Par Kahina B.-H. – Lancée ce vendredi 5 décembre, la Coalition des forces pour la République (CFR), dont la direction est assurée par l’imam Mahmoud Dicko, l’ancien président du Haut Conseil islamique du Mali, appelle le peuple malien à la résistance et à la désobéissance.
«Le Mali traverse aujourd’hui l’une des crises les plus graves de son histoire contemporaine. Notre Etat est affaibli, notre peuple est meurtri, nos institutions sont dévoyées, et notre souveraineté est bafouée par une alliance toxique de prédation économique, de militarisation kleptocratique et d’instrumentalisation de la peur», ont écrit les membres de la CFR, dans un communiqué rendu public ce vendredi. Les rédacteurs ont estimé que «face à l’effondrement sécuritaire, à la faillite de l’autorité publique, aux massacres de civils et de militaires, à la censure systémique, aux arrestations arbitraires et au verrouillage total de la vie politique», la résistance «n’est plus une option morale : elle est un devoir national».
Décrit comme un mouvement de résistance républicaine, non violent et inclusif, ce mouvement créé par les forces vives du Mali se donne pour mission de rendre possible le retour à «l’ordre constitutionnel, protéger les populations, rétablir les libertés et préparer un dialogue national inclusif avec l’ensemble des acteurs maliens, y compris les groupes armés nationaux, conformément aux conclusions de toutes les Assises et Conférences de paix depuis 2017».
Les rédacteurs du communiqué font savoir qu’ils résistent parce que le Mali «est en train de disparaître sous nos yeux. Parce que l’Etat tue ses propres soldats par incompétence, abandon ou mensonge. Parce que des centaines de civils sont massacrés dans le silence imposé par la terreur».
La CFR accuse la junte au pouvoir à Bamako d’avoir «transformé la souveraineté en slogan et livré [notre] sécurité à des mercenaires», appelant les soldats et hommes de rang «à la désobéissance éthique lorsqu’on [vous] ordonne de mourir dans des opérations incohérentes, sans moyens ni stratégie, pour des ambitions personnelles», et à mettre fin aux massacres de civils et de militaires en ouvrant un dialogue national avec les acteurs armés maliens.
Elle a également appelé les magistrats «à la résistance judiciaire», les travailleurs «à la désobéissance civile organisée, pacifique, méthodique» et la diaspora «à se mobiliser diplomatiquement, financièrement et logistiquement».
«Le Mali ne sera sauvé ni par les armes étrangères, ni par les mensonges d’Etat, ni par la peur. Il sera sauvé par son peuple. Nous appelons chaque Malienne et chaque Malien à rejoindre la Coalition des forces pour la République, à refuser la fatalité», ont conclu les rédacteurs du communiqué.
K. B.-H.



FERTILIS HOSTIS EST QUI SUBDOLE INTRAT !!
BOUSBIR, ENNEMI JURÉ, ENNEMI IRRÉCONCILIABLE !!
Un serpent qui change de peau ne devient pas un agneau. Sous ses écailles neuves, il garde la morsure et crache encore son venin mortel.
Un Bousbiriens pense qu’en utilisant un pseudo avec “Hamma”, “dz”, “Algérien”, “casbah”, “213”, etc., il devient soudainement Algérien ??!!
IL Y A PLUS D1,2 MILLION DE SERPENTS BOUSBIRIENS CLANDESTINS VENIMEUX QUI INFFESTENT TOUT NOTRE TERRITOIRE NATIONAL.
AVEC LES MILLIONS D’AUTRES SNP BOUSBIRIENS SANSALISTES, ILS CONSTITUENT UNE VÉRITABLE ET TRÈS DANGEREUSE CINQUIÈME COLONNE CONTRE NOTRE SÉCURITÉ NATIONALE, CONTRE NOTRE NATION ET CONTRE NOTRE PEUPLE.
POUR NOTRE SÉCURITÉ, ZÉRO BOUSBIRIEN, ABSOLUMENT ZÉRO BOUSBIRIEN SUR LE SOL ALGÉRIEN !!
C est ca.. dans trois MOIS ils vont dire exactement le contraire
je n accorde PLUS aucun crédit a ces Africains « » qui retournent leur veste toujours du bon coté » »
on ferme les frontieres a la TRUMP
plus aucun ne foulera le tarmac de l Aéroport d Alger ET ASSEZ de Naiveté