Sionistes cannibales

Daech sioniste
Des éléments du Daech sioniste à Gaza. D. R.

Par Khider Mesloub – Israël, Etat théocratique, désormais dirigé par des fanatiques religieux génocidaires, des sionistes sanguinaires, se livre à Gaza au sacrifice quasi rituel des Palestiniens, exterminés comme des animaux sacrifiés sans leur laisser aucune occasion de se défendre, étant donné qu’ils sont privés d’Etat, donc d’armée.

Pour information, le sionisme est au judaïsme ce que l’islamisme est à l’islam, un dévoiement politique de la religion hébraïque, une perversion du dogme spirituel judaïque. Le sionisme, antithèse du pacifique judaïsme millénaire, se fonde sur le militarisme, le bellicisme, le colonialisme, un système de domination et d’apartheid, autrement dit le suprémacisme, fondements politiques et idéologiques issus de l’Europe capitaliste impérialiste.

Le sionisme a opéré un détournement du messianisme. La société israélienne est en train de se transformer en Daech, ses habitants fanatisés se muent en terroristes qui menacent la vie, non seulement des Palestiniens, mais de l’ensemble de l’humanité, avec leur jusqu’au-boutisme belliciste génocidaire. Daech voulait rétablir le califat dans tous les territoires musulmans, le sionisme veut ressusciter son fantasmagorique royaume hébraïque antique dans tout le Proche-Orient. Daech s’activait à islamiser et fanatiser le monde entier, pareillement le sionisme daéchien s’affaire à sioniser et fasciser toute l’humanité.

Les terroristes sionistes n’invoquent les préceptes religieux hébraïques que pour légitimer théologiquement leur soif de conquête et de sang. La fin impérialiste (la domination de tout le Proche-Orient) justifie pour eux n’importe quel moyen (barbarie, manipulation, bombardements, destructions, génocide). Leur fanatisme sioniste ne s’encombre ni de scrupule «démocratique» ni de culpabilité religieuse ou morale. Si Daech était une dérisoire multinationale terroriste, l’Etat daéchien israélien, lui, prouve qu’il est une gigantesque puissance militariste terroriste.

L’Etat islamique de Daech a été classé comme organisation terroriste par de nombreux pays. Dorénavant, l’Etat daéchien israélien est considéré comme une armée de terroristes par la majorité de l’humanité.

A Gaza, transformée en abattoir par les sionistes, les habitants, réduits à l’état animal par les bouchers daéchiens israéliens, sont suppliciés, sacrifiés. Les Palestiniens, considérés comme des animaux par l’Etat daéchien d’Israël, sont soumis à une terrible souffrance, à l’épouvante. Ils subissent une terrifiante agonie.

Depuis la création du sionisme, ce frère siamois de l’islamisme terroriste, incarné par Israël, ce pays intégriste s’est spécialisé dans l’équarrissage et l’incinération. Pour preuve, depuis 76 ans, il s’acharne à dépecer le peuple palestinien sans défense, à le réduire en cendres par ses bombardements interminables.

A Gaza, les militaires sionistes de Tsahal, tels des cannibales, se nourrissent de la chair palestinienne, déchiquetée sans sommation. Ces sionistes cannibales ont transformé Gaza en bal des vampires pour s’adonner à leurs danses macabres martiales parmi les populations civiles palestiniennes préalablement trucidées. Pour assouvir leur sanguinaire soif de grandeur et rapacité d’étendre indéfiniment leur empire.

Tout porte à croire que les sionistes d’Israël ne trouvent de sérénité que par le massacre technologique quasi rituel des Palestiniens, n’apaisent leur âme méphistophélique que par l’anéantissement des corps palestiniens. Ainsi, ils se nourrissent de la chair palestinienne qu’ils sacrifient pour satisfaire leur voracité de domination coloniale, leur appétence insatiable d’extension territoriale.

Israël, depuis sa création, s’écrit en lettres de sang palestinien. Aussi ses habitants, métamorphosés en daéchiens, ont tous les mains souillées de sang et leurs doigts de crimes.

Pas étonnant pour un pays militariste et belliciste. Radicalement daéchisé, il est désormais pris de folie meurtrière. Son incontrôlable folie des grandeurs s’est doublée d’une incurable grandeur des folies.

Israël, en effet, outre le fait d’être depuis 1948 une caserne à ciel ouvert où une majorité des habitants s’active en permanence à manier les armes pour tuer les Palestiniens, est aussi un asile psychiatrique à ciel ouvert. Car la folie meurtrière gouverne le comportement d’une majorité des habitants, la paranoïa (délire de persécution) inspire leur psychopathique attitude, la fièvre obsidionale gangrène leur vie emplie de ressentiments vindicatifs.

K. M.

Comment (9)

    Jazayria
    19 février 2024 - 12 h 03 min

    Sacrifice rituel des Palestiniens, c’est ce que je retiens de cet excellent article, merci Mr Mesloub pour votre discernement.

    lhadi
    18 février 2024 - 9 h 17 min

    Au cours des dernières années, le phénomène religieux a fait un retour spectaculaire. Réputé obsolète, au moins à terme, il est apparu curieusement résistant, voire de nouveau conquérant. Loin de reculer, les grandes religions monothéistes ont vu croitre constamment le nombre de leurs adeptes.

    Les religions, autrefois références de l’identité des peuples, se conjuguent aujourd’hui avec les nationalismes. A ce titre, elles occupent une place centrale dans l’évolution des pays et pèsent parfois d’un poids réel dans les relations internationales. C’est dans cette perspective qu’il convient d’apprécier le rôle du fondamentalisme catholique en Pologne, de l’intégrisme musulman en Iran,

    La victoire de la révolution iranienne s’est traduite par une accélération de la montée de la vague islamiste, du Maroc à l’Indonésie. Cette vague est cependant antérieure. Elle coïncide avec la défaite de l’Egypte face à l’entité sioniste dans la guerre des six jours (1967) et la mort de Gamel Abdel Nasser (1970) qui avait combattu durement les frères musulmans. Leur organisation, fondée en 1927, a donné naissance à la plupart des mouvements sunnites et chiites. Les causes de ce radicalisme sont multiples. Si l’on ne peut écarter l’aspect spirituel, les facteurs idéologiques, politique, économique, social et culturel sont effectivement prépondérants.

    L’islamisme apparait comme une idéologie politique qui s’appuie sur la religion, en réaction contre le matérialisme des sociétés occidentales capitalistes et contre le marxisme. Les islamistes dénoncent également le modèle de développement de type occidental qui a prévalu dans les pays musulmans ayant accédé à l’indépendance après 1945.

    La pénétration des islamistes s’appuie sur un discours moral et égalitaire qui met l’accent sur les principes coraniques d’équité, de justice sociale et de solidarité. Ce faisant, ils ont réussi à mobiliser les déshérités et une partie des classes moyennes en plein désarroi, notamment en Algérie. Néanmoins, dans les pays où ils ont accédé au pouvoir, les islamistes se sont révélés incapables d’améliorer le sort des populations.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected]

      Jazayria
      19 février 2024 - 12 h 09 min

      @Lhadi. Je suis d’accord mais l’article traite du sionisme avant tout et du massacre rituel des palestiniens. Là, on a un ‘pays’ soit-disant avec l’armée la plus morale du monde qui massacre des palestiniens quotidiennement en défiant toutes les lois et conventions internationales. Qu’en dites-vous?

    Anonyme
    17 février 2024 - 16 h 52 min

    le sionisme n’a rien à voir avec l’islamisme, ni avec aucune foi religieuse

    le sionisme est l’enfant bâtard des ghettos de varsovie et du nazisme

    c’est un mutant difforme et affreux, une espèce gobelinoïde hideuse ni humaine ni animale

    qui fusionne les gènes dégénérées d’une peuplade méprisée et en perpétuel exode (lesdits « untermenschen »)
    avec celles d’une autre peuplade désillusionée chez elle est persuadée de sa supériorité raciale (lesdits ¨übermenschen’)

    pour donner la vermine la plus maléfique et calamiteuse a avoir jamais existé sur cette planète

      Jazayria
      19 février 2024 - 12 h 13 min

      @Anonyme. Oui, ces sionistes n’ont rien de religieux, ils ne croient pas en Dieu mais à la prophétie du faux messie.

    Khider n'a pas totalement tort
    17 février 2024 - 14 h 10 min

    khider n’a pas totalement tort. Le judaïsme est une religion de paix et d’amour, mais il faut ajouter seulement entre juifs, car le commandement d’amour du prochain ne concerne que le juif.
    Le goyim n’est pas le prochain et donc le commandement de l’amour ne le concerne pas.

    le judaïsme n'est pas ce que Khider prétend une réligion " pacifique millénaire"
    17 février 2024 - 13 h 29 min

     » pacifique judaïsme millénaire » le judaïsme, une religion pacifique, quelle plaisanterie ! la Torah et du Talmud prescrivent formellement aux juifs d’exterminer les goyim et justifient toutes les violences qui leur sont faites, ce que ne peut pas faire une religion pacifique. (cf livre « la torah du roi » )

    Ssipo
    17 février 2024 - 13 h 07 min

    « …sionisme, ce frère siamois de l’islamisme terroriste… »
    C’est trop d’émotion, mais Il faut rendre à césar ce qui appartient à césar.
    Le sionisme, un petit frère voire un apprenti de l’islamisme c’est plausible, mais delà en faire son frère siamois c’est juste une aberration et un manquement envers l’islamisme et sa longue, très longue, histoire dans le domaine, »de l’humanisme » d’Alger à Baghdad.

    Abou Stroff
    17 février 2024 - 11 h 04 min

    en lisant le texte de K. M., j’ai retenu la sentence suivante:

    « le sionisme est au judaïsme ce que l’islamisme est à l’islam, ».

    conclusion imparable, pour combattre efficacement le sionisme, il faut, d’abord et avant tout, combattre l’islamisme (le ver qui est dans le fruit!). or les régimes arabes, sans exception, utilisent l’islamisme, en particulier et l’islam, en général pour enfumer les peuples qu’ils asservissent.
    par conséquent, l’existence de l’entité sioniste, vestige colonial et régime raciste basé sur la religion, est justifiée, garantie et pérennisée par les régimes arabo-musulmans qui ne sont pas moins racistes que l’entité sioniste, d’où une convergence certaine, pour ne pas dire un identité remarquable entre les intérêts bien compris des régimes arabo-musulmans, d’une part et de l’entité sioniste, d’autre part.

    wa el fahem yefhem.

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