Les firmes pharmaceutiques américaines fabriquent l’arme biologique pour le Pentagone ?
Par Nabil D. – Des sources concordantes indiquent que le Pentagone se servirait des géants des biotechnologies américains Pfizer et Moderna à des fins bellicistes. Ces deux firmes travailleraient en partenariat avec le ministère de la Défense pour développer des médicaments censés aider les soldats américains à résister aux armes biologiques. Mais pas que. Elles seraient aussi actionnées pour produire elles-mêmes ces armes prohibées.
D’après des sources médiatiques alternatives, les Etats-Unis se serviraient de l’argument de la recherche scientifique pour développer de nouveaux médicaments contre des maladies lourdes ou jusque-là incurables pour produire des substances biologiques mortelles aux fins de leur usage dans les guerres que ce pays provoque à travers le monde. Les laboratoires existant en Ukraine et en Géorgie auraient déjà commencé à mettre en œuvre le programme secret américain. Ces sources précisent que Washington se servirait de la valise diplomatique pour transporter clandestinement les matières entrant dans la fabrication de ces armes et l’administration Biden compterait élargir son programme à tous les pays où Pfizer et Moderna disposent d’usines.
Ce plan diabolique serait rendu possible grâce à l’hégémonisme américain qui permettrait aux Etats-Unis d’échapper à tout contrôle, en imposant un black-out total sur la production pharmaceutique et limitant au minimum l’accès à l’information sur les études biologiques, empêchant ainsi les organismes de contrôle d’y accéder.
Plusieurs pays où les Etats-Unis ont installé leurs usines pharmaceutiques enregistreraient un nombre élevé de décès dont les causes ne sont pas typiques aux maladies qui y sont fréquentes.
La menace pourrait-elle concerner l’Algérie ? En tout cas, l’ancien ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid, lui-même médecin, n’avait pas mâché ses mots, au summum de la pandémie du Covid-19 à l’encontre de Pfizer. Interrogé, alors, sur la campagne de vaccination qui avait du mal à démarrer, il avait révélé que le groupe américain avait posé des conditions que l’Algérie avait rejetées en bloc. «Nous avons convenu d’un accord avec Pfizer, mais celui-ci nous a mis dans une situation que nous ne pouvions pas accepter dans la mesure où il nous a demandé d’acheter un certain nombre de vaccins, de payer en avance et d’exonérer totalement Pfizer de toutes poursuites dans le cas où le vaccin aurait des travers. Nous ne l’avons pas accepté, nous ne l’acceptons toujours pas», avait-il martelé.
Preuve que l’Algérie a tout intérêt à surveiller de près ce groupe pharmaceutique et qu’elle n’est pas près de céder à un quelconque chantage ou menace qui émanerait de sa tutelle : le Pentagone.
N. D.
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