Explication
Par M. Aït Amara – Des lecteurs ont reniflé ce qu’ils croient être un «règlement de comptes» et «une affaire personnelle» dans l’éditorial consacré au sieur Hichem Aboud parce que, arguent-ils, nous nous acharnerions par trop sur cette personne. Aussi, un éclaircissement s’impose. A vrai dire, l’explication est simple : il y a deux catégories de traîtres ; ceux qui s’assument, comme les harkis par exemple, et ceux qui se travestissent en opposants au régime, comme ce tartuffe qui se dit dévot et vit aux crochets de ses maîtres, là-bas, en France. Dans les faits, Hichem Aboud démontre chaque jour qu’il n’est guère plus qu’un sceptre qu’on agite outre-mer au gré des plans machiavéliques. Il faut dire qu’entre ces deux catégories de traîtres, les premiers sont moins indignes. Si certains ont choisi de tourner la page des années 1990, grand bien leur fasse. Mais rappelons-leur, quand même, qu’à cette époque et jusqu’à nos jours, une jonction maléfique entre les groupes islamistes armés en Algérie et les pourfendeurs de l’armée algérienne confortablement installés à Paris empêche d'éradiquer le terrorisme. A Algeriepatriotique, nous nous opposons à l’amnistie amnésiante. Non, il n’y a ni règlement de comptes ni affaire personnelle. En bout de ligne, c’est de la sécurité nationale dont il s’agit. Car chaque apparition de cet agitateur dans les médias officiels français correspond, en réalité, à une subversion contre l’Algérie tout entière. Hichem Aboud n’a rien à envier à l’autre charognard, Bernard-Henri Lévy, dont les surgissements télévisuels sont toujours symptomatiques de graves troubles à venir. Aboud et Lévy sont les deux faces d’une même pièce ; deux effaroucheurs à qui on trace au préalable le chemin à suivre via une feuille de route. Il suffit ensuite à leur opérateur d’appuyer sur un bouton pour que ceux-ci se rendent dans le pays où ils sont préprogrammés à l’embrasement et au désordre et y foutent la m… Nous réagirons derechef et donnerons l’alarme bien avant que les exhalaisons fétides de ces pouacres ne parviennent au pays.
M. A.-A.
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