Enième complot contre l’Algérie : les plumitifs du Crif ne lâchent pas prise

Crif l’Algérie
Le nouveau Premier ministre français prête allégeance au Crif. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – Dans les tréfonds des desseins de l’histoire, il apparaît indubitable que l’Algérie, noble terre aux sacrifices éternels, se trouve une fois de plus confrontée à l’ombre insidieuse d’une énième cabale savamment orchestrée par l’antagoniste d’hier, celui-là même qui, tel un spectre avide, ne renonce point à sa mainmise. Cet ennemi persiste dans l’illusion d’un apaisement factice, un simulacre de tranquillité obtenu au prix de la servitude, espérant ainsi pouvoir laver l’honneur terni de ses mains ensanglantées par les tortures perpétrées lors des heures lugubres de la longue nuit coloniale.

La France, cette mère égarée dans le sillage de ses propres chimères, peut, certes, se voir conduire par les desseins du Crif et ses banquiers, menés tels des comédiens sur la scène d’un théâtre d’ombres. Cependant, le peuple algérien, fier et insoumis, refuse obstinément de fouler ce même sentier balisé par des plumitifs dociles, dévoués aux desseins de ceux-là mêmes qui, dès le crépuscule de la Régence, ont initié la conquête funeste d’Alger. Les Bachri et les Busnach, marchands déloyaux assoiffés des richesses inestimables de cette Régence qu’ils pillèrent au profit des Seillière, des Schneider, et, en sombres coulisses, des Rothschild, furent les pionniers de cette infamie.

Le décret Crémieux, perfidement accordé, fit d’eux des citoyens français, récompensant ainsi leurs services dans les terribles enfumades et les génocides des grandes tribus, des années 1847 à 1884, période macabre au terme de laquelle l’Algérie fut, dans une ironie sinistre, proclamée «pacifiée». Ceux-là mêmes, orfèvres en mystifications, recourent à un matraquage académique et médiatique sans relâche pour légitimer l’existence fallacieuse de tribus berbères judaïsées, ou encore pour ériger en mythe des actes d’héroïsme feints, tels les événements de l’opération Torch et le débarquement anglo-américain d’Alger en 1942.

Ils sont les instigateurs, les fomentateurs de milices qui, dans l’ombre, menèrent les infâmes massacres du 8 Mai 1945, maculant de sang le sol du Grand Constantinois. C’est à eux qu’Abane Ramdane et Larbi Ben M’hidi adressèrent leur missive en octobre 1956, leur enjoignant de clarifier leur position vis-à-vis de la Révolution algérienne, mais ce silence, tel un cri étouffé dans l’indifférence, persista, trahison perpétuelle, scellée dans les tréfonds de l’histoire.

A l’aube de l’indépendance, en 1961, ils fomentèrent les plans de l’OAS, embrasant cette terre en une ultime révolte de fureur stérile, appliquant la politique de la terre brûlée. Et même après la libération, dans les années 1990, ils tentèrent de ressusciter cette stratégie incendiaire, invoquant l’ombre perfide de Mitterrand et Attali. Mais une fois encore, la déferlante fut contrée, au prix d’un sacrifice aux résonances bibliques, tel un Abraham moderne offrant son héritage à une liberté arrachée.

L’un des épisodes les plus sombres, inscrit dans le marbre de la mémoire algérienne, demeure le massacre de Paris du 17 Octobre 1961, qui marqua la persistance d’une oppression implacable, bien que l’indépendance fût presque à portée de main. Ce jour-là, sous la férule de Maurice Papon, la police française s’abandonna à une brutalité implacable contre une manifestation pacifique de travailleurs algériens protestant contre un couvre-feu discriminatoire. Ce fut un déchaînement aveugle de violence, où des corps furent précipités dans la Seine, cette onde funeste devenue le reflet d’un mépris colonial glaçant.

Les historiens estiment jusqu’à 200 Algériens péris dans cette nuit d’horreur, bien que le chiffre exact reste enseveli dans les ombres, car le gouvernement français, dans sa retenue calculée, n’a jamais libéré tous les dossiers incriminants. Durant des décennies, la France choisit d’amoindrir ces atrocités, qualifiant cet acte d’incident isolé, et ce n’est que récemment qu’une lueur de reconnaissance a émergé, quoique timide. En 2022, Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune signèrent la «Déclaration d’Alger», effort symbolique vers la réconciliation. Cependant, les plaies historiques, plus profondes qu’un simple décret, demeurent béantes.

La France, dans une lutte silencieuse avec son passé, hésite à affronter les spectres de son empire colonial. Cette mémoire sélective, que Gilles Manceron décrit comme un «silence organisé», permet aux cicatrices d’un colonialisme brutal de perdurer, paralysant tout espoir de réconciliation sincère. En mars 2023, l’Assemblée nationale a bien approuvé une résolution condamnant ce massacre, mais la formulation prudente illustra une hésitation toujours palpable à confronter pleinement l’héritage colonial.

Malgré ces simulacres, l’Algérie demeure inflexible, réclamant avec force une reconnaissance entière des atrocités subies sous le joug colonial. Le président Tebboune, dans ses discours, exhorte la France à abandonner le poids des mensonges et à affronter la vérité d’un passé défiguré. Pour le peuple algérien, le 17 Octobre résonne comme un appel à la résilience et au souvenir, un symbole de l’incommensurable sacrifice consenti.

Ainsi, l’histoire de la France et de l’Algérie s’entrelace toujours, ensorcelée par des tensions inaltérées, suspendues aux méandres de mémoires antagonistes. Tant que la France ne se résoudra pas à confronter pleinement les méandres de son empire défunt, toute réconciliation véritable semblera une chimère inatteignable. Le chemin vers la guérison, balisé par la reconnaissance et la justice, s’impose tel un rite rédempteur, un labeur ardu mais essentiel, seul garant d’une entente harmonieuse entre deux nations dont les destinées se croisent encore.

La France, se retrouve ainsi, depuis Dreyfus, prise dans les rets tentaculaires de puissances, habiles et perfides, dominées par le Crif et ses banquiers, qui ont tissé une toile aussi impénétrable qu’inaliénable. Par cette prison meurtrière, où s’entrelacent les chaînes de l’argent et du pouvoir, La Gaulle se retrouve impuissante, incapable de briser ses liens pour recouvrer sa liberté véritable.

A cette injonction criante et oppressante, l’Algérie, clairvoyante et résolue, saura, elle, prendre acte librement sans autres intérêts que les siens.

A. B.

Comment (21)

    Anonyme
    19 octobre 2024 - 12 h 43 min

    Il y a aussi quand le complot se retourne de manière brutale sur ses conspirateurs ..

    Accord franco-algérien de 1968 : parlons-en ! la réponse cinglante du vice président de jil jadid
    19 octobre 2024 - 11 h 52 min

    voici la lettre du vice président de jil jadid
    Lors de son discours de politique générale, prononcé le 1er octobre dernier, à l’Assemblée nationale française, le nouveau Premier ministre Michel Barnier a abordé la question de l’immigration et évoqué la renégociation des accords migratoires de la France avec certains pays.

    Bien qu’il ne l’ait pas explicitement mentionné, c’est a priori l’accord franco-algérien de 1968 qui est dans sa ligne de mire.

    Comment peut-il en être autrement lorsqu’il ne se passe plus une semaine sans que l’Algérie et ses ressortissants ne soient convoqués dans le débat politique français ?

    C’est d’autant plus vrai, depuis que le Rassemblement National de Mme Le Pen semble avoir déclassé la classe politique traditionnelle, en particulier celle de la droite, et atteint le seuil de nuisance suffisant pour faire et défaire les gouvernements, en attendant d’accéder au pouvoir central.

    C’est désemparée et acculée, par la déferlante de l’extrême-droite, que la classe politique française de droite, s’est engouffrée, dans l’agitation populiste de l’accord de 1968, un accord vidé de son contenu mais qui manifestement permet néanmoins de se positionner et surtout de tenter d’exister dans un espace politique dévasté et dévitalisé de ses idéaux et de ses grandes idées politiques traditionnelles.
    Accord de 1968 : les raisons de l’acharnement

    Se faisant, la voilà donc en renfort de ceux qui ont l’obsession de l’Algérie et des Algériens !

    Et pour tenter, vainement, de convaincre un électorat qui ne lui est de toute façon pas acquis, elle épouse, par conviction pour certains, de manière complètement désinhibée et assumée des thèses et des éléments de langage jusque-là l’apanage d’une extrême-droite raciste et xénophobe, composée de nostalgiques de l’Algérie française et des orphelins des temps « bénis » du colonialisme.

    Elle accepte et justifie le délitement de la pensée humaniste, auquel elle participe, et couvre les propos les plus nauséabonds, déversés sans limite à partir des grands médias, et ciblant les musulmans et les arabes de manière générale, et les Algériens de manière spécifique.

    Autant de thèmes et de postures porteurs pour une classe politique désorientée, en plein naufrage politique, sans leadership et sans idées innovantes face aux immenses et réels problèmes qui se posent à la société française et auxquels elle n’arrive pas à répondre, sans avoir à sombrer dans les idées sordides, funestes et extrémistes.

    L’agitation politicienne autour de l’accord franco algérien du 27 décembre 1968 n’est donc rien d’autre que la traduction non assumée de ce désarroi politique.

    Or, que contient et qu’apporte cet accord de 1968 à l’Algérie et à ses ressortissants présents sur le sol français et en quoi il constitue aujourd’hui un problème pour la France et les Français ?

    L’accord de 1968, qui porte le nom complet de « Accord relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles », avait été initialement conçu pour favoriser l’entrée d’une main d’œuvre algérienne pour construire la France et contribuer à son développement.

    Il est donc loin d’être le fruit d’une aumône française ! Mais au fur et à mesure que les idées de l’extrême-droite progressaient, en particulier à la faveur des difficultés économiques et sociales de la France, cet accord est devenu un enjeu politique pour la droite dans les débats sur l’immigration en France.

    Et progressivement, les gouvernements successifs français vont aligner les dispositions de cet accord sur le droit général des étrangers en procédant quasiment à son abrogation à travers les 3 avenants intervenus en 1985, 1994 et 2001.

    Aujourd’hui, et malgré l’agitation politique qui l’entoure, il reste tellement peu de cet accord dans le droit français. En réalité, cela fait plus de 30 ans que les Algériens disposent en France d’un statut plus défavorable par rapport aux autres étrangers hors-Union européenne.

    Aujourd’hui, certaines dispositions favorables du droit courant des étrangers hors-Union européenne ne s’appliquent pas aux Algériens.

    Il en est ainsi, par exemple, de la régularisation des sans-papiers par le travail, prévue par la loi de 2004 ou de l’obtention d’un visa pluriannuel pour les étudiants, les étudiants algériens étant astreints à renouveler leur titre de séjour chaque année, de sorte que certains se retrouvent « sans droits » à la fin de leur cursus.

    On peut aussi évoquer la différence de régime concernant l’exercice d’un emploi étudiant et la durée de résidence pour une régularisation. Par conséquent, et en étant désormais moins disant que le droit commun des étrangers hors UE, cet accord ne participe en rien à plus d’immigration en France.

    Tout cela, les politiques français le savent très bien ! Mais hélas ! Acculés et multipliant les défaites politiques, ils se retrouvent à agiter un épouvantail vidé de son contenu pour espérer survivre à la vague du Rassemblement National.

    Mais en agissant ainsi, ils font crédit aux thèses haineuses de ce parti et de ses piètres clones, qui elles, visent, non seulement les ressortissants étrangers légalement présents sur le sol français, mais aussi les français d’origine étrangère, en particulier les français d’origine arabe et de confession musulmane, avec une « préférence » toute particulière pour les Franco-Algériens et les ressortissants algériens.

    C’est ainsi qu’ils participent à instiller dans la société française un profond sentiment de rejet de l’autre, celui par qui l’altérité arrive, et qu’ils font preuve d’un grave manque de courage pour affronter avec sérieux et rigueur les vrais problèmes de la France et assumer avec force et volontarisme les idéaux qui sont censés les animer et les distinguer des porteurs de haine et de stigmatisation.
    Mais maintenant que le débat est ouvert, de part et d’autre de la Méditerranée, que faut-il faire de cet accord ?

    À date, les principales spécificités persistantes de cet accord portent sur la liberté d’établissement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et l’accès plus rapide à la délivrance d’un titre de séjour valable 10 ans pour le conjoint algérien d’un Français, après un an de mariage, et le parent d’un enfant français à l’échéance d’un premier certificat de résidence d’un an.

    Par ailleurs, les membres de famille admis au séjour en France au titre du regroupement familial reçoivent un titre de séjour de même durée que la personne qu’ils rejoignent.

    Et s’ils ne l’ont pas obtenu avant, les ressortissants algériens peuvent solliciter un certificat de résidence de 10 ans après 3 ans de séjour, contre 5 ans dans le cadre du droit commun, sous condition de ressources suffisantes.

    En revanche, les titres de séjour créés par les lois de 2003, 2006, 2018 ne sont pas applicables aux ressortissants algériens, notamment les titres de séjour en matière d’immigration professionnelle tels que la carte de séjour pluriannuelle portant la mention « passeport talent » ou encore la carte de séjour pluriannuelle portant la mention « étudiant programme de mobilité », qui n’ont pas d’équivalent dans l’accord franco-Algérien.

    En outre, s’il souhaite exercer une activité salariée en France, l’Algérien titulaire d’un certificat de résidence mention « étudiant » doit solliciter une autorisation provisoire de travail et ne peut travailler au maximum que 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée (contre 60 % de la durée annuelle légale du travail pour les autres nationalités).

    Enfin, il faut savoir que tout ce qui relève des procédures, dont les fameuses OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) est hors accord et est donc applicable de la même manière aux Algériens comme aux autres étrangers sans aucune espèce de régime de faveur.

    De fait, personne ne peut croire que les dispositions résiduelles de l’accord de 1968 favorisent une émigration algérienne qui déferlerait sur la France et mériterait toute cette agitation politicienne !

    Par conséquent, et contrairement à ce que l’on veut faire croire, l’abrogation de l’accord de 1968 ne résoudra absolument rien aux flux migratoires en France. Pas plus que n’aura d’effet sur les ressortissants algériens, la loi migratoire annoncée, sous les fourches caudines du Rassemblement National.

    Enfin, les politiques et les personnalités médiatiques, aux motivations sournoises, qui agitent l’abrogation de l’accord de 1968, notamment ceux qui ont présenté, en décembre dernier, une résolution à l’assemblée nationale française pour demander cette abrogation, font mine de ne pas savoir que l’accord de 1968 est un accord bilatéral et qu’à ce titre, sa modification ne peut se faire de manière unilatérale. Son abrogation doit en effet obéir aux règles qui le régissent.

    Or, sa dénonciation n’est prévue dans aucune de ses dispositions. Seul l’article 12, créant une commission mixte franco-algérienne, permet à une telle commission chargée de suivre son application et d’en résoudre les difficultés, de proposer des évolutions préalablement convenues entre les deux parties. En attendant, elles sont tenues à son exécution !
    Ce que l’Algérie devrait privilégier

    Naturellement, et dans leur course, à droite, au populisme, les apprentis agitateurs de cet accord se gardent bien d’évoquer ces éléments juridiques et leurs implications, se contentant de vendre des chimères à leurs concitoyens, et se faisant, d’entretenir et de participer à une entreprise haineuse.

    L’abrogation pure et simple de l’accord de 1968, si elle devait advenir, avec l’assentiment des deux pays, alignerait de fait le régime d’entrée et de séjour des Algériens sur celui de l’ensemble des étrangers hors UE.

    Les ressortissants algériens perdraient alors les rares dispositions favorables précitées mais bénéficieraient de facto de celles issues du droit commun des étrangers, notamment des lois de 2003, 2006 et 2018, qui, compte tenu de l’évolution de la structure migratoire de nos ressortissants, seraient plus adaptées.

    Naturellement, et au regard du nombre de ressortissants algériens sur le sol français, 587 000 en 2023 selon l’INSEE, l’Algérie serait tout à fait légitime à privilégier, dans le cadre des dispositions de l’accord de 1968, une renégociation qui permettrait d’en adapter ses dispositions à l’évolution des migrations algériennes, pour sauvegarder, notamment, les dispositions relatives à la régularisation à travers la règle des dix ans de présence sur le territoire français, tout en intégrant de nouvelles dispositions, dont celles du droit commun relatives à la régularisation par le travail après une certaine durée de présence sur le territoire français, comme cela est possible depuis 2012 pour les autres étrangers, ainsi que l’alignement du régime des étudiants sur le régime général.

    Telle devrait être la réponse et l’orientation algériennes dès lors que la partie française serait prête à engager une discussion bilatérale sérieuse sur l’évolution et l’adaptation de l’accord de 1968, loin des surenchères, de la stigmatisation et des postures populistes porteuses de haine.

    *Vice-président de Jil Jadid

    Salim Samai
    19 octobre 2024 - 7 h 27 min

    « L`Ennemi de l`Interieur »/5eme Colonne/EI/Califat de Franca, Berlin, USA, Democratie & West n`est PAS
    « l´Islam! Les Musulmans »! C´est ce qu´ISRAEL, Zemmour, les CRIF, ADL, AJC, MEMRI et leurs Complices VENDENT en continu POUR justifier Israel quoiqu´ il en coute! Jadis Kissinger & aujourd´hui son eleve Blinken NE DEFENDENT PAS les USA qui doivent SE LIBERER!

    Dans la « Bagarre » actuelle entre Franca & Israel le CRIF DEFEND Israel en ATTAQUANT Franca!
    Le Sage aurait gardé le SILENCE & resté NEUTRE! Oman & Chine sont maitres en cet exercice!
    Bill Ackman, Miriam Adelson/AIPAC & CRIF Allemand vont plus loin! Ils DIVISENT « leurs pays » & DICTENT leur Politique Etrangere en leur INVENTANT de FAUX ENNEMIS & Strategies.

    Pal., Liban & IRAN (islamiste, fasciste, LGBT, communiste, democrate, Hindu/Boudhiste/Juif/Chretien/ Musulman ou Impie) ne sont PAS les ENNEMIS des USA, Paris & Berlin! Ce sont de POTENTIELS CLIENTS-PARTENAIRES restés JALOUX de leur SOUVERAINETE comme les USA avant de CEDER « La Tarte », leur IINDEPENDANCE & RAISON d´ETRE á 2% de leur population OBSÈDÈ par Israel au dessus de TOUT, méme !es USA! Bibi est aujourd´hui P.M. d´Israel & PRESIDENT des USA et l`Allemagne!

    Anonyme
    18 octobre 2024 - 20 h 09 min

    Pourquoi le Jupiter se retrouve soudainement dans la mire des Merdias de Fafa ? Lui qui avait assuré son soutien complet , y compris militaire aux genocidaires en Palestine occupée ?
    Il a fallu qu il ne tienne pas sa Langue en Conseil des Ministres où siègent les véritables PATRONS DE LA FRANCE et non Moins Nazisionistes représentants du ………..CRIF , pour que CET l ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ du TERRITOIRE DE FRANCE pour ordre et compte de NETANYAHU lui rappelle son véritable Statut de ………..COLLABO !!!!!

      Anonyme
      18 octobre 2024 - 21 h 41 min

      Le coké à oublier de se nettoyer ses narines.

    Mettre fin à l'islam de France
    18 octobre 2024 - 19 h 40 min

    Ils nous demande d’aller travailler et prier ensuite ces fainéants et donc on se demande s’ils ne sont pas lié s au capital , ce qui est légitime comme question .

    Anonyme
    18 octobre 2024 - 14 h 14 min

    Le Complot a été initié par la Secte des les années 1950 avec la résurrection de l UGIF sous le nouveau nom de CRIF . Tous les Crimes , toutes les Trahisons qu ont commis les résidus et descendants des Collabos envers l État français portent l Empreinte de cette Engeance qui a grenouille le Parti Socialosionistes en premier .
    Donc , ce n est pas daté de l An de grâce 2024 .
    La Preuve ? …..Savez vous que le BARNIER , quelque jours avant sa désignation à Matignon par «  Jupiter » , dans le cadre d un Hold up Demo….Crassique , a fait son Pèlerinage en Palestine Occupée ???
    Ce n est pas moi qui l affirme ….c est tout simplement lui et sur un Plateau Merdia Français , juste après sa désignation …..
    Et pourquoi croyez vous que LFI a été carrément et outrageusement Ostracisé sur Commandement du CRIF ? A cause de son Programme ?? …….Vraiment ?….

    Lucifer
    18 octobre 2024 - 14 h 01 min

    Il ne faut pas prêter attention à ces anes du crif et se concentrer sur ses objectifs. Leurs camelotes invendus à taux d’usurier ,ils peuvent se les mettrent et bien profond.

    Chanson dégueulasse
    18 octobre 2024 - 13 h 33 min

    Ils font leurs fromages en se grattant entre les doigts de pieds et la crasse des ongles .

    Ninja DZ
    18 octobre 2024 - 13 h 19 min

    Le crif c’est un problème franco français , nous on en à rien à foutre de leurs misères des juifs.

    Brahms
    18 octobre 2024 - 9 h 02 min

    Ce sont des imbéciles finis ces catholiques et juifs ?

    En vérité, ils sont idiots comme des manches à balai.

    Ils pensent manipuler mais eux mêmes sont manipulés par les américains qui se servent d’eux pour payer leurs dettes abyssales de 32 900 milliards de dollars + 1000 milliards d’intérêts chaque année.

    La France est surendettée, elle est plombée, c’est terminé. 3228 milliards d’euros + 75 milliards d’€ chaque année en intérêts se payeront pas en 1 an ou 05 ans. Ce service de la dette va durer à minima 50 ans.

    Ensuite, quand vous remboursez des dettes colossales, vos concurrents avancent plus vite car eux, ils ne sont pas surendettés, ils savent gérer leur argent et qui dit, remboursement de dettes forcément, vous avez très peu d’argent pour investir.

    Si bien que le surendetté va préparer des complots contre d’autres pays pour vous soumettre à son diktat

    Il faut donc faire attention, ne pas signer n’importe quoi comme document officiel et rapatrier son argent dans sa banque centrale pour éviter des déconvenues comme la RUSSIE qui s’est fait saisir son cash.

    En clair, la France nous prend pour sa vache à lait et vous avez vu le résultat pour une simple pâte à tartiner EL MORDJENE, ce fut l’interdiction totale dans toute l’EUROPE donc vous connaissez maintenant leurs intentions maléfiques.

    Sprinkler
    18 octobre 2024 - 8 h 15 min

    Encore un mot sur ce président MACRON qui est a rempilé en 2022, porté au pouvoir par une majorité de français vent debout face au RN et à la Droite de…Michel BARNIER, l’actuel pensionnaire de MATIGNON qui, ironie de la politique, ramènera dans ses valises un certain RETAILLEAU qui a fait ses classes au sein du mouvement du « très souverainiste » Philippe de VILLIERS (MFP) et dont la « profession de foi » sera d’éconduire et de reconduire à pleines soutes les algériens dans leur pays…Un MACRON élu contre la peste (RN) qui, pour échapper à la destitution, apportera le…choléra ! C’est ce même MACRON qui a paraphera la « Déclaration d’Alger pour un Partenariat renouvelé entre la France et l’Algérie » en 2022 qui un an plus tôt, devant 18 jeunes algérien(ne)s et franco-algérien(ne)s se demandait « s’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française? »…Si la diplomatie était l’art de convaincre sans conviction, MACRON l’a pratiquée à outrance !

    Abou Stroff
    18 octobre 2024 - 7 h 43 min

    « Enième complot contre l’Algérie : les plumitifs du Crif ne lâchent pas prise » titre K. B..

    question à un doro: l’Algérie est elle visée par un « Enième complot » parce qu’elle résiste, tant bien que mal, aux conditions requises* par le mode de fonctionnement du grand Capital dominé par le capital financier mondial ou parce que les juifs, en tant que tels n’aiment pas les algériens, en tant que tels?

    réponse gratuite: je pense que le pouvoir algérien et l’Algérie en tant qu’État et Nation produits d’une guerre anticoloniale, ne peuvent guère, à moins de renier leur « ADN », se soumettre au diktat du capital financier mondial dont les objectifs politico-économiques ne sont, ni plus, ni moins que les objectifs du colonialisme et de l’impérialisme en tant qu’expansion du Capital en tant que rapport social.
    en termes crus, le pouvoir algérien est dans le collimateur du Grand Capital parce que l’Algérie s’est libérée du joug de la colonisation et parce que le pouvoir algérien essaie d’appliquer des politiques qui ne répondent pas totalement aux exigences d’un mode de fonctionnement optimal du Grand Capital** dominée par le capital financier mondial.
    quant aux juifs en tant que tels, ils sont souvent des fonctionnaires du capital financier mondial parce qu’historiquement, ils ont toujours gravité autour de la finance, bien avant l’apparition du capitalisme en tant que système.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que pointer du doigt les juifs en tant que cause de tous nos « malheurs », ne fait pas avancer le schmilblick d’un iota mais permet, en revanche d’absoudre le capitalisme (dominé, au moment présent, par le capital financier mondial), en tant que système, de toutes les tares (l’exploitation et l’asservissement des uns par les autres) qui constituent son essence.

    PS1: si nous remarquons que le système financier mondial est, en partie, alimenté par les impressionnants revenus des régimes arabo-musulmans du Golfe, comment se fait il que K. B. n’inclut pas ces régimes compradores dans la « liste » de ceux qui complotent contre nous? serait ce parce que ces régimes et K. B. partagent les mêmes « croyances »?
    PS2 : K. B. conclut : « A cette injonction criante et oppressante, l’Algérie, clairvoyante et résolue, saura, elle, prendre acte librement sans autres intérêts que les siens »,
    primo, reconnaissons que « l’Algérie » est une abstraction qui ne peut être ni clairvoyante ni résolue et secundo, du temps où le fakhamatouhou déchu était au poste de commande, la sentence de K. B. aurait été grotesque, n’est ce pas ?

    * rappel: le mode de fonctionnement du capital financier mondial exige l’abolition de toutes les contraintes (les frontières et l’intervention de l’État dans la sphère économique, notamment) qui gêneraient ses mouvements en vue de la valorisation optimale de la valeur, d’où l’émergence du discours néolibéral comme idéologie hégémonique depuis l’ère reagan-thatcher, moment où le capital financier mondial assoit son hégémonie sur l’économie mondiale.
    ** le Capital en tant que rapport social ne connaît ni la religion, ni la race, ni le sexe du moment où ceux qu’il exploitent, se soumettent à ses exigences. Par conséquent, relier le mode de fonctionnement du capital et la religion hébraïque constitue une maladresse pour ne pas dire une horrible bévue.

    Wa el fahem yefhem

    Je n’irai pas à Canossa
    18 octobre 2024 - 7 h 33 min

    ils peuvent rendre visite aux escrocs du crif ou au diable, le président a dit « Je n’irai pas à Canossa » cela veut tout dire, vous pouvez comploter contre l’Algérie tant que vous voudrez, nous vous ferons plus aucuns cadeaux, plus d’échanges commerciaux, pas de vente de gaz, de pétrole etc..
    Depuis toujours les français ont fait croire au monde que c’est l’Algérie qui avait besoins de la France or c’est le contraire qui est la réalité. L’Algérie n’a plus de temps a perdre avec des pays soumis a l’entité sayouni, l’avenir nous appartient et nous sommes les seule maître a bord.

    Mohamed
    18 octobre 2024 - 6 h 44 min

    Comment voulez-vous que le crif aime notre pays. L’Algérie est le dernier bastion qui contrarie leurs desseins et est ouvertement contre le sionisme. Cet hydre veut s’implanter partout et notre Algérie a toujours le sabre en en main.

    Sprinkler
    18 octobre 2024 - 6 h 26 min

    Vous devez être une bonne âme Monsieur BOULAZIZ pour parler, comme un autre contributeur d’AP – le docteur BOUMEZRAG – de rédemption…Quand la rupture avec la France de MACRON est consommée. Soixante-deux ans de « purgatoire » ne lui ont pas suffit à expier ses péchés, et pendant qu’elle renoue avec ses démons en s’acquoquinant avec le Palais du roi DEALER VI – sur injonction ou non des Adorateurs du Veau d’Or – vous endosser la toge de l’avocat commis d’office pour plaider sa cause…Le sous-marin d’attaque que MACRON, en bon héritier de CHARLES X, a mobilisé dans les manoeuvres navales qu’il a recemment menées près de nos côtes, ne devrait plus vous laisser douter de ses desseins…TEBBOUNE vient d’ailleurs de lui répondre en allouant 25 milliards de dollars à l’ANP au titre du budget 2025…

    Ben
    18 octobre 2024 - 4 h 18 min

    La première victime du 8 mai 1945 fut la petite Arlette Nakache (8 ans) au café France à Sétif.

    walid
    18 octobre 2024 - 2 h 47 min

    Lors de la destruction de Jerusalem en l’an 70 AD, Antiochus Epiphane IV, était accompagné par les marchands venu d’Espagne pour revendre le butin. Cette destruction est relatée en detail par les historiens, mais a été escamoté pour les besoins de la cause. le peu restant des habitants déportés où éparpillés.
    Les crifologues (falsificateurs parasites du crif) jouent les vierges éffarouchées, mais la pestilence de leur imposture, dés qu’ils ont pu accéder a des postes importants dans un pays , par tous les moyens déloyaux
    ils en font un porte-avions pour mener les actions diaboliques les plus criminel pour la destruction du genre
    humains. Pour conclure, Il n’y a pas Israel seul les palestiniens peuple martyr, lâchement abondonné par ceux qui devraient les secourir, la Turquie d’Erdogan peut arrêter de fournir du pétrole aux sionistes, ces suceurs de sang ne tiendraient pas la semaine, nous avons tous en tête l’image du crocodile petites pattes et grande g—le.L’Algérie leur reste en travers de la gorge tant mieux ! et notre devise est : Qui s’y frotte s’y pique.

    Raïss
    18 octobre 2024 - 0 h 32 min

    Chez eux, les Occidentaux (les juifs), rien n’a changé, ni dans leur esprit, ni dans leur vision, ni dans leurs intentions. Ils ont simplement modernisé leur sens de la méchanceté crapuleuse.

    Chaoui
    17 octobre 2024 - 23 h 11 min

    Y’a si Khaled Boulaziz

    « Dans les tréfonds des desseins de l’histoire », juste vous rajouter et rappeler que nos ‘bons’ juifs d’Algérie voulaient (avec l’aide de leurs semblables en Palestine occupée et de France) dépecer l’Algérie et créer dans le Constantinois un second ‘israel’…

    Si, si. Des archives et documents existent le corroborant.

    Algérie indépendante
    17 octobre 2024 - 22 h 46 min

    Merci Monsieur Boulaziz pour votre contribution, en dehors d’une fausse note : celle de Gilles Manceron, supporter des terroristes de Rachad et dont son organisation (la LDH – Ligue des Droits de l’Homme) travaille la main dans la main avec l’autre organisation des terroristes du MAK.
    Tout ce qui brille n’est pas or.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.