Neuf éléments du mouvement terroriste MAK retenus par les services marocains
Neuf membres de la nébuleuse du MAK, qui ont été exfiltrés vers le Maroc pour rejoindre la France, sont actuellement retenus dans un centre pour refugiés relevant de l’UNHCR. Parmi les neuf membres du MAK arrêtés par les services de renseignements marocains, il y aurait les dénommés A. K., K. D., B. A.-B., I. D., B. H. et Z.-A. H. Les détenus ont été dépouillés de leurs affaires personnelles et de leurs passeports, apprend-on.
D’autre part, ils sont mis sous pression par les services secrets du Makhzen, qui organisent des filatures serrées et un suivi brutal. Le marchandage de la vie de ses recrues est lié à un «contrat» qu’ils devaient exécuter. En effet, les services secrets marocains et des trafics en tout genre, en plus de vouloir renouveler les opérations incendiaires en Algérie, avec leurs sous-traitants terroristes du MAK, font pression sur les chefs de file du MAK afin qu’ils passent à l’action armée dès cet été 2024.
Des plans terroristes ont été élaborés dans les bureaux de la DGED, en collaboration avec la DGSE française et l’entité sioniste.
C’est Aksel Belabassi, interlocuteur d’Abdellatif Hammouchi et Yassine Mansouri, les patrons de la DGST et de la DGED, qui a été désigné pour coordonner ce plan machiavélique, qui a pour objectif d’embraser toute la Kabylie et d’autres régions de l’Algérie. Cet animateur des manifestations du régime du Makhzen à Paris, qui a inventé une histoire sur sa pseudo-arrestation le 20 juin 2024, va-t-il demander la libération de ses neuf acolytes arrêtés par le régime marocain ?
Sachant qu’ils n’ont aucun soutien de la population en Algérie, et ayant peur de perdre leur place de «terroriste pacifiste» à l’UNPO du Dalaï-Lama, Ferhat Mehenni et Aksel Belabassi seraient hésitants pour prendre ce marché de l’horreur, en dépit des grosses sommes d’argent mises à leur disposition par le Makhzen.
Le MAK n’hésitera pas à reproduire la liquidation de Jugurtha Louerguioui, le 6 décembre 2022, cette autre recrue repêchée morte dans la Seine, après avoir succombé aux sirènes du mouvement terroriste du MAK. La sœur de Jugurtha Louerguioui avait dénoncé la manipulation dont avait été victime son frère, mais c’était trop tard. La victime a laissé derrière lui deux enfants et une épouse éplorée.
A. H.
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