François Gèze distribue un tract à ses «amis» algériens pour récupérer le Hirak
Par Kamel M. – L’éditeur du félon illettré Habib Souaïdia reprend du service. Profitant de la pause du Hirak pour cause de pandémie du coronavirus, François Gèze s’est fendu d’un livre-tract qu’il offre gratuitement à ses «amis» algériens. Le chef d’orchestre du «qui tue qui», qui absout les terroristes du GIA de leurs crimes pour les imputer à l’armée, annonce, dans un mail adressé à ses «collègues» en Algérie, que son opus est accessible gratuitement sur Internet.
«Salut les amis, mes collègues de Cairn.info m’informent que le livre est accessible (en accès payant) sur la plateforme (…). Merci à Jean et à (…) d’avoir fait vite pour rendre cette version numérique accessible. Cela veut dire que, pour tous les étudiants et enseignants universitaires algériens ayant accès à l’Intranet de leur établissement, ils peuvent accéder gratuitement à cette version, puisque l’ensemble des universités algériennes a souscrit la licence (…). Donc n’hésitez pas à le faire savoir aux étudiants et enseignants que vous connaissez», écrit François Gèze dans un courriel adressé à ses contacts à qui il demande de ventiler l’information de sorte à pouvoir faire lire son livre au plus grand nombre en Algérie.
Avant le directeur de La Découverte, le félon Habib Souaïdia, pris en charge par les services français via François Gèze – c’est Mohamed Sifaoui, le véritable auteur du livre complètement retravaillé par l’éditeur de La Sale Guerre, qui l’admet en affirmant qu’un colonel de la DST était dans le coup – a, lui aussi, refait surface pour ressasser les mêmes accusations contre l’armée par vengeance – il a été emprisonné et radié pour son comportement de voyou. Mais les éclipses sporadiques et calculées de François Gèze sont compensées par des interventions médiatiques dans l’intervalle comme des rappels au cas où le «qui tue qui» venait à s’effacer des mémoires.
François Gèze a décidé de reprendre les choses en main après les échecs constatés chez ses recrues qui saturent les réseaux sociaux – Youtube notamment – avec leurs interventions quotidiennes depuis de longues années sans avoir pu jeter le discrédit sur l’armée dont l’intervention salutaire en janvier 1992 a fait voler en éclats le projet morbide de François Mitterrand et de l’Internationale socialiste dont le rêve était d’instaurer un Etat moyenâgeux en Algérie à travers le FIS.
Son action est vouée à l’échec. Comme toutes les précédentes.
K. M.
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