Le rapace Driencourt se nourrit de la mort d’une jeune tuée par un Marocain
Par Karim B. – Le diplomate français véreux – et désormais prédateur – récidive. Il vient de se fendre d’une nouvelle tribune parue dans Le Figaro, entre les lignes de laquelle il confirme son allégeance au régime autocratique de Rabat dont il est le laquais. Son article, qui pue la manipulation à mille mètres à la ronde, a pour seul objet de détourner l’attention d’une affaire douloureuse que ses compatriotes vivent dans leur chair. Une affaire de meurtre abject commis sur une jeune étudiante violée et tuée par un ressortissant marocain. Ce scandale, qui occupe l’opinion publique française depuis plusieurs jours, devait être «enterré», et c’est au «fossoyeur» Xavier Driencourt qu’est revenu le déshonneur de faire ce sale boulot.
Le «retraité» bavard et baveux du Quai d’Orsay s’appesantit sur les OQTF, en langage plus clair les expulsions des étrangers en situation irrégulière, non exécutées en raison du refus des consulats des pays des personnes concernées de délivrer le laisser-passer qui permet cette opération. Xavier Driencourt se concentre sur la seule Algérie et propose «sept pistes» pour gonfler le chiffre insignifiant actuel. «Le taux d’exécution des OQTF visant des ressortissants algériens est de l’ordre de 7%, pourcentage particulièrement bas depuis la dernière crise diplomatique franco-algérienne», vocifère-t-il dans les colonnes du journal appartenant aux Dassault, fabricants d’armes père et fils.
Ne pouvant nier l’évidence, Xavier Driencourt commence son pavé par rappeler «la mort atroce de la jeune Philippine par un ressortissant marocain». Mais cet assassinat abject commis par un sujet de son ami le roi n’est à condamner, selon sa logique, que parce qu’il «pose une nouvelle fois la question de l’exécution des OQTF» par l’Algérie. Si l’adage dit que le ridicule ne tue pas, dans le cas de la jeune Française ravie aux siens à la fleur de l’âge par un jeune façonné dans un pays où la prostitution, la pédophilie et le viol font partie du paysage social marocain décomposé, il a été fatal à une pauvre étudiante qui croyait vivre dans un havre de paix, où les dirigeants politiques – Macron, Darmanin et consorts – lui ont menti jusqu’à perdre la vie.
Sans rougir, l’ancien ambassadeur donne au Maroc l’incongrue observation de «bon élève», remuant le couteau dans la blessure béante de la famille de la jeune Philippine morte de façon tragique à 19 ans. Le problème, ce n’est donc pas le Maroc mais l’Algérie à l’encontre de laquelle la France devra mettre en branle «les moyens de pression dont [elle] dispose vis-à-vis d’Alger». «La France a un certain nombre de cartes qui, mises ensemble, s’il y avait une volonté politique forte, c’est-à-dire la volonté de ne pas céder au dey d’Alger, permettrait une sorte de reset dans les relations migratoires avec Alger», ratiocine-t-il, avant de suggérer une «riposte graduée» en plusieurs points.
Les proches de la victime devraient intenter un procès contre ce vautour qui voit en leur fille une charogne, se nourrissant honteusement de son malheur.
K. B.
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