Par Karim B. – Depuis ce jour d’octobre 1965 où l’opposant à la monarchie marocaine Mehdi Ben Barka fut happé au cœur de Paris par les ténèbres du pouvoir, son nom brûle toujours les lèvres du royaume. Soixante ans plus tard, il reste la conscience assassinée d’un Maroc bâti sur le silence et la peur.
Le livre de Stephen Smith et Ronen Bergman, L’Affaire Ben Barka : la fin des secrets, vient briser cette omerta d’Etat. A la lumière de documents du Mossad exhumés de l’ombre, il dessine enfin le visage du crime d’un pouvoir marocain aux mains du sanguinaire Hassan II, roi paranoïaque et stratège du secret, qui ordonna la disparition de celui qui incarnait la dignité, la justice et l’espoir d’un autre Maroc.
Ben Barka, intellectuel de la liberté, croyait qu’un pays ne pouvait se construire sur la soumission. Le régime, lui, croyait qu’un pays ne pouvait survivre qu’en effaçant ceux qui osaient rêver. Alors on l’a enlevé. On l’a torturé. On l’a fait disparaître comme on fait disparaître une vérité trop éclatante.
Et Paris a fermé les yeux. La France s’est vautrée dans la compromission. Ses barbouzes ont servi de bras armé à la monarchie marocaine.
Tel-Aviv, de son côté, jouait aux apprentis sorciers. Les archives du Mossad, exhumées par Smith et Bergman, révèlent la danse macabre d’une diplomatie cynique. On échangeait des informations contre de la reconnaissance, des faveurs contre du sang. Le monde entier savait, mais le monde entier s’est tu.
Sous le vernis d’un modernisme de façade, sous les sourires calibrés de Mohammed VI, le royaume demeure celui des ombres : journalistes bâillonnés, opposants emprisonnés, mémoire interdite. Le Maroc des touristes et des sommets internationaux n’est qu’un décor peint sur les murs d’une prison où la vérité, depuis soixante ans, croupit sans sépulture.
Ben Barka n’a pas seulement été assassiné. On a tenté de l’effacer. Mais les morts de cette trempe ne disparaissent jamais. Ils restent dans les consciences, obstinés comme une cicatrice qu’aucune propagande ne parvient à recouvrir.
Le livre de Smith et Bergman est un acte de résistance contre la raison d’Etat, contre cette machine à broyer les vérités qui s’appelle la monarchie. Il remet au jour la faute originelle d’un régime qui a confondu la majesté avec l’impunité et la stabilité avec la peur.
Tant que le nom de Ben Barka restera interdit dans les palais de Rabat, c’est tout un peuple écrasé qui marchera, courbé encore et toujours, dans le royaume des ombres.
K. B.



Hacane roi sioniste n’était qu’un tableau accrocher sur les murs d’un royaume israéliens, l’histoire dit pour protéger le royaume et son roi le Mossad devait intervenir, Paris était la capitale de ces derniers .
Le royaume des ombres est le théâtre où se joue toutes les trahisons.
Le Régime Marocain est 💀 déjà Mort , C’est un Régime ZOMBIE
Il vit sous PERFUSION de la France 🇫🇷 et d’Israel 🇮🇱 Emiratis 🇦🇪
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Il OBÉÎT à PARIS- ABU DHABI- TEL AVIV et doit se SOUMETTRE à Washington pour faire SEMBLANT d’être VIVANT.
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Le Régime Marocain est 💀 déjà Mort , il s’est SUICIDE le jour où il a décidé d’envahir le SAHARA OCCIDENTAL.🇪🇭
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Le Régime Marocain est 💀 déjà Mort….C’est un Régime ZOMBIE !