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Déclaration du Mossad lue par le MAK à Paris : la France et Israël déclarent la guerre à l’Algérie

Par M. Aït Amara – Le Mossad a rédigé la prétendue déclaration d’indépendance de la Kabylie qui sera rendue publique ce 14 décembre par son bras terroriste, le MAK, dans une cérémonie organisée par la DGSE, infesté par le lobby sioniste, à Paris. Ce casus belli est une réaction directe à la position courageuse de l’Algérie au sein du Conseil de sécurité contre le génocide commis par l’Etat nazi d’Israël contre le peuple palestinien à Gaza.

A voir l’agitation fébrile de la France et d’Israël ces derniers mois, on se rend compte que ces deux Etats se sont donné une mission commune, celle de tester jusqu’où l’ingérence peut aller avant que l’Algérie ne claque la porte de la patience. Chaque fois que l’Algérie s’affirme sur la scène internationale, les mêmes capitales s’agitent comme si le simple fait qu’un pays défende un peuple oppressé constituait un affront personnel.

Paris et Tel-Aviv ont un problème. Ils ne supportent pas que l’Algérie s’affranchisse de leurs récits. Ils ont longtemps joué les donneurs de leçons, les arbitres de stabilité, les «experts» auto-proclamés du Maghreb. Mais le monde a changé. Eux non. Ils s’accrochent à une vision poussiéreuse où les nations du Sud devaient se contenter d’obéir, de se taire et de servir de variables d’ajustement géopolitique. L’Algérie, elle, a choisi depuis longtemps de ne pas ramper.

Et parce que l’Algérie refuse l’infantilisation, la France et Israël ressortent les vieilles ficelles coloniales : stigmatisation médiatique et instrumentalisation d’un groupe «exilé», soutien à des «voix marginales» pour créer artificiellement une opposition «respectable» fabriquée dans les salons parisiens. Et quand Tel-Aviv s’en mêle, la finesse disparaît complètement. La diplomatie se résume à la pression brute, à la diabolisation systématique de quiconque soutient le peuple palestinien, à la criminalisation politique de la solidarité internationale, en se servant d’un pantin alcoolique, «berbère de souche», qui porte néanmoins un prénom turc et un nom arabe : Ferhat Mehenni.

La France n’est pas en reste. Sa relation à l’Algérie est un mélange toxique de nostalgie impériale et d’irritation néocoloniale. Elle veut «gérer» l’Algérie, la commenter, la diagnostiquer, la surveiller, la sermonner. Pour un pays qui se prétend champion des droits de l’Homme, elle a une fâcheuse tendance à vouloir piétiner la souveraineté des autres, surtout lorsque ces autres lui rappellent les crimes de son passé et les limites de son influence.

Le régime de Paris ne supporte pas que l’Algérie mène une politique étrangère indépendante, encore moins lorsqu’elle parvient à rallier une majorité d’Etats autour de la question palestinienne dans les fora internationaux. Et Tel-Aviv, acculé diplomatiquement, voit dans Alger un obstacle majeur à sa propagande internationale. Ensemble, Paris et Tel-Aviv forment un duo bancal d’arrogance géopolitique qui cherche à compenser son déclin moral par des coups de pression.

Mais l’erreur fatale de ces deux capitales, c’est de croire que l’Algérie se gère comme un protectorat. C’est oublier que ce peuple a brisé les fers de deux systèmes coloniaux, qu’il n’a jamais plié devant la force, et qu’il réagit instinctivement – presque viscéralement – à la moindre tentative de manipulation extérieure.

La France et Israël peuvent donc continuer à souffler sur les braises, à jouer aux apprentis sorciers de la déstabilisation de l’Algérie, à se persuader qu’ils sont encore des puissances incontournables. L’Algérie les observe, et elle n’est ni impressionnée ni intimidée.

Au contraire. Chaque attaque extérieure renforce sa cohésion, son unité et sa détermination. Et c’est précisément ce que craignent Paris et Tel-Aviv : une Algérie debout, souveraine, incontrôlable et, surtout, imperméable à leurs manœuvres.

M. A.-A.

3 Commentaires

  1. Retablissement de la peine capitale pour les traitres, ceux qui portent atteinte a notre integrité territoriale, ainsi que pour les pedophiles adeptes de la secte epstein.

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