Conférence algéro-française sur l’enseignement supérieur les 25 et 26 janvier à Paris

Abdelkader Hadjar, ministre de l'Enseignement supérieur. New Press

Le ministère français des Affaires étrangères et le ministère algérien de l’Enseignement supérieur organisent la 4e édition de la conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et de la recherche les 25 et 26 janvier à Paris, indique un communiqué de l’ambassade de France à Alger.

«Echéance majeure dans le développement et l’approfondissement de la coopération universitaire et scientifique entre le France et l’Algérie, cette conférence constitue un véritable lieu d’échange d’expériences et de savoir-faire. Elle réunira en effet plus d’une centaine de participants issus des milieux universitaire et de la recherche, parmi lesquels de nombreux présidents et recteurs d’universités ainsi que des directeurs d’écoles supérieures et de centres de recherche, algériens et français», souligne le communiqué. Ayant pour thème les défis du numérique, cette conférence sera ouverte conjointement par la ministre française de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et le ministre algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

«Articulées autour d’une séance plénière, de tables-rondes thématiques et d’entretiens individuels, ces deux journées seront consacrées à la réflexion et à l’analyse de la problématique du numérique en France et en Algérie. Elles permettront en outre de favoriser l’émergence de partenariats et la mise en œuvre de projets de coopération entre établissements français et algériens», précise le communiqué.

Sarah L./C. P.

Comment (19)

    TheBraiN
    25 janvier 2017 - 8 h 19 min

    L’exemple même de choix
    L’exemple même de choix stratégiques absurdes !

    Free Will
    25 janvier 2017 - 4 h 35 min

    Et le minitel est de retour.
    Et le minitel est de retour. Les Francais traduisent de l’Anglais vers le Francais et revendent a qui en depend – aux orphelins de la culture… Et c’est haram ca? Les Algeriens apparemment commencent a se debrouiller seuls, alors il leut faut un double abrutissement.

    Pour produire ce qu’ils essaient de faire (cote’ Khorotto), il est absolument urgent de commencer des l’ecole primaire d’enseigner Tamazight en characteres Latins et l’Anglais, et rien de plus. Les plus avance’s des chercheurs Francais, finissent ou, dans l’Anglais. La masse de chercheurs d’a travers le monde est phenomenal.

    Mais il faut bien une bourique a qui facturer l’apprentissage des Francais de la recherche Anglaise.

    Anonymous
    24 janvier 2017 - 22 h 34 min

    Fafa encore et toujours fafa.
    Fafa encore et toujours fafa…C’est à vomir.
    Un régime de colonisés qui nous vend aux colons sans scrupules…La France pays de l’excellence de la médiocrité intellectuelle reconnue mondialement…
    On veut nous façonner à leur image…

    MOI BECHIR EL PACHA
    24 janvier 2017 - 19 h 40 min

    IL N Y A PAS TRES LONGTEMPS A
    IL N Y A PAS TRES LONGTEMPS A EU LIEU DANS NOTRE CHER PAYS UN SYMPOSIUM SUR « LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE » si notre memoire est bonne il etait preside par le DIrecteur General de la Recherche SCIENTIFIQUE . IL AVAIT FAIT UN DISCOURS INTRODUCTIF DE HAUT NIVEAU.. IL AVAIT MEME ANNONCE AVOIR « ACHEVE » 40 PROJETS BIEN FICELES…QUI N ‘ATTENDAIT QUE PRENEUR!!!!! ces 40 PROJETS …..N’ONT PAS PU TROUVE APPLICATION EN ALGERIE!!! CA CONCERNAIT LES BESOINS D UNE AUTRE SOCIETE ….C ETAIT DECLARE DANS CE SYMPOSIUM ET LA PRESSE EN A FAIT UN GRAND ECHO !!!!
    oui on a avale des couleuvres plus grosses!!!! il fallait bien justifie ces budgets colossaux du shoping euro-mediteraneen!!!! LE PROBLEME C EST QU IL Y AVAIT UNE DE NOS TETES PENSENTES A PARIS QUI A DECOUVERT DES TRUCS PLUTOT NAUSEABONDS! Le discours introductif lui etait familie il l a lu quelques parts ….le probleme c est qu il y avait meme une terminologie plus appropriee au milieu de la recherche en france!!!! OUF ! IL L A TROUVE IL A ETE LU LORS D UN SEMINAIRE DU CNRS EN FRANCE ET IL N A PAS CHANGE UN MOT!!!! ca c est pour le shoping..padon je veux dire la recherche….c est pas grave….ce qui est grave c est de permettre a des intrus d’enseiner avec un rang magistral traficote…!!!!!

      nuls prénuls et paranuls
      24 janvier 2017 - 21 h 40 min

      votre commentaire a titillé
      votre commentaire a titillé ma curiosité … dites nous en plus svp! alors les 40 projets destinés à une société plus avancée (??? des marsiens ?) est-ce qu’ils ont été plagiés ? apparemment les français ne sont pas au courant puisqu’ils en redemandent

    Lady Faria
    24 janvier 2017 - 14 h 54 min

    Sur le site du ministère
    Sur le site du ministère français de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, on peut lire qu’en 2014, le nombre d’étudiants algériens en France s’élevait à 24 000. Aujourd’hui, il dépasse les 300 000. La France, à elle toute seule, aspire déjà un nombre vertigineux de nos « cerveaux ». Et elle gardera les meilleurs d’entre eux, rares étant ceux qui reviennent au pays. Je n’ose imaginer quel chiffre on atteindrait en comptabilisant les étudiants inscrits ailleurs à travers le monde… C’est douloureux de penser que cette matière grise a pris un billet sans retour! Parallèlement, il est vrai que l’Algérie accueille une poignée d’étudiants étrangers, venus essentiellement du continent africain. Et depuis peu, de Chine. Leur diplôme en poche, presque tous rentrent chez eux. Et si certains ont fait le choix de s’établir ici, c’est le plus souvent parce qu’ils y ont fondé un foyer. Mais dans l’ensemble, c’est leur pays qui profite de leur savoir et de leurs compétences. Mais je suis hors-sujet… C’est de numérique qu’il est question, pardon!

    Anonymous
    24 janvier 2017 - 14 h 35 min

    La médiocrité et l
    La médiocrité et l’incompétence de nos sinistres me fait vomir. Ils ne savent même par où commencer pour relever les défis. ….

    Dyhia
    24 janvier 2017 - 14 h 24 min

    Si j’ai bien compris il s

    Si j’ai bien compris il s’agit de la 4eme édition.

    Avant d’aller manger dans cette 4eme édition, on aimerait avoir le fruit des 3 précédentes éditions. C’était un menu à la carte ou un Buffet pour remplir vos ventres dénués de cerveau.

    Anonymous
    24 janvier 2017 - 14 h 20 min

    Une soirée organisée pour

    Une soirée organisée pour justifier la Tchippa

    Tinhinane
    24 janvier 2017 - 14 h 05 min

    Le ministre de sa santé et

    Le ministre de sa santé et des hôpitaux en ruine,et, le ministre des universités délabrés sont une catastrophe personnifiée. On voit bien qu’ils ne maitrisent rien dans le domaine. Tout le temps en train de bouger, mais le moulin est vide.
    Un récipient vide fait beaucoup de bruit . Proverbe kabyle.

    Kahina
    24 janvier 2017 - 13 h 45 min

    Ce sinistre a campé 25 ans
    Ce sinistre a campé 25 ans sur l’université comme recteur et n’a rien fait…Vous voulez qu’il invente une révolution du cerveau pour que l’université retrouve sont niveau des années 70-80.
    Je ne comprends pas pourquoi on veut réussir et avancer avec les hommes qui ont échoué.

    Ce n’est pas avec les conférence qu’on va guérir nos université. À part si le ministre a besoin d’une formation et des contacts pour sa propre personne.

      Bekaddour Mohammed
      25 janvier 2017 - 16 h 17 min

      @kahina… Permets moi de
      @kahina… Permets moi de nuancer dans les années 1970 jusqu’à 1979, date du décès de Houari Boumédiène, j’ai connu en 1975/1976 une génération d’étudiants algériens pétillants, plein de Nif, bosseurs, avides de savoir, volontaires, désintéressés, ils ont disparu, il n’y a plus que des… Sacs… VIDES ! Ouled l’ère de La Chkara, des sacs troués… La Fatalité m’a transposé chez les Français lors de ma dernière du cycle primaire, je me suis accroché jusqu’à l’université, et en m’éveillant, en observant mes condisciples français je me suis dit : « Est-il possible que ces êtres aient pu réduire les miens à l’état d’esclavage durant 132 ans ! »… Voilà, je suis EN Algérie, et je sais maintenant… Ô Deuil ! Il ne reste à nos Ouled Echkara qu’à instituer le mariage pour tous…

    MOI BECHIR EL PACHA
    24 janvier 2017 - 13 h 18 min

    IL Y A LIEU D ABORD DE
    IL Y A LIEU D ABORD DE SOUSTRAIRE LA POLITIQUE DE L UNIVERSITE ET FAIRE EN SORTE QUE LES RECTEURS SOIENT nommes pour leurs oeuvres scientifiques et non pour leur militantisme aux zaims du moment. il y a lieu aussi de leur donner des pouvoirs plus importants pour leur permettre de fixer des objectifs en rapport avec le developpement. enfin une autonomie generatrice de concurence pour que l on puisse connaitre les vrais universitaires de ceux qui ne produisent rien…..dans certaines facultes du pays des enseignants de grade doctorants ecrivent le cours au tableau pour que leurs etudiants puissent les copier …et ils ecrivent tres mals avec des erreurs tres graves …doit on comprendre qu ils ont fraude leurs diplomes….
    le drame c est qu ils prennent en otage l avenir de nos jeunes….
    jusqu a quand ca va durer cette gabegerie….IL FAUT UN NETTOYAGE RADICAL…

    Anonymous
    24 janvier 2017 - 13 h 12 min

    C’est du bidon. ça permet aux
    C’est du bidon. ça permet aux cadres du ministère de changer d’air et de profiter des soldes avec les frais de mission.

    anonyme
    24 janvier 2017 - 12 h 51 min

    Quel compétences dispose t-il
    Quel compétences dispose t-il notre ministre?
    Dans le cadre de la coopération, l’Algérie besoin d’une ELITE capable de rivaliser avec nos interlocuteurs.
    Ou est Elite?

    Abou Stroff
    24 janvier 2017 - 12 h 04 min

    Elle réunira en effet plus d
    Elle réunira en effet plus d’une centaine de participants issus des milieux universitaire et de la recherche, parmi lesquels de nombreux présidents et recteurs d’universités ainsi que des directeurs d’écoles supérieures et de centres de recherche, algériens et français». dixit l’auteru. quand on sait que les responsables algériens sont rarement responsables grâce à leur compétence, ça ne peut que craindre!!!
    PS: au fait notre ministre qui a étudié, en syrie, la littérature arabe ou quelque chose qui lui ressemble, peut il s’exprimer en français ou lui faut il un interprète?

    el wazir
    24 janvier 2017 - 11 h 52 min

    le thème de la conférence
    le thème de la conférence étant limité au « défi du numérique » n’ouvre pas des perspectives sur une coopération Fructueuse élargie aux autres filières de l’enseignement supérieur dans notre pays. par ailleurs Une telle conférence serait plus profitable si elle se tient a ALGER par exemple, ce qui permettra a une population plus importante d’universitaires, notamment les spécialiste du domaine, de prendre part et de tirer le maximum de profit au plus près de l’intérêt des étudiants et de l’enseignement supérieur en Algérie. tout en espérant que cette conférence soit bien préparée par nos représentant, outre pour donner une image respectable de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans notre pays, mais également acquérir les connaissance dans NTIC en vue de les enseigner et de les communiquer a nos étudiants notamment.

      lefhama
      24 janvier 2017 - 21 h 49 min

      je pense que vous n’avez
      je pense que vous n’avez strictement rien compris au thème de la rencontre …

    5colonne
    24 janvier 2017 - 9 h 59 min

    Que des rencontres sterile ça
    Que des rencontres sterile ça fait la milliemme rencontre et toujours du surplace en plus avec cette race pauvre de nous

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