Le sprinter brun Xavier Le Drian-Court… toujours derrière l’Algérie
Une tribune d’Abdelkader H. – Rien ne les arrête, ils n’ont aucune honte et aucune limite, et sont prêts à remettre le couvert d’une atroce guerre qu’ils ont menée contre un peuple innocent durant 132 ans, en nous faisant croire qu’ils sont vecteurs d’humanité et promoteurs des «droits de l’Homme» afin de garder leur rang de civilisateurs, puisqu’ils ont installé leurs armées de la société civile dans toute les strates de désinformation mondiales, y compris même au sein du Parlement européen, lieu où leur cheftaine Maria Arena (on ne t’a pas oubliée. a été prise la main dans le sac de bonbons du royaume du hachisch d’Israël, d’où «Xavier Le Drian Court toujours derrière l’Algérie».
«Xavier Le Drian Court toujours derrière l’Algérie» est le prototype même du monstre moderne, avec une cagoule humaine, spécialisé dans la distribution de médailles en excréments olympiques pour les «merdias» mais, surtout, pour les «ratons» laveurs (qui se reconnaîtront, comme son fil conducteur Ali Bensaad qui avait décroché le «Zelig d’Or», ) de Maurice Papon, de Fernand Meyssonnier, de Bugeaud et toute sa société civile.
Dans un premier temps, il est utile de rappeler que ce porteur de balle des «coupeurs de têtes» du peuple algérien joue en solo sur le terrain politique afin d’attirer toute la défense algérienne et de permettre l’ouverture du jeu d’attaque pour ses coéquipiers portant le même maillot, plein de sang chaud du génocide en cours du peuple palestinien.
Ce Juppéiste, à qui on avait réglé le «conte» déjà en 2022, lié à la famille Debré par son épouse, est un fervent catholique qui n’a pas sacrifié pour rien son jour de Noël 1994, puisqu’il était derrière les rideaux, au Quai d’Orsay, lorsqu’un avion d’Air France et ses passagers sont pris en otages à Alger. Ferhat Mehenni, le chef des terroristes du MAK, était présent par hasard dans cet appareil que la France avait exigé le rapatriement à Marseille. C’est ce qui a échappé à ses lectures des archives (inaccessibles aux mortels que nous sommes), qu’il aurait consulté au siège de l’espionnage et des coups fourrés de la colonie israélienne dont il est l’un des serviteurs. Il a dû tout passer à la déchiqueteuse, y compris la destination des 10 millions d’euros provenant de la vente de la villa «Les Zebboudj», sise au 10, chemin Sfindja, à El Biar, qu’il aurait vendue à 4,87 millions d’euros à un membre de l’oligarchie qui croupit en prison en Algérie. Dommage, en France, avec la justice du téléphone, il aurait eu droit à un «bracelet Rolex», comme Sarkozy, l’ancien dirigeant «cass-toi pov’con».
Le «chef du service des ventes de matériels militaires et de la coopération en matière d’armement à la direction des affaires économiques et financières au ministère des Affaires étrangères de 1986 à 1989», aujourd’hui conseiller stratégique du «Livre noir» (média d’extrême droite) et des cercles bruns, à qui il ouvre son carnet d’adresses, qui a fait deux mandats en Algérie (pour construire la toile des harkis du Hirak), est un connaisseur du bled. Il écrit tout à l’envers, et communique sur les médias colons-colonisés de façon percutante.
Le 8 janvier 2023, il écrit un dépliant de sa haine de l’Algérie, dans le PQ de la bourgeoisie compradore de France, où il prédit l’effondrement de l’Algérie. Bingo, en septembre 2024, une pétition signée par plus de 277 304 personnes, et une autre signée par 234 069 personnes exige la destitution du putschiste Emmanuel Macron et de la junte militaire israélienne qui dirige la France. C’est le philosophe Pierre Dardot qui le confirme dans une interview qu’il a donnée à Blast, le 6 septembre 2024. Pierre Dardot parle de coup d’Etat dans le coup d’Etat du putschiste Macron, en faisant le parallèle avec Pinochet.
https://macron-destitution.fr/
https://www.mesopinions.com/petition/politique/destitution-emmanuel-macron/31722
DE PINOCHET À MACRON : 50 NUANCES DE COUPS D’ÉTAT
Dans une diatribe d’excréments coloniaux, Xavier «Le Drian court toujours derrière l’Algérie» a tiré une balle à blanc, dans papier toilette de Daniel Kretinsky (l’actionnaire de Marianne qui avait changé à la dernière minute le titre de «une» du numéro paru le 21 avril en faveur de Jupiter) et de Martine Ghozlan (la sioniste supportrice du régime d’apartheid des généraux de Tel-Aviv).
Mouché dans un article par le journal Algeriepatriotique, montrant du doigt les services secrets français dans l’incendie de la synagogue de La Grande Motte, cette finesse d’ambassadeur explique, sans rire, que l’armée algérienne est derrière ce journal patriotique, qui a une forte audience dans les milieux militaires et extrêmes algériens, mais inaccessible en Algérie. Ce gars, qui nous explique que l’armée algérienne a créé un journal inaccessible pour ses bidasses a toutes les compétences pour diriger une ambassade d’un pays riche dont le peuple est assassiné, mutilé, éborgné, lapidé, meurtri par Alexandre Benalla, dès qu’il s’oppose à la junte au pouvoir «Capital» dirigée par le putschiste de l’Elysée, sous les conseils de McKinsey. On peut lui confier nos économies, les yeux fermés.
Quant à l’auteur de l’incendie de La Grande Motte, qui a oublié de laisser sa carte d’identité sur les lieux du crime, en arborant des signes d’identification pour criminaliser la solidarité avec le peuple palestinien «génocidé», il rappelle fortement l’affaire de Marie du RER D (9 juillet 2004), l’affaire de l’instituteur qui s’était automutilé à Aubervilliers (décembre 2015), l’affaire du rabbin parisien Gabriel Farhi (janvier 2003) ou encore la disparition d’Helric Fredou, ce directeur adjoint du service régional de la Police judiciaire, chargé d’enquêter sur la fusillade survenue au siège de Charlie Hebdo (2015), qui a été découvert mort dans son bureau. Il en veut d’autres, l’ambassadeur ?
Pour comprendre «Xavier Le Drian court toujours l’Algérie», il faut se référer à Johann Chapoutot qui décrit avec pertinence le Nazisme au cœur de la modernité de ce sprinter brun, qui semble timide pour nous expliquer les raisons pour lesquelles des terroristes (MAK et Rachad) organisent des fêtes publiques en France sous haute protection policière.
Bientôt cet ambassadeur de l’armée coloniale française nous expliquera que si le putschiste de l’Elysée a été giflé par Damien Tarel, le 8 juin dernier à Tain-l’Hermitage (Drôme), c’est aussi à cause de l’armée algérienne.
Le système (du FMI-Emiratis) a déjà mis en place une nouvelle feuille de route pour l’après-élection algérienne, et probablement en concertation avec le concours de la cinquième colonne. La rupture est inéluctable avec les fascistes, et la preuve nous est apportée par «Xavier Le Drian Court toujours» derrière l’Algérie, le président du comité stratégique de «Livre noir» qui ne porte pas que la couleur.
A. H.
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