Par Houari A. – Ce mardi soir, au stade de Tizi Ouzou, le match ayant opposé l’Algérie à l’Ouganda a été marqué par un arbitrage scandaleux qui ne laisse aucun doute sur un complot orchestré pour empêcher la sélection algérienne de l’emporter largement, aux fins de saboter la grandiose fête qui était prévue à l’issue de la rencontre. Cette mascarade arbitrale donne un avant-goût des manœuvres ourdies par Fouzi Lekjaa, patron de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) et néanmoins ministre dans le gouvernement contesté d’Akhannouch, dont le but est clair : empêcher l’Algérie d’aller loin dans la prochaine CAN.
L’arbitre mauricien a clairement agi dans le but précis, sinon de faire perdre la sélection algérienne, du moins permettre aux Ougandais d’arracher un nul. Privés de plusieurs pénaltys évidents, les Verts ont vu des décisions arbitraires successives tomber en leur défaveur, avec des hors-jeux imaginaires sifflés pour empêcher toute domination claire.
Deux pénaltys ont dû être accordés, mais seulement parce que les fautes étaient trop flagrantes pour être ignorées, confirmant ainsi le caractère partial de l’arbitrage. Les «erreurs» d’arbitrage répétitives ont exacerbé la colère des joueurs algériens et des supporters, exaspérés par ce qui est apparu comme une tentative claire et nette de saboter le match.
Le climat sur le terrain et dans les tribunes est devenu rapidement explosif. Face à une équipe ougandaise brutale et provocatrice, les joueurs algériens ont vu leur patience mise à rude épreuve. Les supporters, eux, ne sont pas restés passifs : excédés par l’arbitrage biaisé et les provocations, ils ont lancé des projectiles vers les joueurs ougandais. Le stade de Tizi Ouzou, comble, a vibré d’une colère palpable, expression d’un ras-le-bol face aux manœuvres politiques qui polluent le sport roi dans le continent.
Au Maroc, alors que le gouvernement d’Akhannouch investit massivement pour organiser des événements sportifs continentaux et mondiaux, les supporters boudent massivement les stades. Ce boycott est une forme de protestation contre un pouvoir qui préfère briller sur la scène internationale plutôt que de gérer les urgences sociales du pays. Santé, éducation, logement, inflation : la population vit une crise profonde, largement ignorée par le roi dans son dernier discours creux. Ce désintérêt populaire pour le spectacle sportif au Maroc témoigne d’un rejet croissant d’une politique sportive déconnectée des besoins réels des citoyens.
Le scénario du match Algérie-Ouganda révèle à quel point le football africain est devenu un terrain de guerre politique et d’influence. Fouzi Lekjaa, en tant que patron du football marocain et membre du gouvernement, apparaît comme l’un des instigateurs de ce complot visant à assurer à une équipe marocaine qui peine à convaincre sur le terrain d’aller le plus loin possible dans la CAN par les méthodes biaisées habituelles.
Le match de ce mardi à Tizi Ouzou est un avertissement clair sur les dangers d’un football sous influence, où les intérêts politiques et personnels prennent le pas sur le fair-play. Les sélections africaines qualifiées à la Coupe d’Afrique des nations de décembre prochain sont avertis : le Makhzen fera tout pour soulever le trophée à Rabat. Empêtré dans une crise sociale profonde, il a besoin d’un sacre pour calmer les esprits.
H. A.




La can qui se déroulera au protectorat français que l’on appelle le maroc sera certainement hyper corrompu , mais tout est corrompu dans cette colonie française, cette immense plantation de hashish
Si la corruption avait une équipe de football qualifiait à cette can, elle se comporterait au maroc comme en pays conquis. La perversion joue à domicile au royaume de la débauche. Déjà que les scandales d’arbitres corrompus à la can sont monnaie courante, mais l’organiser dans ce pays, c’est un comble !
Le BOUSBIRLAND de Lyautey est de tous les coups fourrés…Y a pas que la pelouse et les champs de cannabis qu’on y arrose…Les arbitres et les indéboulonnables brigands de cette CAN sont mouillés jusqu’au cou…L’indétrônable MOTSEPE et sa cour plus que tous.
Enfin comment voulez-vous que la notion même « d’arbitrage » n’échappe pas à l’entendement de ces régimes totalitaires comme leurs institutions, tels le Maroc et ses « amis africains », fondés sur…l’arbitraire !
Assez parlé, il faut passer à l’acte.
Quelques pays africains méritent un dialogue et des relations fraternelles,tels: l’Afrique du Sud, l’Éthiopie, le Nigeria, l’Ouganda, la Tunisie, le Kenya et la Tanzanie. Tout le reste est soumis au plus offrant en sous table.
Moi, je ne regarde plus du tout le football qui est devenu pourri et biaisé par l’argent des bédouins qui font monter les prix des places pour voir un spectacle.
En effet, débourser plus de 1 000 euros ne suffit plus désormais pour s’offrir une place pour la prochaine finale de la Coupe du monde de football en catégorie 4, les sièges offrant la moins bonne visibilité. Alors que la deuxième phase de vente de billets pour les matchs du Mondial 2026 organisé aux États-Unis, au Canada et au Mexique (du 11 juin au 19 juillet) commencera le 27 octobre, les fans de football vont devoir mettre la main au porte-monnaie à en croire la grille tarifaire dévoilée par la Fifa.
Pour la finale, un Smic ne sera pas suffisant pour entrer au MetLife Stadium le 19 juillet prochain. Il faudra débourser au minimum 2 030 dollars (1 750 euros) pour les places les moins chères. Le tarif s’élève à 4 210 dollars (3 630 euros) en catégorie 2 et 2 790 dollars (2 405 euros) en catégorie 3. Pour les meilleures places, le prix d’un billet pour voir Kylian Mbappé, Lamine Yamal, Cristiano Ronaldo ou un autre soulever la Coupe du monde dans le ciel du New Jersey atteint des sommets :
– 6 730 dollars (5 805 euros) soit 1 500 000 dinars pour voir un match de 90 minutes.
Au marché noir, les revendeurs risquent de battre tous les records. En 2022, des billets pour la finale France – Argentine étaient proposés à plus de 14 000 dollars
(12 000 euros) sur le marché parallèle. La grande majorité des billets pour la Coupe du monde 2026 coûteront aux fans des centaines de dollars.
Voir la finale vous coutera : 3 180 000 dinars algériens. NON MERCI cela ne m’intéresse pas du tout de voir et de payer pour ça, je zappe.
Seule solution : vers une nouvelle confédération mondiale du football
Il faudrait qu’un groupe de nations par exemple des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine s’unissent pour se retirer officiellement de la FIFA et créer une Confédération Mondiale Alternative.
Cette nouvelle organisation aurait pour mission d’administrer le football de manière indépendante, plus équitable et transparente, tout en respectant la diversité culturelle et sportive des nations membres.
Elle pourrait lancer ses propres tournois internationaux :
une Coupe du Monde Alternative,
des ligues continentales autonomes,
ainsi que des compétitions interclubs entre les meilleures équipes des régions participantes.
Si au moins 20 à 30 pays s’alliaient autour de ce projet, cela leur donnerait déjà un poids considérable et une visibilité médiatique mondiale.
Une telle initiative marquerait le début d’une nouvelle ère du football international, libérée de l’influence exclusive des grandes instances existantes et fondée sur la coopération, la justice sportive et la souveraineté des nations.
Et au moins, cela vous éviterait de jouer les guignols et de vous plaindre en disant qu’ils ont triché ou qu’il y avait de la corruption — parce que vous le savez déjà, vous connaissez le fonctionnement, mais vous ne vous plaignez que lorsque cela ne va pas dans votre sens. Ciao