils invoquent une «maladie» comme un obstacle, alors que les faits sont têtus et les chiffres éloquents, montrant que l’actuel quinquennat a été le plus productif.

Le message est ainsi on ne peut plus clair, et l’attitude à prendre ne devrait souffrir aucune ambiguïté. L’œuvre grandiose doit être continuée par lui, c’est pourquoi toute voix patriote ne peut que s’inscrire dans cet élan qui appelle le président Bouteflika à se porter candidat pour un nouveau mandat.

A. M.

Comment (47)

    N.Boumaza
    9 avril 2019 - 12 h 45 min

    Ce texte n’est en rien une analyse. Il s’agit en effet d’un texte déclaratif sans argumentation quelconque des affirmations totalement erronées visant à encenser A. Bouteflika. La première caractéristique de l’exercice du pouvoir par ce professionnel de la politique et de la démagogie est celle de recouvrir toute question par la démagogie appuyée sur l’encensement du peuple et sur une position de domination qu’il prend vis à vis de tout un chacun. Cela est l’attitude classique des dominateurs qui n’ont pas d’autre outil de domination que le verbe, la menace et la démagogie (flatter le peuple) . Bouteflika n’a rien dirigé, ses conseils de gouvernement n’étant rien d’autre que des interventions des ministres et une absence d’orientation par le Président chef du gouvernement qui n’a même pas su utiliser les compétences de ses deux premiers chefs de gouvernement ( Benflis et Benbitour) incomparables vis à vis de Ouyahia démagogue et Sellal vendeur de vent et de blagues. Aucune politique ni énergétique, ni du travail, ni de l’économie laissée à vau l’eau, ni de l’éducation, ni de la culture n’a été engagée sous son pilotage, quelques ministres ayant à un moment ou un autre esquissé un petit renouvellement et des initiatives dans leur secteur. On peut éventuellement lui faire crédit d’une continuation d cela politique étrangère classique de l’Algérie initiée par Boumediene et pas par lui, qui est juste un discoureur. La spécialité de Bouteflika, la seule est le calcul (pas des maths bien sur, la démagogie avec le peuple , par exemple, il embrassait des gens dans ses sorties de premier mandat et campagnes électorales. Démagogue, non travailleur, recouvrant son inculture par le verbe haut et creux, autoritaire et versatile. etc. Merci donc de donner un minimum d’arguments sur ce que vous affirmez dans le même style que Bouteflika, des déclarations sans argument.

    Anonyme
    24 janvier 2019 - 8 h 20 min

    On parle de plus de 1500 milliards comme l’a si bien dit ouyahia soutenu par saidani et non 1000 milliards de dollars.Avec cette somme et en vingt on aurait termine avec le problème de logement et de quel logement on parle.On aurait termine avec le problème des hôpitaux et des stades et qu’on aurait déposé notre candidature pour organiser seul cette coupe du monde non comme second avec le Maroc qui nous a gifle en endossant une candidature avec l’Espagne et le Portugal.On aurait termine avec les infrastructures de base avec des autoroutes et des voies express de standard international,on aurait exonere pauvre malheureux retraite de payer l’impot en place et lieu des oligarques qui sont exonérés depuis 2006,et le dînar aurait sa valeur monétaire au lieu de cette valeur fiscale qui le déprécié chaque jour.Pour le sécuritaire au cas ou vous l’auriez oublie,il y a une loi celle de Zeroual qui a precédé celle initiée par votre mentor qui a donne des résultats spectaculaires a tel point que ouyahia l’a si bieu dit en 1997 ,on a termine avec le terrorisme et ce ne que des résidus et ce résidu on en a profite comme d’ailleurs pour ce Yannayer.Ça aurait ete vrai si ce président à accepte en 1992 la présidence et le terrorisme s’arrêtait en 1995 au lieu de 1997 et les résultats meme mitiges auraient été acceptes

    Anonyme
    23 janvier 2019 - 22 h 08 min

    Pourquoi il faut poursuivre l’œuvre de Bouteflika??? Pour plus de corruption, plus de détournements de deniers publiques, plus de hogra, plus de népotisme, plus de chomage, plus de disparités régionales, plus de bureaucratie, plus d’injustice, plus de despotisme , plus et plus et plus et plus………………….

    Anonyme
    22 janvier 2019 - 12 h 18 min

    La drogue a aussi envahi notre vie. La pédophilie rentre dans notre paysage. Les affairistes sont devenus trop insolents et utilisent la présidence Bouteflika pour nous faire passer toutes les couleuvres. Notre dignité a connu une baisse de niveau importante. Bouteflika n’est pas Dieu. Personne en tant que personne ne doit avoir le dessus, ce qui compte c’est la stabilité de l’Algérie dans le respect de son territoire et de son peuple. Bouteflika est utilisé d’une façon indécente. C’est un homme malade qui a besoin de se soigner et de se reposer. Arrêtons de faire passer ce qui nous arrive pour un conte merveilleux où des super pouvoirs magiques lui permettent de prendre des décisions aussi importantes. Son entourage veut le maintenir pour s’en mettre plein les poches encore plus longtemps. Il aucune autre vérité que celle-ci. Nous avons besoin d’un président plus jeune, dont la santé lui permet de représenter l’Algérie dans le monde, où personne ne décommande au dernier moment un rendez-vous officiel. Nous sommes devenue la risée du monde. Nous avons besoin d’un président qui soit un chef avec une vision patriote et qui soit fédérateur. Bouteflika doit se reposer. Ceux qui le maintiennent dans cette posture sont innommables.

    Vangelis
    21 janvier 2019 - 23 h 17 min

    Un tissu de mensonges comme seuls les lèches bottes et autres  » courbeurs  » d’échine en ont le secret.

    Il suffit pour démonter cette fanfaronnade de consulter tous les classements mondiaux qui placent l’Algérie parmi les derniers pays alors qu’avec ses richesses et ses ressources elle aurait pu être parmi les 50 premiers au lieu des 15 derniers.

    Sans même se référer à ces classements que ce genre d’individu rejetterait parce qu’ils démontrent une évidence que seuls les premiers cités ne voient pas, aveuglés par leurs avantages particuliers et leur manque de sens de l’honneur.

    Article, contribution ou papier, il est bon de lui trouver une place, la seule qui lui aille, la poubelle tant il est foncièrement honteux et vantard.

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 22 h 33 min

    Le pays doit, impérativement, sécuritèrement, et stratégiquement changé, et réformé
    Sans changements, sans modernisations, et sans réformes démocratiques de ses institutions,
    Et de son économie pétrolière-rentière, des importations de tout, en faillites
    Le pays régressera, s’affaiblira, et disparaitra, à long terme, des pays écoutés, et respectés,
    (La sécurité de l’Algérie sera menacée, surtout, par ses pays voisins africains émergeants, et européens)
    Le changement, le renouveau, et la modernisation du pays s’avéreront une tache, et un défi gigantesques
    Et sécuritèrement, prioritaires, pour l’avenir du pays

    AISSA
    21 janvier 2019 - 22 h 23 min

    AS A SIMPLE CITIZEN LET ME TELL YOU SIR THAT YOU ARE BEING VERY FLATTERING TO THE PRESIDENT.
    HEADS OF STATES ARE NATURALY THERE TO WORK AND MAKE PROGRESS IN THERE COUNTRIES .
    THERE IS NO EXCEPTION FOR BOUTEFLIKA.
    HE HAS BEEN HERE FOR LONG TIME AND HE HAD SO MUCH MONEY TO SPEND .HE COULD HAVE DONE BETTER.
    PEOPLE SAY HE HAS BUILD HOMES ,I WOULD SAY VERY BAD QUALITY HOMES.
    HE HAS BUILD ROADS I WOULD SAY VERY BAD QUALITY ROADS.
    HE HAS BUILD UNIVERSITIES .
    I WOULD SAY THEN WHY ARE OUR YOUTH LIVING EN MASS AND SOME OF THEM DROWNING IN THE SEA.?
    WHY IS IT THAT OUR HOSPITALS ARE SO BAD THAT HE HAS TO GO ABROAD TO HAVE HIS CHECK UPS. WHY IS THE ALGERIAN MONEY NOT AN INTERNATIONAL CURENCY?
    WHY IS AN ALGERIAN CITIZEN NOT ABLE TO SPEND HIS MONEY WHERE EVER HE LIKES .
    WHY IS EVERYTHING RUN BY THE STATE EVEN THE HOTELS AND CINEMAS.
    WHY IS EVERYTHING EXPENSIVE THE THE MARKETS?
    WHY DO WE HAVE TO IMPORT EVERYTHING INCLUDING MILK?
    THESE ARE SIMPLE QUESTIONS THAT NEED TO BE ANSWERED.
    THE IS NO PUBLIC TOILETS ,THE ROADS ARE SO BAD .PEOPLE HAVE TO CLOSE ROADS TO BE HEARD AND THERE IS MORE. SO PLEASE DO NOT BE CYNICAL AND BE MORE OBJECTIVE, YES WE NEED REAL CHANGE AND A NEW DIRECTION . THIS CAN T GO ON FOREVER.

    Tredouane
    21 janvier 2019 - 21 h 08 min

    Je respecte beaucoup Mr Le Président,mais la question qui ce pose peut il lui continuer son œuvre ,je ne suis pas pessimiste par nature mais je constat du mal aise se fait ressentir dans notre chère Patrie;et comme je dit toujours il n’a pas d Homme providence seul héro c’est le peuple ,la Nation.
    Nos choix ne doivent en aucun cas être dictés par les sentiments,l’on constate hélas que beaucoup parlent au nom du Président,c est une dérive;notre allégeance dois être inconditionnel pour le bien être de l’État, la Nation et nos Compatriotes.
    La conjoncture future à moyen terme va être pleine de circonstances qui nous obligerons à prendre des décisions rapidement mais très prudemment ,la consolidation de nos institutions leurs cohésions doivent être parfaite.
    Si des pseudos politiques sollicitent un autre mondât pour Mr Bouteflika nous le Peuple la Nation nous l’invitons à sortir de la grande porte et cordialement.Vive La Nation Algérie éternellement………..

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 20 h 43 min

    On ne le dira jamais assez que toutes les personnes qui demandent que Boutéflika reste, c’est beaucoup plus pour que ils restent, la preuve, on a procéder aux renouvellement de tous les cadres de l’administration pour que ces cadres fassent eux même le boulot de la continuité pour garder leurs postes, c’est ça un système, c’est l’histoire du miel et les abeilles, Boutéflika c’est le Miel et ceux qui demandent la continuité sont des Abeilles, ainsi va l’Algérie !

    amiahmed
    21 janvier 2019 - 20 h 31 min

    C’est plutôt l’inverse

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 20 h 29 min

    Ceux qui militent pour le 5 eme mandat devraient être traduit devant la cour martiale pour haute trahison .

      Missoum
      23 janvier 2019 - 11 h 19 min

      Et que doit-on faire aux courageux anonymes?

    Le Rouspétodonte
    21 janvier 2019 - 20 h 21 min

    Bouteflika est le cheval de Troie des pays du Golfe pour abattre l’Algérie et il est en train de réussir. Réussir là où l’islamisme armé n’a pas réussi. Expliquons-nous. Il y avait un plan A pour abattre l’Algérie, l’islamisme armé ; celui-ci a lamentablement échoué ; le plan, c’est Bouteflika, qui vivait au Golfe , celui-ci était préparé pour prendre le relais du plan A.ois Depuis 1999, des centaines de milliards de dollars, 5 fois le montant du Plan Marshall de reconstruction de l’Europe après la deuxième guerre mondiale. Mr Malek, parlez-moi d’activités, industrielles, touristiques, agricoles, qui fondent le PNB algérien ; notre économie, qui n’en est pas une véritable, consiste à vendre des matières premières brutes et à acheter des produits manufacturés et alimentaires. Une question : quand ces matières premières seront épuisées, qu’adviendra-t-il de ce pays ? En guise de réponse, vous êtes peut être à la recherche d’une place dans une barque de harga. Voilà l’oeuvre de votre homme !
    PS : dans cette non-économie que vous vantez, même nos salaires sont factices, ils ne paient pas un travail productif de richesse.

    Layla Haddad
    21 janvier 2019 - 20 h 12 min

    Bouteflika ne remplit pas les conditions légales pour présenter sa candidature . Sa place est dans le musée Grévin . En ce moment il est entre la vie et la mort à Grenoble.

    Karamazov
    21 janvier 2019 - 20 h 06 min

    Absolument ! Il faut à tout prix que Fakhamatouhou continue son œuvre.

    En vingt ans seulement il a sorti l’Algérie du sous-développement modernisé notre société qui n’a rien à envier aux sociétés scandinaves. Désormais notre technologie est à la pointe des progrès les plus avancés , nos exportations hors hydrocarbures dépassent ceux de la Corée du Sud et nos hôpitaux sont surchargés par des hordes de malades Suisses qui viennent se soigner chez nous. Il a réglé définitivement le problème du logement et du chômage. Notre PIB par habitant est le plus élevé du monde et nous feront bientôt partie du G7. Nos réserves de change dépassent celles de la chine et notre balance commerciale est excédentaire .Nous sommes à notre 120ème mise en en orbite de satellite d’observation et de télécommunication, et bientôt le vaisseau de la GMA décollera pour l’installation de notre station martienne qui accueillera Fakhamatouhou avant que les autres nations n’aillent nous précéder. Et je ne parle pas de nos écoles qui raflent tous les prix scientifiques et de nos prix Nobel dans toutes les sciences et les technologies.

    Bref, tout va bien dans le meilleur des mondes , il faut vraiment être un sinistre ingrat pour ne pas reconduire Fakhamatouna!

      Anonyme
      21 janvier 2019 - 22 h 25 min

      les milliards dépensés c’est l’équivalent de la reconstruction de la moitie de l’europe,rien pour ça les responsables devraient rendre des comptes

    ganov
    21 janvier 2019 - 19 h 53 min

    une chose à ne pas nier. aucune œuvre n’est à poursuivre!

    Felfel Har
    21 janvier 2019 - 19 h 37 min

    Qui se rappelle de ce commentaire fait par un homme politique, haut en couleur? « En 1962, nous etions au bord du precipice et grace a Dieu, nous avons fait un grand pas en avant! » Nous vivons la meme situation depuis 1999 et ceux qui appellent le president a poursuivre son « oeuvre » ou son « programme » ne seront plus du monde des vivants pour raconter leurs mesaventures a leurs enfants; ils auront fini au fond de l’abime!
    Nous serions tombes de Charybde en Scylla, parce que nous n’avons pas ose empecher ce malheur. ou plutot, nous avons applaudi cette chute vertigineuse.

    lhadi
    21 janvier 2019 - 17 h 51 min

    Une grenouille au fond du puits ne peut voir l’immensité du ciel !!!

    Qu’à cela ne tienne. La vérité, celle qui ne ment jamais à la vérité, c’est à dire la réalité est telle que l’Algérie, au jour d’aujourd’hui , est en dépôt de bilan,pour ne pas dit en faillite. je défie le premier des ministres et le gouverneur de la banque d’Algérie de me porter la contradiction.

    La gouvernance actuelle n’a pas su prévoir l’orage en beau temps. Elle était obnubilée par la grâce de la bonne fée de la rente des hydrocarbures bleues et noires.

    Les moult dévaluations de la monnaie nationale, les récurrentes dépréciations du dinar algérien, la planche a billets, la stagflation sont autant d’éléments qui démontrent que l’Algérie adamantine est sous la tutelle des tailleurs de pierres.

    Comment peut-on cautionner l’obésité du médiocre ?

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 16 h 53 min

    « il faut continuer a poursuivre l’oeuvre de bouteflika » Oui ,il reste beaucoup de mosquées et moussalate à construire pour parachever l’oeuvre : Chaque foyer algérien aura sa mosquée , son imam et la scolarisation de tous les enfants dès leurs plus bas age dans les écoles coranique .

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 16 h 46 min

    Ce régime a institué le règne des médiocres dans tous les domaines : administration, partis, gouvernement, corps diplomatique, ministres, walis etc…c’est avec eux que vous voulez relancer l’économie du pays ? donner du travail a 500000 diplômés (hélas mal formés car l’Université a été coulée) qui sortent chaque année de l’enseignement supérieur, assurer des revenus en devises suffisants pour le pays autrement que par la manne pétrolière declinante d’annee en année etc..

    anonyme
    21 janvier 2019 - 16 h 31 min

    M. Malek, dites-nous exactement en quoi M. Bouteflika a amélioré la vie de l’Algérien ? Deux réalisations majeures pendant 20 ans :
    1) reconnaître l’amazighité de l’Algérie (chose évidente) par crainte ou par opportunisme, comme fit Hassan II;
    2) construire une mosquée que Dieu reniera, car son coût aurait pu servir à sauver des centaines de milliers de malades ou améliorer le quotidien de centaines de milliers d’affamés.
    Toute autre réalisation aurait pu être le fruit de n’importe quel enfant qui dispose d’une rente pétrolière à plus de 9 chiffres.

    MELLO
    21 janvier 2019 - 16 h 26 min

    Effectivement, pourquoi pas ? Continuer l’oeuvre de destruction d’une nation – État et peuple- reste un projet qui rentre dans les visées d’une caste prédatrice. Vous ne pouvez pas oublier cette déclaration vindicative du candidat Bouteflika à Tizi Ouzou le 16 Septembre 1999 : Tamazight ne sera jamais langue officielle et si elle devait devenir langue nationale , c’est tout le peuple Algérien qui doit se prononcer par voie référendaire – fin de citation .
    Difficile , très difficile de revenir en arrière pour se renier et faire passer cette langue en langue nationale et officielle , sans référendum. Vous savez Mr Malek, c’est grâce aux jeunes du printemps noir de 2001 où 128 jeunes ont perdu leur vie et des centaines d’handicapés, pour certains à vie, que cette langue fut arrachée, suivie par l’officialisation de Yennayer, dont la folklorisation est sortie sur les rues d’Alger. Ceci pour ce chapitre social.
    Économiquement, n’oubliez pas que Bouteflika avait hérité d’un prix du baril qui dépassait largement les 200 Dollars, mais diriger vers quoi ? Que des investissements de services sans aucun projet porteur de richesse. Nous citerons cette autoroute Est Ouest dont le prix à quintuplé en Dix ans, sans oublier toutes les non conformites qui apparaissent de jour en jour. Au final, Les détournements et la corruption furent les effets dévastateurs des quatre mandats. Ce fut ainsi pour les projets des grands stades lancés, mais dont la fin n’est pas pour demain. Ne parlons pas de l’extension des lignes de métro , l’extension de l’aéroport d’Alger dont les non conformités se verront à l’ouverture. Ne parlez pas de cette grande mosquée construite malgré les réserves des architectes Algériens et des experts qui étaient contre le choix du site. Mais alors quel est son apport pour le développement de l’Algérie ? Pour suivre l’oeuvre de Bouteflika , c’est réduire ce pays au néant , sinon pourquoi tous ces harragas ?

    Je Ne Pense Pas,Donc Je Ne Suis Pas
    21 janvier 2019 - 16 h 21 min

    L’endoctrinement dans toute sa splendeur. Je te veux immature, irresponsable, inconscient en sus d’être sourd,aveugle et muet. Répète après moi, et surtout ne pose pas de questions: »je suis ainsi, je l’ai toujours été, et je le serai toujours. C’est comme ça que le système et le bon Dieu veulent que je sois. »

    De quoi décourager Descartes lui-même et faire passer son axiome
    « Je pense donc je suis » pour une absurdité.

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 15 h 23 min

    L’oeuvre de Bouteflika :Une grande mosquée connectée sans virus, directement au paradis,5 prières,5 mandats.

    Khoubzi Salim
    21 janvier 2019 - 15 h 09 min

    Dissolution du DRS…c’est le seul fait « civilisationnel » de l’ère Bouteflika !

      Anonyme
      21 janvier 2019 - 16 h 40 min

      Sauf la masse inerte peut croire à la dissolution du drs. C’ Est plus un moyen de laver les criminels. Ce qui dit long sur la décennie noire et les responsabilités du régime et ses mercenaires , les islamistes

    Nasser
    21 janvier 2019 - 13 h 56 min

    Oui. Il faut continuer l’oeuvre de Bouteflika. Il y a encore quelques patriotes dans ce pays que son système n’a pas éliminé. Il reste encore à transférer la capitale à Tlemcen. Signer tous les contrats de réalisation de gré à gré avec Haddad même ceux des routes qui n’existent pas encore. Accorder à tahkout et sovac tous les avantages fiscaux possibles. Pourquoi pas un crédit d’impôt du trésor. Remettre Khalil à l’énergie et à sonatrach. Etc….

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 13 h 47 min

    Les algériens qui n’arrivent plus à déceler le 3ème degré dans ce genre d’article !!

    Kassaman
    21 janvier 2019 - 13 h 36 min

    A moins d’être totalement déconnecté des réalités socio-économiques du pays, on ne peut que confirmer les formidables avancées de l’Algérie dans quasiment tout les domaines, mais si il y a pu avoir quelques couacs ça et là.
    Toutefois, même si je suis en accord avec l’auteur de l’article qu’il faille continuer dans la politique menée jusqu’ici par le président Bouteflika, je souhaiterais apporter un bémol dans toutes ses actions.
    Durant ces 20 dernières années le président aurait dû faire en sorte qu’émergent des personnalités reconnues du peuple et capables de poursuivre dans sa lancée, car nul n’est immortel et nul ne devrait être irremplaçable.
    En résumé, continuer dans la voie tracée par Bouteflika oui, mais on aurait dû pouvoir le faire avec son « successeur ».

      Anonyme
      21 janvier 2019 - 15 h 37 min

      « il faut continuer a poursuivre l’oeuvre de bouteflika » »,alors que l’ordre des medecins algerien vient d’alerter les autorités sur le départ a l’etranger de plus de 4000 medecins et spécialistes qui vont rejoindre bientot les 10000 OU 15000 qui sont déja en france,sans parler de toute la matiere grise déja éxilée

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 13 h 35 min

    ce journaliste est sérieux ? ghediri président: tous penchent en sa faveur ! ce serait le ras de marée populaire pour ghediri car le peuple veut un visage inconnu hors systeme !

      Anonyme
      21 janvier 2019 - 17 h 15 min

      Ils sont aux ordres!

    Yeoman
    21 janvier 2019 - 13 h 27 min

    Quid de la vermine qui ne cesse de prospérer et de se multiplier à la faveur de la stagnation institutionnelle et du sentiment d’impunité engendré par l’image d’un chef malade, contraint (et on ne peut le lui reprocher)de consacrer bien plus de temps à son état de santé qu’à la santé de l’état, sans vouloir faire du jeu de mots!!!

    Abou Langi
    21 janvier 2019 - 13 h 15 min

    Erradjoulou el mounassib fi makène el mounassib. Oui il n’y a pas mieux que Boutefliqa pour représenter notre pays!

    Merci Monsieur pour ce régal. Enfin un discours clair net qui ne s’enferme pas dans les méandres de la dialectique .

    Je vous avoue à mon grand dam que je suis complètement d’accord avec vous. Mais pas pour les mêmes raisons. Bouteflika doit poursuivre son œuvre et finir le travail , voilà l’essentiel ! Vous dites exactement ce que certains d’entre nous n’ont pas arrêter de dire avec des arguments inverses.

    Je ne sais pas comment mwamim avec une argumentation contraire à la vôtre je suis arrivé à la même conclusion que vous.

    Aussi je le dis clairement : ceux qui voudraient empêcher Bouteflika de finir son œuvre sont inconscients.

    Ici m^me , sur ce site, les quelques très grands escatologistes qui apportent leurs modestes et humbles lumières à AP en le gratifiant généreusement de leurs lumières ont toujours affirmé que la société algérienne ne peut pas produire en elle même un sauveur, pour la bonne et unique raison que les temps messianiques de nos jours sont stériles et ne sauraient accoucher d’un Messie et surtout que notre prophète à nous autres a fermé l’usine à prophéties . Mais aussi parce que comme elle l’a déjà démontré notre société est tératogène , mieux vaut qu’elle n’aille pas enfanter.

    Donc, comme rien ne se crée , rien ne se perd et que rien ne se transforme il ne reste à part Apophys ou un cataclysme géologique, qu’ a conduire le pays à toute vitesse dans le mur.

    Or, qui est mieux placé que Fakhamatouna ? Surtout que tous les programmes des autres candidats ne proposent que de prolonger l’obsolescence de notre pays.

      anonyme
      21 janvier 2019 - 16 h 33 min

      Je vous nomme ministre de l’Ironie !

    amiahmed
    21 janvier 2019 - 12 h 58 min

    L’indicateur de la réussite économique d’un pays est donné par l’évolution de sa monnaie, à l’arrivée de Bouteflika, pour 1 dollar il vous faut 66,70 DA et en 2018, pour acheter 1 dollar il faut débourser 185 dinars, c’est presque 3 fois plus qu’en 1999?

    Rachid
    21 janvier 2019 - 12 h 21 min

    Quand les échecs en série finissent par un grand fiasco de 20 ans se transforment en « succes », Belahmar est dans les parrages. Qu’a t-il fait d’autre… sans qu’on le sache???

    Farida
    21 janvier 2019 - 12 h 14 min

    Il y a absolument rien a poursuivre. Mazal les 40 millions de zombies a abattre et hop le pays tout entier est fini.

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 11 h 59 min

    L’auteur a dû fumer longuement son thé !!! Mais de tels articles sont aussi utiles car ils forcent le réveil brutal!!

    Algerien avant tout
    21 janvier 2019 - 11 h 55 min

    Comment peut-on dire cela???. Bouteflika est responsable des malheurs de l’Algérie. Avec lui s’est développé le régionalisme le clientélisme et surtout la corruption endémique à tous les niveaux de la société algérienne.
    Laissons l’Algerie être dirigée par ses enfants sincères et qui ne pensent qu’à servir notre beau pays et non se servir comme le fait le clan.

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 11 h 52 min

    Amine Malek est le prête nom de Ould Abbas,c’est sûr !

    Zaatar
    21 janvier 2019 - 11 h 44 min

    Pourquoi il faut poursuivre l’oeuvre de Bouteflika? se demande Mr Amie Malek. Eh bien tout simplement que Bouteflika est un Highlander, un immortel et qu’il ne doit en rester qu’un. Alors forcément son oeuvre se doit d’être poursuivie du fait qu’il a entamé…

    Anonyme
    21 janvier 2019 - 11 h 20 min

    Peu d´Algériens nient ce que le Président a fait et son amour pour l´Algérie, loin de là!
    La majorité des Algériens pensent que le Président devrait maintenant passer le témoin à un autre,
    il mérite du repos et la reconnaissance de tous les Algériens!
    L´Algérie a besoin maintenant de sang neuf:
    Un président jeune et dynamique intelligent, compétent et intègre. La tache qui l´attend est immense, en premier la remoralisation de la société.
    Ce président devrait s´entourer de jeunes technocrates de niveau international et dont l´amour du pays dépasse toutes autres considérations personnelles!

    clement
    21 janvier 2019 - 11 h 18 min

    Tu te trompes: pour devenir ministre sous bouteflika, il ne suffit pas de faire de la brosse a travers un article de presse, mais il faut être né a Tlemcen ou environs. Si tu est juste né dans une des wilayas de l’Ouest, tu pourras être chef de daira. Sinon, inutile de te fatiguer si tu est né dans un rayon supérieur a 500 km de l’ouest algérien. Si ton métier de journaliste ne te suffit pas pour vivre, il vaut mieux chercher un autre boulot plutôt que de rêver a être ministre avec un lieu de naissance maudit…

    nabila
    21 janvier 2019 - 11 h 03 min

    yoyoyoyoyoyoyoyoyoyoyo vive bouteflika a vie inchallah notre pére et notre président qui a donné de la grandeur a l’algerie yoyoyoyoyoyoyo

    anonyme
    21 janvier 2019 - 11 h 01 min

    NON mais je rêve…

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