Pomme de terre : déstockage d’importantes quantités pour réguler le marché

Pomme de terre Algérie pesticides
La pomme de terre destinée à réguler le marché. D. R.

La Société algérienne de régulation des produits agricoles (SARPA), a procédé, samedi, au déstockage d’importantes quantités de pomme de terre destinées à la consommation, en vue de stabiliser le marché, a appris l’APS auprès de ladite société.

Menée en coordination avec l’Office national interprofessionnel des légumes et des viandes (ONILEV), cette opération tend à approvisionner le marché et à réguler les prix en parallèle avec la période de soudure allant de fin octobre à fin novembre.

La société avait constitué des stocks d’une quantité allant jusqu’à 35 000 tonnes, destinée à réguler le marché durant cette période qui connait un manque de récolte de ce produit. Elle sera déstockée progressivement, les premières quantités sont estimées à 5 000 tonnes, selon la même source.

Ces quantités seront vendues «directement» aux consommateurs, au prix plafonné de 75 DA, et ce au niveau des grandes surfaces commerciales et des points de vente relevant des offices et des entreprises publiques économiques, notamment l’Office national des aliments du bétail (ONAB) et la société, DICOPA, en sus des points de vente mis en place par les collectivités locales à travers les différentes wilayas.

R. E.

Comment (2)

    HANNIBAL
    19 octobre 2024 - 21 h 05 min

    J’ais pas mal d’urticaires , avec ces annonces intempestives de la chèreté de la Pomme de Terre
    qui est normalement le plat de résistance du Povre mais qu’est ce qui n’est pas cher depuis le covid
    les Algériens 60 ans après l’indépendance en sont a regrétter les Souks el Fellah pour le tubercule
    qui est loin d’etre a porté de toute les bourses , je met pas la viande et les fruits mais on parle de Patates
    que les européens donne comme nourriture a leurs Betes alors la question qui se pose est ce un mauvaise
    Planification , ou c’est l’offre et la demande qui commande le marché ? de la Batata
    J’ais l’impression que l’Algérien , ne réfléchira qu’a se remplir le ventre pour ce tubercule
    tout le reste ne compte pas , attendre que l’état déstocke n’est pas la solution l’heure est grave
    nos chouadas doivent se tourner dans leurs tombes, tout les ans on attrape la crise du féculent !!
    Et dire que certains mangent de la Mousseline , qui un dérivé de patate !!

    elhadj
    19 octobre 2024 - 17 h 56 min

    quand le citoyen algérien dépassera t il ces périodes cycliques de pénuries, de cherté de la vie, pour se consacrer autant que faire se peut a d autres activités plus saines et non l occuper quotidiennement a se consacrer péniblement a acquérir chèrement quelques légumes .en principe dans un pays organisé l on doit disposer ,pour réguler le marché et veiller a la pratique de prix abordables, des centrales d achat, des marchés de gros tout est en ordre du point de vue salubrité, hygiène, contrôle, facturation, structures étatiques nécessaires et non point ces aires anarchiques de dépôt insalubres et repoussants,

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